la vie continue chapitre 2

La vie continue



Chapitre 1 :



Dans un immeuble médiocre de Munich, deux frères étaient en train de discuter….

Le premier était un beau jeune homme de taille moyenne avec des longs cheveux blonds qu’il attachait vers le haut en une queue de cheval, ainsi que deux mèches qui tombaient sur le devant de son visage. Ses yeux étaient d’une couleur or brillant rarissime. Il portait sur lui un ensemble trois pièces de couleur marron, une chemise blanche et sa montre à gousset en argent qu’il attachait toujours à un passant de son pantalon. Sous sa chemise et son pantalon se cachaient deux méka-greffes, qu’il avait eut à l’âge de dix ans, à cause d’une stupide erreur qu’ils avaient commis lui et son frère. Il fonçait souvent tête baissé dans la gueule du loup, sans rien planifier. Il s’énerve aussi pour un rien dés qu’on se met à parler de sa taille, mais reste sensible à certaines choses de la vie. Voilà comment on pouvait d’écrire Edward Elric, dix-neuf ans et l’ainé des deux frères. Alphonse Elric, dix-huit ans, le cadet est quand à lui, un peu plus grand que son frère ainé, ce qui, fait toujours un peu râler Ed, cheveux châtain foncé assez court, ses yeux sont de couleur marron clair. Il porte une chemise blanche et un pantalon qui tient avec des bretelles. Lui a été enfermé dans une armure, plus de quatre ans pour l’erreur qu’ils ont faite. Et son frère a réussi à lui redonner son corps, avant de disparaître dans ce monde, qui est devenu, maintenant le leur. Il aime son frère plus que tout, s’excusant souvent pour lui, Il est d’une gentillesse à toute épreuve devant certaines réactions et adore par-dessus tout les chat, qui n’hésite pas à recueillir dés qu’il en trouve un, au grand désespoir de son frère adorer.



-Al, est-ce que tu te souviens de cet homme qui avait fabriqué cette bombe à l’uranium dans notre monde ?

-Oui, je m’en souviens, le professeur Huskisson si ma mémoire ne me joue pas des tours, pourquoi ?

-Je l’ai vu sur une photo en compagnie d’un groupe d’homme tous en blouse blanche, il se tenait au milieu, ainsi que sa bombe dans les bras. Huskisson a réussi à aller dans ce monde avec cette fameuse bombe.

-En effet, Ed, ce n’est pas, de très bon augure tout cela. Ce professeur est un fou, il faudrait qu’on retrouve cette bombe avant qu’elle ne tombe entre de mauvaises mains. Tu as dis que tu l’avait vu sur une photo, mais comment as-tu réussi à voir celle là ?

-Un jour en revenant de chez le médecin, j’ai croisé un homme, le professeur Mabuse, ressemblant fortement à l’homoculu, le généralissime King Bradley, il travaille dans la cinématographie. Ensuite, il m’a invité à Berlin, pour me montrer soit disant des choses capable de m’intéressés. Il ma montrait ce qu’il était entrain de faire pour son prochain film, puis nous avons bu une tasse de thé, et c’est là qu’il m’a parlé d’un livre démontrant deux mondes parallèle et cette fameuse photos où Huskisson se trouvait dessus.

-D’accord, je comprends mieux.

-Al, il faut absolument la retrouver, avant que ce fou ne la vende. On ne sait pas quels dégâts peu faire cette bombe à l’uranium.

-Oui, tu as raison, nous devons partir et le plus tôt possible. Nous devons prévenir Noah, que nous partons.

-Tu t’en charge et je commence à faire les valises pour pouvoir partir demain matin de bonne heure.

-Et où on va Ed, s’en indiscrétion ?

- Berlin.

Après cette conversation, les deux frères se séparaient, un restait dans la chambre pour faire les valises, et l’autre alla vers la cuisine, où se trouver normalement Noah, entrain de faire à manger, pour lui dire qu’ils partaient très tôt demain matin. La soirée passa très rapidement et ils se couchèrent de bonne heure.

Le lendemain matin, ils montèrent dans une camionnette déjà remplis de personnes qui voyageaient eux aussi, conduite par le double de Scar et de Lust, qui prenait la direction de Berlin. Noah leur faisait un signe de la main jusqu’à ce que la camionnette disparaisse de son champ de vision. Leur voyage allait durer plusieurs jours.

-Bon voyage Edward et Alphonse, faite attention à vous et bonne chance !

Les frères lui répondirent par des signes de la main.

Noah s’en retourna vers chez elle, mais devait d’abord passer au marché pour acheter des légumes pour faire le repas de midi. Tout au long de la route, Noah n’avait pas remarqué, cet homme étrange, qui la suivait, depuis un très long moment maintenant, même plusieurs jours. Cet homme était grand, mince, la peau très blanche, les cheveux d’un brun très foncé, ainsi que ses yeux. Il s’appelait Archer et n’avait pas supporté que la gitane qu’ils avaient acheté lui et Rudol Hess, ce soit échappé de sous son contrôle. Il en avait une haine indéfinie envers elle, et voulait se venger à tout prix pour sauver son déshonneur. Il dissimulait un poignard dans la manche de son veston de tel sorte que personnes ne pouvait remarquer sa présence. C’est pour cela qu’il la suivait depuis pas mal de temps pour attendre le moment opportun, pour la tuer et là le bon moment était arrivé, vu qu’elle n’avait pas ses gardes du corps avec elle pour la protéger. Ils arrivèrent donc au marché, qui se trouvait sur une grande place dans un des quartiers de Munich et donc la foule affluait pour faire leurs emplettes.

Noah acheta des carottes, des pommes de terre et commença à reprendre la direction de son appartement, quand soudain, elle sentie une douleur intense, dans le bas de son dos et se mit d’un coup à chavirer et tomba sur le sol devant les regards d’incompréhension des passants. Archer passa à coté avec un petit sourire de victoire sur ses lèvres. Son honneur était sauf. Il pouvait repartir. D’ailleurs sa voiture l’attendait à quelques pâtés de maison de la où il venait de la tuer. Il monta dedans et pris la direction de la ville de Berlin où certaines affaires l’attendait.

Les secours arriva alerté par des passants, mais il était trop tard pour la sauver, elle venait de sombrer dans un repos éternel. Elle eu un simple enterrement, vu qu’elle n’avait pas de famille.

Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis sa mort et les frères Elric venaient enfin d’arriver en pleine nuit, dans la très grande ville de Berlin.

-Ed, il va falloir se trouver un hôtel ou passer la nuit !

-Oui, Al. Mais on va avoir un peu de mal, vu qu’on est en plein milieu de la nuit.

Ils cherchèrent donc pendant un petit moment, quand ils arrivèrent dans un quartier assez animé.

-Al regarde, là bas ! En montrant du doigt la direction d’un bar qui se trouvait un tout petit plus loin.

-Allons-y Ed, peut-être on t-il des chambres de libres. Et Ed, tu as remarqué le nom de cet établissement !

-Oui, bizarre mais marrant. Au paradis fumeNight. Le principal c’est qu’ils aient au moins une chambre pour qu’on puisse passer le restant de la nuit tranquille.

Edward avait commencé à avancer vers l’établissement,

-Alors tu viens ou tu vas rester planter toute la nuit à contempler l’enseigne comme un gros béta.

-J’arrive nii-san. Et je ne suis pas un gros béta, le nain !

-qui dis- tu qu’il est si petit que l’on n’arrive pas à le voir au microscope.

-J’ai jamais dit tout ça, arrête de déformer tout, t’est énervant à la longue. Je vais finir par arriver en premier si tu restes à râler comme cela dans la rue, en plus je ne suis pas sûr que les voisins apprécient tes hurlements. Allez, dépêches toi un peu.

-Oui tu as raison, en plus j’ai extrêmement sommeil.

Ils arrivèrent donc devant l’établissement et y rentrèrent à l’intérieur.


Chapitre 2 : (partie 1)





Ils arrivèrent donc devant l’établissement et y rentrèrent à l’intérieur. Ils furent surpris de voir le hall de cet hôtel bondé de monde. Après un parcours du combattant très éprouvant, Edward et Alphonse arrivèrent enfin au comptoir de l’hôtel. Quand ils virent le réceptionniste, ils eurent un sourire moqueur car cet homme était le portrait craché de Jean Havoc. A la seule différence du sous-lieutenant, cet homme avait les cheveux longs. Il les avait attachés avec un morceau de cuir noir. Après, un petit instant de silence, le réceptionniste demanda :



- Que puis-je pour vous ?



- On voudrait louer une chambre. Fit Edward



- Si c’est possible. Rectifia son petit frère



- Bien sur. Il partit.



Edward et Alphonse se regardèrent et se mirent à rire. L’homme revient quelques minutes plus tard et leur dit :



- La 213 est libre. Winry va vous y emmenez.



C’est à ce moment là, qu’une jeune fille blonde aux yeux bleus qui devait avoir dix-neuf ans les salua :



- Bonsoir, je suis Winry. Je serais votre hôtesse durant toute la durée de votre séjour. Si vous voulez quelque chose, appelez-moi peut importe l’heure.



- Merci. Répondit Alphonse



Edward murmura à son cadet :



- Depuis le temps que je rêve de l’entendre dire ça !



Cinq minutes plus tard, ils étaient devant leur chambre. Winry leur déclara en ouvrant la porte :



- Voici votre chambre. Je vous laisse vous installez.



Elle s’apprêtait à redescendre quand quelques choses lui viennent à l’esprit. Elle se retourna et leur demanda :



- Vous venez voir le spectacle tout à l’heure ?



Edward et Alphonse se regardèrent et lui répondit en même temps :



- Bien sur ! Mais s’est à quelles heures ?



- C’est dans vingt minutes.



- Dans ce cas, je crois que moi et mon petit frère ont viendra.



- Bien, dans ce cas, je vous réserve des places



- Merci



Pendant que Winry disparaissait dans le couloir, Edward et Alphonse entrèrent dans leur chambre. Cette chambre était petite. Les deux lits en pin qui la composait prenaient tellement d’espace qu’il n’y avait plus de place pour y rajouter une armoire. Sur le sol de cette chambre, il y avait une cinquantaine de cafards qui rampaient. En entrant dans la salle de bain, Alphonse découvrit en haut de la cabine de douche une grande toile d’araignée. Ensuite, il porta son regard sur les cabinets. Ces derniers étaient recouverts de quelques choses de vert. Il se pencha pour vérifier la propreté de l’eau et découvrit un rat mort en plaine décomposition. Seul le lavabo semblait être propre. Quand il tourna le robinet d’eau froide pour se passer un peu d’eau sur le visage, il vu des centaines de fourmis sortir du tuyau à la place de l’eau. Alphonse retourna voir son frère et lui demanda :



- Tu crois que les toilettes de la réception son plus propre ?



- Sûrement !



Dix minutes plus tard, Alphonse et Edward descendirent voir le spectacle. Edward demanda à un serveur où avait lieu le spectacle. Ce dernier lui répondit qu’il avait lieu dans le bar. Il lui indiqua aussi où ça ce trouvait. En passant la porte que le serveur avait indiquée, ils arrivèrent dans une grande salle. Cette salle possédait à peu près deux cent tables et un bar de plus de cinq mètre de long. Au dessus de ce bar, il y avait plus d’une centaine de sceaux d’eau. Le haut et le bas du bar étaient reliés pas une dizaine de barres métalliques. L’homme de l’accueil de l’hôtel les remarqua et leur dit :



- Venez, vos places sont par là !



Il les emmena à une table qui était proche de la scène. Sur cette même table, il y avait trois personnes. L’un était plutôt grand et chauve mais son visage rappelait à Edward et Alphonse le major Armstrong. Le deuxième portait un chapeau dont l’ombre recouvrait plus de la moitié de son visage qui était baissé, mais au vu de son costar, on pouvait facilement deviner qu’il était riche. Ses mains étaient recouvertes de gants blancs. Le dernier était un acteur très connu. Edward et Alphonse ce présentèrent.



- Bonjour, je suis Alphonse Elric et voici mon grand frère Edward



- Je suis James Charmeur.



- Et vous ? demanda Alphonse.



- Je suis Boule Dog ! Répondit-il d’une voix grave



- Pourquoi vous appel-t-on Boule Dog ? Demanda James



C’est à ce moment là que Boule Dog se leva et arracha sa chemise :



- Car j’ai une musculation parfaite ! Là, il contracta ses muscles et plein de petites étoiles se mirent à briller.



C’est à cet instant que l’homme au chapeau releva sa tête et dit :



- N’importe quoi ! Et arrête de te vanter !



Ensuite, il tourna sa tête vers Edward et lui dit :



- Je suis…