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 la vie continue.

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sabine

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MessageSujet: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeSam 8 Sep - 11:20

Voilà la suite de la première partie.
Je vous mets les liens pour les chansons, ouvrez une autre page et faite copier coller.
La première : http://www.radioblogclub.fr/open/139227/yellow_generation/Yellow%20Generation%20-%20Tobira%20no%20Mukou%20e

La deuxième : http://www.radioblogclub.fr/open/65744/crystal_kay/FMA%20-%20Crystal%20Kay%20-%20Motherland

Et pour la dernière, pour ceux qu’ils veulent l’écouter même si, nous n’avons pas mis les paroles. C’est le duo : http://www.radioblogclub.fr/open/51282/ayumi_hamasaki/Ayumi%20Hamasaki%20-%20Moments

************************************************************************

Chapitre 2( partie2) :

Ensuite, il tourna sa tête vers Edward et lui dit :

- Je suis Roy Schulz !

C’est à ce moment là que James Charmeur demanda :

- Le fils Lorenz Schulz ?

- Lui-même

C’est à ce moment là, l’homme de l’accueil monta sur scène et dit :

- Bonsoir mes très chers amis ! Ce soir, le spectacle commencera par l’Apéritif ! Ensuite, on aura l’Entrée ! Suivi du repas ! Juste après, il y aura Dessert ! Et pour terminer, il y aura les aux revoir ! Bien sur entre temps, vous allez pouvoir vous détendre grâce à nos boissons délicieuses ! Mais je parle et fait gâchée le spectacle alors musique Mæstro !

Ensuite, il descendit de la scène. Toutes les lumières de la salle se sont éteintes. Seules celles de la scène étaient encore allumées. D’un seul coup, une femme monta sur scène. Elle avait un chapeau noir qui lui cachait la moitié de ses cheveux. De son chapeau, un voile noir lui retombait sur le visage. Elle portait un bustier en cuir noir qui se lassait devant. Elle avait une minijupe elle aussi en cuir noir. Ses mains étaient recouverte de gants noir en satin qui lui montait jusqu’au coude. Elle avait dans ses pieds, une paire de botte elle aussi cuir noir.
Elle se mit sur tout à gauche de la scène. Elle fut suivie d’une autre femme qui portait la même tenue que la précédente sauf que la sienne était rouge vif. Elle se mit elle s’arrêta au milieu de la scène. Une troisième arriva. Elle aussi portait la même tenue que les précédentes. Sauf que la sienne était marron foncée. La musique se mit en route. Cette musique était plutôt rimique et entraînante. Durant tout le long de la musique, les trois femmes se déshabillèrent. A la fin de la musique, c'est-à-dire dix minutes plus tard, ces trois femmes étaient sous vêtements de la même couleur que leur tenue de départ.

Edward avait les yeux rivé sur la poitrine de celle qui portait les sous vêtement rouge car c’était son hôtesse. Ainsi, il pouvait imaginer ça jolie Winry en soutien gorge. Roy lui était impatient de voir une jeune fille facile. Le rideau ce referma après cinq minutes d’applaudissement. Le double d’Havoc remonta sur scène et demanda :

- Est-ce que notre apéritif vous a plus ! Je crois que oui ! Bien maintenant passons à l’entrée. La personne qui va suive et une des plus anciennes de la maison. Elle est même née dans ce bar ! Non, je ne rigole pas. Et maintenant Riza.

C’est à ce moment la qu’une femme habiller d’une magnifique robe soirée rouge vif qui fessait ressortir ses formes bien généreuse. Elle avait elle aussi un chapeau rouge. Elle avait des gants rouges en satin. Elle avait dans ses pieds, une paire d’escarpins en cuire doré. Un sourire apparut alors sur les lèvres de Roy Schulz quand la charmante jeune femme prit le micro du présentateur :

Tashikameru you ni nigirishimeta migite
Uzattai housoku wo buchi kowashite ike
Kizutsuita ashi wo yasumaseru gurai nara
Tatta ippo demo koko kara susume

A ce moment là, elle retira un de ses gants tout à continuant de chanter.

Yuganda kaze wo kakiwakete
Tsumetai sora wo oikoshite
Sore demo mada samayo itsuduketeru

Après ce couplet, elle retire son deuxième gant

Bokura wa itsu demo sakenderu
Shinji tsudukeru dake ga kotae ja nai
Yowasa mo kizu mo sarake dashite
Mogaki tsuduke nakereba hajimara nai
Tsuki yabure tobira no mukou he

A cet instant, elle ouvrit sa robe.

Yayakoshii mondai de karamiatta shakai
Jirettai genjitsu wo kerito bashite ike
Hibou ya chuushou ni fusagikomu gurai nara
Dasan mo yokubou mo buchimakete ike

Là, elle fit descendre que le haut.

Midareta NOIZU kakikeshite
Shiraketa shisen furihodoite
Koko kara tsuduku tsugi no SUTEEJI he

Bokura wa itsu demo sagashiteru
Kasoku shita SUPIIDO wa kaerare nai
Tsuyosa to kakugo tsunagi tomete
Hashiri tsuduke nakereba mirai wa nai
Tsuki susume tobira no mukou he

Elle retira une de ses escarpins.

Kazashita PURAIDO ga machigai da to shitemo
Egaiteta risou ga kuzure kakete mo
Koko ni aru subete ni uso wo tsukareta to shitemo
Kitto koko ni iru

L’autre.

Bokura wa ima demo sakenderu
Shinji tsudukeru dake ga kotae ja nai
Yowasa mo kizu mo sarake dashite
Mogaki tsuduke nakereba hajimara nai
Tsuki yabure tobira no mukou he

Elle enleva complètement sa robe.

Bokura wa ima demo sagashiteru
Kasoku shita SUPIIDO wa kaerare nai
Tsuyosa to kakugo tsunagi tomete
Hashiri tsuduke nakereba mirai wa nai
tsuki susume tobira no mukou he
Tobira no mukou he

A la fin de la chanson, elle se retrouva sur scène en sous vêtement et chapeau comme ça, impossible de la reconnaître.

Le jumeau de Havoc remonta sur scène :

- Qu’est ce qu’elle me donne des frisons ! Bien passons à la suite….

Là pour ce fut un autre groupe de fille qui ce mit à danser. Dix minutes plus tard, le double de Havoc remonta sur scène cette fois pour présenter les boissons. Toutes les filles qui travaillaient dans se bar ce montrèrent. Il y en avait sur le bar et d’autre sur la scène. Pour ce moment, toutes les femmes furent mouillées. Comme elles portaient une petite robe blanche, et que le blanc une fois mouiller c’est transparent, ont pouvais facilement voir qui portait des soutiens gorge et qui n’en avait pas. Pendant que Roy et Edward discutaient, une jeune femme s’avança vers leur table. Quand Roy la vit, il coupa la conversation pour aller l’embrasse. La femme lui chuchota quelques mots et elle partie se changer. De loin, le jumeau de Havoc les observait et ne semblait pas content.

Deux minutes plus tard, le présentateur remonta sur scène et annonça une surprise. Cette surprise fut la jumelle de Winry qui monta sur scène et se mit à chanter :

kimi ga tabidatsu hi wa itsumoto onaji jaane to te wo futta
marude ashita mo mata kono machi de au mitai ni

ai wo shinjiru no wa jibun ni mo makenai koto
yume ga kanau hi made egao no mama
hoshi wo mite inori sasage koko ni iru kara

watashi wa kimi ni totte no sora de itai
kanashimi made mo tsutsumi konde
itsudemo miageru toki wa hitori janai to
tooku de omoeru you ni

kaeru basho de aru you ni

kimi ga inai machi de aikawarazu ni genki de sugoshiteru
sorega ima watashi ni dekirukoto sou omoukara

donna dekigoto ni mo kakureteru imi ga aru to
yume ga kiekaketemo jibun rashiku ite hoshii
donna toki mo kokoko ni iru kara

namida nakusu hodo tsuyoku nakute mo ii
tsukareta kokoro yasumasetara
suteki na ashita wo negai nemuri ni tsuite
chiisana kodomo no you ni

kono hiroi sekai wa tsunanagatteru
shiroi kumo wa nagare kaze ni natte kimi no moto e

watashi no koe wa todokimasuka
afureru kimochi ienakatta

watashi wa kimi ni totte no sora de itai
kanashimi made mo tsutsumi konde
itsudemo miageru toki wa hitori janai to
tooku de omoeru you ni

kaeru basho de aru you ni
kaeru basho de aru you ni

Edward était aux anges. Le spectacle ce termina par un duo. Ce duo était interprété par Riza et Winry. Après le spectacle, Riza et Winry discutaient avec Roy, Edward et Alphonse dans le hall. Winry avouait qu’un de ses clients prévoyait de tuer une bohémienne. C’est à ce moment, que le jumeau d’Havoc sortit de la salle. Roy quitta le groupe quelques instants pour aller lui parler. Il fut accompagné par son garde du corps Boule Dog. Riza observait la scène de loin. Elle vu Roy donner une liasse de billets à Havoc. Ensuite, Roy retourna voir Riza. Il lui chuchota quelques mots. Riza et Roy s’excusaient et Boule Dog aussi. Ils montèrent tous trois dans la chambre de Riza. Boule Dog resta dans le couloir et se posa devant la porte de la chambre de la jeune femme. A l’intérieur, Roy et Riza étaient entrain de se disputer. Dix minutes plus tard, l’orage fut passé. Roy embrassa Riza. Quelques secondes plus tard, Roy et Riza se retrouvèrent nus dans le lit.

Vers cinq heures du matin, Roy et Boule Dog quittèrent « Au paradis fumeNight » pour aller à la demeure des Schulz
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeVen 21 Sep - 22:28

Chapitre 3 :

Dans la lueur de l’aube, une voiture roulait vers une magnifique propriété, avec à son bord le chauffeur, Boule- dog et son passager arrière, Roy Schulz qui venait de quittait le Paradis fumeNight et qui repensait à la soirée qu’il venait de passer et à toutes les choses qui s’étaient produite avec sa belle, Riza, qu’il aimait sans aucun doute. Quand Boule-dog le coupa dans ses pensées.
-Mr Roy, je vous ai entendu vous et Melle Riza levaient la voix. Rien de grave, j’espère.
-Non, non ; ne t’inquiète pas ! Riza m’a demandé de prendre en charge à la maison, si je voulais bien, les deux jeunes hommes, Edward et Alphonse Elric, qui discutaient avec nous cette nuit. Car, elle nous a entendus parler ensembles, lorsqu’on était devant le bar, de ce que pourquoi, ils étaient arrivés ici dans cette ville. Et quand elle a entendu, qu’ils allaient restés quelques temps dans cette ville ainsi qu’à cet hôtel, elle a pensé tout de suite, à me demander de les héberger, pour ne pas que son patron, Mr Havoc, n’en profite. Tu sais combien, il est radin et elle ne veut pas qu’il s’en mette plein les poches sur le dos de ces jeunes.
-Oui, c’est vrai. J’ai remarqué que vous aviez donné, une grosse somme d’argent par rapport à la dernière fois.
-En effet j’ai du proposé beaucoup plus pour pouvoir passer le restant de la nuit avec Riza. Il m’écoeure de plus en plus ce type.
-Ce n’est pas à cause de ces deux jeunes hommes que vous éleviez la voix tout les deux quand même !
-Oh ! Tout est parti, en faite, du moment où je lui ai dit que j’allais vraiment tout faire pour la racheter et l’arracher des bras de ce tortionnaire. Un gars qui profite de ses employées pour ce faire un maximum de fric, n’est pas un patron pour moi.
-Je comprends votre point de vu, c’est vrai qu’il ne se comporte vraiment comme tel.
-Tu as pus le remarquer par toi-même. Donc je lui ai dit que je ne la laisserai pas ici, beaucoup plus longtemps, car je l’aime trop pour continuer à la voir souffrir, avec cet homme. Et là, on a commencé la dispute, elle me disait qu’il ne fallait surtout pas essayer de la racheter à cet homme, que déjà il ne la lâcherait pas aussi facilement que je ne le pensais et que je risquerais d’avoir des ennuis.
-Hum, je vois.
-Je lui ai quand même dit, que j’essayerai et peu un porte les ennuis. Car elle ne voulait pas que j’ais des ennuis à cause d’elle et que ça n’en valait pas la peine. Alors je lui ai expliqué que pour moi, elle valait toutes les choses les plus chères au monde et on s’est calmé.
- Oh ! Riza, toujours à vouloir protéger les autres plutôt que de d’essayer de se protéger, elle-même. Je reconnais là son grand cœur.
-Oui, toujours à penser aux autres, la preuve avec ces deux jeunes, Edward et Alphonse. En tout cas, avant de partir tout à l’heure, je lui ai dis que j’acceptai de les prendre sous mon toit, et que tu viendrais les chercher vers quatorze heure. Et qu’elle leur en parle.
-Très bien, nous allons avoir deux hôtes de plus, et un peu de divertissement.

Au moment ou la conversation se terminait, la voiture arrivait aux abords de la propriété de Roy. C’était une très grande maison avec plus de quinze chambres, une très grande salle à manger, six salles d’eau avec toilettes, une cuisine, une bibliothèque, un énorme hall à l’entée, un salon et un magnifique jardin. Ainsi que le personnel qui allait, avec toutes les tâches respectives.

Quelques heures plus tard une jeune femme blonde, se réveiller dans une chambre d’un certain établissement. Elle alla prendre une douche, s’habilla, sortie de sa chambre et alla frapper à la porte, d’une autre jeune femme, qui elle aussi était blonde.
-Winry, je peux entrée, c’est moi Riza.
-Oui
-Tu as de la chance, je viens juste de finir de me doucher et de m’habiller. Il y a un problème, pour que tu viennes aussi tôt.
-Tôt, Winry, il est dix heures du matin. Non, en faite, il faudrait que tu dis à Mr Edward et Mr Alphonse Elric, que quelqu’un va venir les chercher à quatorze heure. Et qu’ils vont logés chez Mr Roy Schulz.
-Tu as demandé à Roy, ce service là ! Mais on ne les connait même pas ces hommes !
-Oh ! Winry, je ne veux pas que Mr Havoc profite d’eux ; ils sont jeunes et peut être bien naîf. Est-ce que tu comprends ?
-D’accord, j’irais leur dire.
-Et puis, comme cela, tu pourras le voir quand tu m’accompagneras chez Roy.
-De qui tu parles là !
-Ne fait pas ta sainte ni touche, tu crois que je n’ai pas remarqué, comment tu le regardais !
-Non, non, non, ce n’est pas ce que tu crois !
-Bon passons, tu leur diras et il ya pas de mais, qu’ils le comprennent bien, ok ! Bon, je te laisse aller leur dire dans ce cas, on se verra un peu plus tard.
-Ok !
Riza, quitta la chambre pour rejoindre la sienne et faire un petit brin de ménage. Winry, quand à elle alla rejoindre la chambre des deux frères Elric, pour leur passer le message de Riza. Elle toqua et attendit qu’on vienne lui ouvrir. Ce fut Alphonse qui lui ouvra la porte.
-Bonjours Melle notre hôtesse, que vos l’honneur de votre visite !
-Appelez - moi Winry, si vous voulez bien, plutôt que hôtesse.
-Bien sûr. Moi c’est Aplhonse.
-D’accord, donc je suis venu pour vous dire que quelqu’un va venir vous chercher à quatorze heure, devant l’établissement. Et prenez vos affaires, car c’est chez Mr Roy que vous allez être logé, le restant de votre séjour.
-Mais je ne sais pas, on ne le connait que depuis hier, et puis je doute que mon frère accepte.
-Il y a pas de mais qui tienne, c’est ce qu’on m’a dit. Alors fait entendre raison, à ton frère.
-Je lui dirais, quand il se réveillera. On descendra pour le déjeuner, et est – ce que tu peux nous apporter un journal à notre table quand, nous y serons, ça sera très gentil de ta part.
-Bien sûr. Pas de problème. A tout à l’heure dans ce cas.
Alphonse referma la porte de leur chambre et Winry descendit en bas pour préparer leur table.
Plus tard, Edward s’était réveillé et allait prendre une douche, quand Alphonse l’en empêcha.
-Ed ! Il faut que je te dise quelque chose.
-Vas – y, je t’écoute et fait vite.
-Voilà, quand tu dormais tout à l’heure, notre hôtesse Winry est venue nous voir, avec un message de la part de Melle Riza.
-Ah ! Et s’était quoi comme message ?
-L’homme d’hier avec qui on a parlé, Mr Roy Schulz.
-Oui, et bien.
-Il nous invite à rester chez lui, le temps que l’on restera ici, dans cette ville. On vient nous chercher à quatorze heures. Et on n’a pas le droit de refuser.
-Hum, c’est nouveau ça ! On n’a pas le droit de refuser !
-Niisan !! Je ne répète que ce que l’on m’a dit.
-Bon et bien, si on n’a pas le droit de refuser. Il est quelle heure là au juste, avec tout ça ?
-Onze heures trente, pourquoi ?
-Tu ne pouvais pas me réveiller plus tôt, non !!!! Et on vient nous chercher à quatorze heures et je ne suis même pas lavé, ni habillé et pour finir, on n’a pas encore déjeuné ! (Edward disait ça, en gesticulant des bras.)
-Arrêt de t’énervais comme ça. Tu as trente minutes pour te laver et t’habiller, ensuite on a largement le temps de descendre en bas pour manger.
-Et les valises, tu y as pensé aux valises ! Non, tu vois, on a encore ça à faire.
-Tu me prends pour qui Ed ! Elles ont été faite, pendant que Mr dormait !!
-Grrrrrrrr. Qu’est – ce que je ferais sans toi Al !
-Oui, en effet, allez va te douché.

Edward alla donc à la salle de bain, se laver, puis en sorti quinze minutes plu tard pour s’habiller. Ils descendirent en bas où Winry, les attendait pour leur montrer la table qu’elle avait préparé pour eux deux.
Ils commandèrent le repas, mangèrent tranquillement.
Aphonse prit le journal qui était sur la table, que Winry lui avait déposé et commença à le lire. Et là son visage d’un coup, devenait blanc à la lecture d’un article, pas très agréable à lire. Edward remarqua son frère et prit la parole.
-Al ! Qu’est-ce qui t’arrive, tu es blanc. Tu me fais peur là !
Alphonse lui jetant presque le journal, à la figure, tellement, il était en colère.
-Regarde ! On a assassiné Noah. On aurait du la prendre avec nous.
-Al ! Calme toi un peu, c’est vrai, on aurait du la prendre avec nous.
-En plus dans le journal, ils disent qu’il y a aucune preuves laisser par le coupable et que fautes de preuves, ils classent le dossier.
-C’est pas vrai ! Ils ne peuvent pas fermer un dossier en si peu de temps !
-La preuve que si ! Et je te garantis que je vais tout faire, pour retrouver le coupable et le punir, comme il se doit.
-Bien sûr, Alphonse ! On demandera de l’aide au professeur Mabuse, quand nous le verrons. D’accord !
-Oui, niissan. (Alphonse commençait seulement à se calmer). Elle était si gentille, avec nous. Elle va me manquait, Ed !
-A moi, aussi frangin.

Ils remontèrent dans leur chambre, pour récupérer les valises, redescendirent vers l’accueil où se trouver le gérant, pour pouvoir régler la chambre, et le repas. Edward alla payer et Alphonse l’attendait dans le hall.
-Vous nous quittez déjà !
-Oui, nous étions juste de passage, et nous allons continués notre chemin.
Edward mentit un petit peu, pour ne pas dire, qu’ils étaient invités pour le restant de leur séjour chez Mr Roy Schulz, car il avait remarqué hier soir le regard de celui-ci, lorsqu’il était monté avec Riza.
-Quel dommage ! Bonne route quand même.
-Merci, beaucoup Monsieur.

Et ils sortirent tout les deux, du Paradis fumeNight, en n’oubliant pas de dire au revoir à Winry et à Riza, n’omettant pas de la remercier. Ne sachant pas que le destin, allez les faire se revoir plus tôt que prévu.
Quelques minutes plus tard, une voiture arriva.
-Al, quand il dit quatorze heures, c’est quatorze heures.
-Oui, en effet, pile à l’heure. Bon, montons dans la voiture !
Ils montèrent donc, dedans, en n’oubliant pas de saluer le chauffeur, qui n’était autre que Boule-dog, et la voiture prit la direction de la demeure de Mr Roy schulz.
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeMer 3 Oct - 19:46

Chapitre 4 :

La voiture prit donc la direction, de la demeure de Roy Schulz. Le silence plané pendant tout la duré du trajet, laissant deux jeunes hommes regardaient, le paysage par les vitres du véhicule. Ils arrivèrent dans un quartier, assez luxueux, d’après les différentes demeures, s’y trouvant. Et là, leurs pensées étaient en train de s’imaginer à quoi pouvait bien ressembler, la demeure dans laquelle, ils se dirigeaient à toute allure. Quand tout à coup Boule-dog interrompit leur douce pensée.
-Mr Edward et Mr Alphonse Elric, nous allons arrivé à destination, dans peu de temps.
Edward prit la parole. Avant qu’Alphonse n’est eu le temps de réagir.
-Merci beaucoup, Monsieur.
-Oh ! Appelé – moi Boule-dog.
-D’accord, et nous juste Ed et Al, ça sera plus simple que les Monsieur.
-Pas de problème.

A cet instant, la voiture arriva devant une grande grille, qui commença à s’ouvrir pour laisser entée la voiture. Alphonse et Edward était en émerveillement devant cette demeure. Il faut dire qu’ils n’en avaient pas vu des aussi grande sur tout le chemin qu’ils venaient de faire.
La voiture s’engagea dans une allée, celle – ci avait de part et d’autres différents arbustes et fleurs, ainsi que quelques lampadaires pour éclairer la nuit. La voiture arriva devant la porte d’entrée principale, Boule-dog les fit descendre de la voiture, et la porte s’ouvra sur une des servantes, qui les fit rentrée dans le hall principale. Elle les débarrassa de leurs par-dessus et leur prit, d’attendre dans le salon que Boule-dog revienne d’avoir rangé la voiture au garage. Les deux frères regardaient tout autour d’eux, les décorations du salon où ils se trouvaient à l’instant précis. La pièce comportait un long canapé, quatre fauteuils, une table basse juste devant, une belle grande cheminé ornait par deux statues de chaque côté de l’âtre, et divers tableaux représentant des scènes de chasse et paysage. Boule-dog arriva et leur parla.
-Mon maitre Mr Roy Mustang vient de m’appelait et s’excuse de ne pas être là lors de votre arrivé, visite de courtoisie chez son père.
Alphonse prit la parole.
-Ce n’est pas grave, nous attendrons Mr Schulz.
-En attendant je vais vous faire visiter la demeure et vos chambres respectives, où vous pourrez laisser vos valises.
Boule-dog suivit d’Alphonse et Edward, sortirent du salon. Il leur montra au rez de chaussé, la cuisine, les escaliers pour aller à la cave, la deuxième porte pour sortir derrière au jardin, leur disant qu’il leur fera la visite de celui - ci un peu plus tard, au fond du hall principale se trouvait une double porte, donnant sur une très grande salle à manger. A côté du salon où ils étaient peu de temps avant, était une bibliothèque, et, de part et d’autre de la porte de la grande salle à manger, était un bel escalier en marbre gris clair, qui partait de chaque côté pour se rejoindre en haut, au premier étage. Ils montèrent à l’étage, où se trouvait la moitié des chambres et salle de bains, puisque à l’étage de dessus, y était la même chose. Boule-dog leur montra leurs chambres, ainsi que la salle de bains qu’ils pouvaient utilisés. Boule-dog leur dit qu’il les laissait, le temps qu’ils rangent leurs affaires, dans leur chambre tranquillement, et qu’il les attendait en bas dans le salon pour le reste de la visite, et qu’après Mr Roy Schulz sera certainement rentré.
Un quart d’heure plus tard Edward et Alphonse le retrouva dans le salon, comme il l’avait dit, et continua sa visite par le jardin qui se trouvait à l’arrière de la maison. Ils passèrent par la porte de derrière. Quand le tour de la propriété fut faite, Mr Roy Schulz était rentré et les attendait dans le salon avec une tasse de café.
-Vous voulez une tasse ?
-Avec plaisir, Mr Schulz ! (Les deux frères parlèrent en même tant.)
Il leur servit une tasse de café à chacun et les pria de s’asseoir, en face de lui.
- Vous vous êtes bien installer dans vos chambres ?
Edward prit la parole, après avoir bu une gorgée de café.
-Oui, et merci beaucoup pour votre hospitalité, Mr Schulz.
-Veuillez cesser, les Mr Schulz, appelez – moi juste Roy. Vu que l’on va se croisé régulièrement dans cette maison. Et puis – je vous appeler par vos prénoms ?
- Mais bien sûr, c’est vrai que ça sera plus simple, pour nous tous.
-Que devez – vous faire dans notre ville de Berlin ? Sans indiscrétion.
-Nous sommes venus voir le professeur Mabuse, qui est à l’ U.F.A. (Studio de tournage de Berlin) et retrouver quelqu’un.
-Il se fait tard pour aller voir votre professeur, non ?
-En effet, nous irons le voir demain après midi.
-Le repas sera servi, vers dis – neuf heures trente, cela vous convient- ils !?
-Parfait. Vous avez en tout les cas une très demeure. D’après, ce que moi et mon frère avons pu visiter. Elle est très grande. Ainsi qu’un magnifique jardin à l’arrière de celle- ci.
-Merci beaucoup. Elle appartient à ma famille depuis plusieurs générations.
-Nous allons vous laisser. Nous allons faire un tour dans votre splendide jardin jusqu’à l’heure du repas, si vous n’avez pas besoin de nous, bien évidemment.
-Pas de problème, vous faites comme chez vous. Mais fini le vouvoiement, d’accord. C’est Roy et rien d’autre. Compris Edward et Alphonse !
-Compris Roy.
Edward et Alphonse se levèrent et se dirigèrent vers la porte donnant sur le jardin. Roy, lui alla dans la bibliothèque, pour lire jusqu’ au repas du soir. Le temps passa très vite et ils se retrouvèrent tous dans la grande salle à manger, vers dix-neuf heures trente pour le repas qui fut aminé par un, Boule-dog, prêt à enlever sa chemise à chaque instant, pour montrer sa musculature, sans défauts. Quand le repas se termina, tous le monde prit congé et se dirigea chacun vers leur chambre. Edward et Alphonse se retrouvèrent dans la chambre de ce dernier, pour discuter un peu de ce qu’ils allaient faire demain.
-Ed, tu as vu cette chambre, franchement, elle est plus belle que cette chambre louait au Paradis fumeNight !
-Oui Al ! Tu as raison, Elle est bien mieux que cette chambre, de là bas, avec les cafards par tout et les toiles d’araignées à chacun des coins de la pièce. Rien qu’en y pensant, breuk !!! ça me fou des frissons par tout dans le dos et de même que les chambres, que nous louions à Munich, bien que celle-ci étaient toujours propre.
-Normal !!! Crétin ! Que les chambres étaient propre, vu que moi et Noah, on faisait le ménage, car si il avait fallu compter sur toi, je ne te raconte pas le désastre.
- Crétin ? Je vais t’en foutre moi des crétins, tu vas voir (gesticulant), et comment ça le désastre !! Je te signale que je peux très bien me débrouiller tout seul, en ce qui concerne ça !
-Le CAPHARNÜM oui. Tout qui traine par terre, entre les livres et les vêtements, je ne raconte pas, on pourrait se noyer.
Alphonse était plier en deux de rire, rien quand regardant la tête que faisait son frère, à cette remarque là.
-Je suis vraiment si bordélique que ça ! Al !
-Puisse que je te le dit, et puis si on arrive à rentrer un jour dans notre monde, tu n’auras qu’a demander à Winry.
-T’es fou ou quoi, si je lui demande ça, elle va réellement me prendre pour un crétin, et que si, c’est vrai, elle va s’énervé et là je vais encore me prendre, une de ses clé en pleine tête (toujours entrain de gesticuler).
-Je te vois bien niisan, par terre, assommé par le coup de clé, de notre chère et tendre Winry.
Et continua à rire de plus belle, rien qu’en s’imaginant son frère.
-Al !!! Tu es sans cœur ! Je te rappelle que je suis ton frère aîné.
-Dés fois, on se demande le quel de nous deux et l’aînés.
-T’insinues que je suis PETIT, c’est ça. Si PETIT QU’ON NE LE RETROUVERAIT PAS SOUS SES VETEMENTS ET SES LIVRES.
-Arrête de dire, ce que je n’ai pas dis, et puis tu vas réveiller tout le monde, si ils dorment.
Pour toute réponse Edward haussa les épaules. Alphonse changea de conversation, pour éviter de voir son frère bouder.
-Demain, nous allons voir le professeur Mabuse, Ed ! Il va être surpris de te revoir, non ?
-Je ne sais pas, Al, on verra bien demain dans l’après midi. Comme cela nous pourrons lui demander de nous remontrer la photo que j’ai vue la dernière fois, et ci il a eu des nouveaux échos, sur les personnes figurants dessus.
-Oui ! On verra demain, en espérant qu’il veuille bien nous aider. Et j’ai hâte d’y être, pour pouvoir voir cet homme, dont tu m’as parlé et qui ressemble au généralissime King Bradley. Mais d’un côté, ça va me faire bizarre, sachant que Mustang l’a tué dans notre monde.
-En effet, ça m’a fait bizarre, la première fois que je l’ai vu et c’est pour ça que je l’ai poursuivi et puis arrêt de te poser un tas de question, tu verras bien demain, il se fait tard, je vais aller me coucher, bonne nuit Alphonse.
-Sans doute, je verrais demain, et bonne nuit Niisan !
Edward quitta la chambre de son frère, pour aller rejoindre la sienne, qui se trouvait deux portes plus loin, pour aller prendre des habits de rechange et ressorti pour aller prendre une douche. La porte de la salle de bains se trouvait entre sa porte de chambre et celle d’Alphonse. Il en sortit vingt minutes plus tard, se coucha et s’endormit en sombrant dans de beaux rêves sur son monde et une certaine personne.
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeMer 3 Oct - 19:47

suite du chapitre 4. trop long à publier. Désoler pour la coupure. J'ai essayé de coupé du mieux que je pouvais.

Le lendemain passa très vite aussi, Ils allèrent donc à l’U.F.A ? Pour voir le professeur Mabuse. On leur indiqua le hall de tournage où il se trouvait et y allèrent, et le trouva.
-Bonjours professeur Mabuse.
-OH ! Bonjours Edward, comment vas-tu, depuis la dernière fois, je ne pensais pas te revoir, un jour ?
-Je vais bien, merci, je vous présente mon petit frère, Alphonse.
-Enchanté, de faire ta connaissance, Alphonse.
- De même professeur, Edward m’a parlé de vous, et comment vous vous êtes rencontré.
-Oui, en effet, il m’avait pris pour une personne qu’il connaissait, m’a poursuivi, assommait mon chauffeur, enfin bref, vous n’êtes pas venu pour me faire un petit coucou.
Edward reprit la conversation.
-Nous sommes venus pour vous demander de nous remontrer la photo, que vous m’aviez montrée la dernière fois, que l’on sait vu et nous aider à retrouver l’homme sur celle-ci, si vous voulais bien, évidemment.
-Je vais voir ce que je peux faire Edward, je connais plein de gens à Munich, qui pourront me renseigner là-dessus, ainsi que des policiers, mais je ne peux rien te promettre.
-Merci professeur, faite ce que vous pouvais, et votre aide, nous sera très utile, si vous arrivez à avoir des infos. Bien, Il se fait tard, nous allons vous laissez finir votre tournage tranquille, et si vous avez, quoi que ce soit comme informations, prévenez nous ! Vous pourrez nous joindre chez Mr Roy Schulz.
-Très bien, chez Mr Schulz, c’est noté. Mais demandez lui, aussi de vous aider, c’est un homme qui a de bonne relation avec beaucoup de monde, ainsi que les autorités.
-Encore merci, et à bientôt professeur, au plaisir de vous revoir.
Edward et Alphonse s’en allèrent en faisant un signe de la main au professeur qui s’en retourna, à son travail.
Pendant que les deux frères étaient partis voir le professeur Mabuse. Riza était venu voir Roy, en compagnie de Winry, prétextant des achats à faire, sinon Mr Havoc ne la laissait pas sortir et vu que là, elle était avec Winry, il ne se doutait de rien. Winry attendait toujours dans le salon que les deux tourtereaux finissent leurs petites affaires.
Mais ce jour là, elles ne se doutaient pas que quelqu’un les surveillé de l’autre côté de la route. Dans une belle et grand demeure, mais moins grande que celle de Roy, vivait une jeune femme de vingt cinq ans, grande, mince, cheveux noir, long jusqu’en bas des reins et les yeux d’un bleu azur. Elle s’appelait Gisela Reuter et aimait secrètement Roy, depuis très longtemps, et voir ces femmes venir assez souvent le voir, la mettait hors d’elle. Mais ne savais pas laquelle des deux était avec Roy. Et se jura de se venger. Donc elle décida de les suivre, à leur sortie de chez Roy, pour voir, où elles allaient, car pour elle, ces femmes n’étaient pas de la bourgeoisie comme elle ou Roy. Sa voiture se stoppa juste un peu avant l’établissement du Paradis fumeNight, quand elle les vit entrer à l’intérieur, les bras plein de sac, ne sachant pas comment elles avaient pu faire leurs achats, étant restaient presque toute l’après midi chez Roy. La voiture redémarra avec à son bord une femme, qui affichait un sourire sadique rempli de vengeance, car oui, elle l’aurait sa vengeance, pour avoir son Roy adorait.
Entre temps les deux frères était rentrés de chez le Professeur, et rejoignirent Roy et Boule-dog dans le salon avant de se rendre tous ensembles à la grande salle à manger, pour le repas. Qui passa aussi vite que celui de la veille au soir.
Quelques jours passa, ainsi sans encombres, et Alphonse décida d’aller voir le professeur Mabuse, pour voir si les gens de la police qu’il connaissait ne pouvait pas l’aider, dans ses recherches, du meurtrier de Noah. Ils étaient entrain de discuter dans le salon, quand la sonnerie de la porte d’entrée retentie. Laissant apparaître Riza et Winry. Roy sortit de la bibliothèque à cet instant pour aller embrasser sa chère et tendre Riza. Ils montèrent ensemble à l’étage, laissant Winry se dirigeait vers le salon, ouvra la porte et découvrit à sa grande surprise les deux frères. Vu que la dernière fois, qu’elles étaient venues, voir Roy, ils n’étaient pas là. Elle leur sourit et leur parla.
-Bonjours, tous les deux, comment allez vous depuis là dernière fois, que l’on sait vu.
Alphonse prit la parole, avant que son frère n’ais pu ouvrir la bouche.
-Bonjours Winry, nous allons bien, merci et toi ? Qu’est- ce que tu fais ici chez Roy ?
-Je vais bien, merci Alphonse. J’ai accompagné Riza, qui est venue voir Roy. Et je vais d’ailleurs l’attendre ici, qu’elle redescende.
-Bon, moi, je vais vous laisser, je vais aller voir quelqu’un, n’est-ce pas Edward !!
Lui donnant des petits coups de coude et un clin d’œil, avant de prendre la direction de la porte laissant derrière lui Winry et son frère qui avait prit une légère teinte rose sur les joues.
-A plus tard Alphonse
-Je ne sais pas si on se reverra, je risque de rentrer tard, mais merci Winry.
-Al, fait attention ! D’accord !
Edward eu en réponse la porte d’entrée qui claqua. Et se retourna vers Winry, pour lui demander si elle ne préfèrerait pas aller faire un tour dans le jardin, vu qu’il faisait beau, plutôt que de rester dans le salon, et attendre que Riza redescende.
- Hum… W.. Winry, tu ne voudrais pas aller faire un petit tour dans le jardin, plutôt que de rester là.
- Euh…Oui, pourquoi pas, il fait beau dehors, après tout.
Ils sortirent donc dans le jardin, par la porte de derrière, en saluant Boule-dog qui se trouvait à la cuisine, pour en y faire un tour. Ils marchèrent un petit moment, se dirigèrent vers un petit banc, qui se retrouvait sous un cerisier en fleur, et s’assirent. Winry commença la conversation, mais était très gêné, elle le regarda et sentie le rouge lui montait aux joues. Edward s’en aperçu et rougit lui- même. Et tourna la tête de l’autre côté, pour évité qu’elle le de la sorte.
-Euh… v… vous allez rester longtemps ici, dans cette ville, toi et ton frère ?
-Ca dépendra, de l’avancement de nos recherches.
-Je comprends, et tu fais quoi comme travail ?
-Je travail sur des projets de fusée avec mon frère à Munich. (N’allant pas lui dit qu’il était à la recherche, d’une personne possédant une bombe). Et toi pourquoi, fais tu ce travail là ?
-Oh ! Moi c’est pour pouvoir acheter les médicaments de ma grand-mère, elle est très souvent malade et les médicaments sont très chers, en plus dans le village où nous habitons, il ya pas de pharmacie, alors je lui envoie. Et que ce boulot paye bien, même si je ne l’aime pas trop, ainsi que le patron. (Baissant les yeux en lui disant ça)
-Hum…. Je vois, ça ne doit pas être facile tous les jours, alors !
-Pas facile, comme tu dis.
En lui disant cela, d’une petite voix mielleuse, elle rougissait de plus en plus. Edward la regarda, ses joues à lui avaient repris sa teinte normale et lui parla.
-C’est normal ! Tu es toute rouge ?! Ca vas pas, Winry !
-Si, mais…Oh, euh ! Il fait chaud, tu ne trouves pas.
-Oui, en effet il fait trés chau………

Edward ne put terminer sa phrase, que Winry s’était jetée, les yeux fermés, sur lui pour l’embrasser, le faisant presque tomber du banc, où ils étaient assis. D’abord surpris par son geste, se redressa comme il put et se mit, alors à penser à Winry de son monde, il ferma ses yeux et entoura la fine taille de la jeune fille, avec ses deux bras pour l’enlacer et la serré un peu plus contre lui. Winry quant a elle mis ses deux bras autour de son cou. Il approfondit son baisé et y prit même plaisir de sentir toute la chaleur que ce baiser pouvait lui procurer. Ils se séparèrent quand le manque d’air se fit sentir.
-Excuse –moi Edward, je n’aurais pas du.
-Ce n’est pas grave, mais pourquoi ?
-Tu lui ressemble tellement, je n’ai pas pu résister.
-Je lui ressemble…. ?
-Oui, mon fiancé ! Tu as le même visage, les yeux, et la façon d’agir, il y a que les cheveux, les tiens son longs alors que lui les avaient court. Je suis désolée. Et toi, pourquoi ne m’as-tu pas repoussé ? (Les larmes aux yeux)
-La même chose, de la où je viens, il y a une personne que j’apprécie énormément et qui te ressemble comme deux gouttes d’eaux. Et je n’ai jamais réussi à lui dire que je l’aimais. Mais ne pleure pas, je t’en pris.

Edward ne sachant pas quoi faire à se moment là, décida de la reprendre dans ses bras pour la consoler et ils se regardèrent de nouveau dans les yeux et ne purent s’empêcher de s’embrasser encore une fois, encore plus passionnément que le premier baisé, qu’ils venaient de s’échanger, peu de temps avant. La journée se termina ainsi, sous ce cerisier en fleur, pour nos deux jeunes amoureux.

Pendant tout ce temps là, Gisela Reuter était partie, voir le gérant de cet établissement. Pour lui signaler, que deux de ces employées étaient chez Mr Roy Schulz. Havoc fut surpris de cette révélation et quand Gisela sortie de l’établissement, il se mit dans une colère noir, en jurant que Riza ne s’en sortirai pas comme ça, ainsi que ce cher Roy Schulz. L’avoir trompé comme cela sous ses yeux, oui, ils allaient payer tout les deux.

L’heure de séparation fut vite venu pour nos tourtereaux, et Winry, Riza prirent le chemin du retour en prenant les sacs de courses que Boule-dog avaient été leur faire, pour ne pas éveiller les soupesons d’Havoc.


Elles arrivèrent devant le Paradis fumeNight et entrèrent
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeLun 8 Oct - 10:19

Et voilà encore un nouveau chapitre
Bonne lecture à tous.

Chapitre 5 :



Elles arrivèrent devant le Paradis fumeNight et entrèrent à l’intérieur, tout en rigolant.
Havoc les attendaient, dans le hall, les yeux remplient de haine et les mains posées sur ses hanches. Il regarda Winry et lui dit :
- Va faire tes valises, je ne veux plus te voire traîner dans le coin, t’es virée !
Winry partit en courant faire ses valises. Ensuite, Havoc se retourna vers Riza et l’emmena dans une autre pièce. Après avoir fait ses valises, c'est-à-dire une heure plus tard, Winry, toujours en pleure et tremblante, de se qui venait de ce passer, parti en courant chez Roy Schulz.

Roy Schulz, Edward et Alphonse étaient entrain de dîner. Alphonse venait juste de revenir, de sa rencontre avec le professeur Mabuse, qui lui avait dit qui ferait tout son possible, pour l’aider à avancer dans sa démarche, et en parlerait à ces connaissance. Boule-dog entra dans la salle à manger et chuchota à l’oreille de son employeur :
- Excusez-moi de vous dérangez, mais une personne veut vous parlez, je l’ai installé dans le salon.
Roy s’essuya la bouche avec sa serviette, la reposa sur la table, à côté de son assiette, se leva et s’excusa auprès de ses invités, en leur disant, qu’il ne serrait pas très long. Ensuite, il suivit Boule- Dog jusqu’au salon. Et là, il vu Gisela Reuter assise, les jambes croisées sur un des ses fauteuils, laissant deviner le début d’un de ses sous vêtement. Elle portait une mini-jupe très courte, noire et un haut très moulant de la même couleur, dessinant le contour de ses formes et laissant apparaître le haut de sa poitrine. Roy qui était un homme très bien élevé, la regarda droit dans les yeux et lui demanda :
- Que faite- vous chez moi à cette heure – ci mademoiselle Reuter ?
- Je suis venue tenter ma chance.
Disait Gisela, en se levant du fauteuil où elle était assise, tirant sur sa mini-jupe, pour la remettre en place, le fixa d’un regard mielleux et se jetant sur lui d’un coup sans le laisser réagir pour l’embrasser. Roy resta de marbre fasse à ce baisé, qui ne l’intéressait pas et la repoussa pour la énième fois. En lui disant :
- Mon cœur appartient et appartiendra, qu’à une seule personne.
- Et qui est cette personne ?
- Cela ne vous regarde pas
- Si c’est la catin du bar le Paradis fumeNigth, cette histoire est déjà réglée.
- Que voulez-vous dire ?
- Bonne soirée monsieur Schulz.
Et elle partie, en se déhanchant, sans rien dire de plus, mais affichait un sourire de victoire. Roy voulu la poursuivre, pour en savoir plus, sur ce qu’elle venait de lui dire, mais stoppa à la hauteur de la porte d’entrée, laissé ouverte par Gisela, car dehors, il pleuvait averse. Et Roy ne voulait pas se faire mouillé, pour cette femme qui plus est. Il referma la porte et décida enfin de revenir à la salle à manger où Edward et Alphonse l’attendaient à table. D’un seul coup, Alphonse demanda :
- On nous a dit que vous aviez, pas mal de relations dans cette ville et j’aimerais savoir si par tout hasard, vous n’auriez pas des informations sur un certain professeur Huskisson ?
- Peut être, mais je me souviens que ma cousine qui est scientifique renommée doit assister à Moscou à une conférence sur une arme qui révolutionnera le monde.
- Et elle vous a dit ce que c’était cette arme ?
- Je ne sais pas. Désolé, Al ! Mais, elle m’a dit que le scientifique qui présentait cette conférence s’appelait…Hum, comment il s’appelle encore.
- Vous vous en rappelez plus !
- Ça vient de me revenir… Huskisson ! Oui, c’est ça, Huskisson.
- Ed ! C’est possible que ce soit lui ? Qu’on l’est enfin retrouvé. Demanda Alphonse
- Il y a des chances, Al !
- Vous recherchez ce scientifique ? Répondit Roy
- Oui, nous devons récupérés quelque chose de très important et qu’il possède. Disait Alphonse.
C’est à ce moment là, que Boule-dog vient de nouveau quérir son maître, de la même façon que la dernière fois. Cette fois, ce fut Winry qui dérangea. Roy regarda Winry, intrigué et lui demanda :
- Que fais-tu ici ?
- Il sait tout !!! Cria, Winry en pleure.
Roy la regarda surpris. Tout à coup, il comprit que c’était un coup de Gisela Reuter. Winry lui dit :
- Il m’a virée.
- Boule-dog ! Emmène Winry, dans une des chambres, là haut.
- Mais, où allez- vous ? Demanda Boule Dog
- Voir Havoc !
- Attendez… je viens avec vous !
C’est à ce moment là, que quelqu’un sonna à la porte de la maison. Boule Dog regarda à travers une fenêtre qui donnait sur la porte et reconnu les amis du gérant du Paradis fumeNight. Ces gars là, avaient la même carrure que Boule Dog. Ils ne leur furent que cinq minutes pour trouver un plan. Edward, Alphonse et Winry allaient cherchés la voiture de Roy Schulz derrière dans le garage. Pendant que Roy et Boule Dog fessaient diversion. Ensuite, Edward, Alphonse et Winry les récupéraient au passage. Boule Dog ouvrit la porte et sortit accompagner de son maître. Roy regarda ces quatre géants et leur demanda poliment :
- Que puis-je pour vous, messieurs ?
- Nous venons au nom de notre très cher ami Havoc ! Fit l’un des quatre
- Alors, que puis-je pour lui ?
- Il voudrait que tu cesses de t’approcher de Riza ! Fit un autre
- Et si je refuse ?
- On va devoir employer la manière forte ! Fit un troisième en montrant ses poings
- Bien, messieurs, je suis au regret de ne pas pouvoir accepter cette requête.
C’est à ce moment là, que celui qui semblait être le chef de ses quatre hommes, lança son poing à la tête de Roy Schulz. Ce dernier l’évita de justesse. Ce geste déclancha la bagarre.

Au même instant dans le garage derrière la maison :
- Monte, dépêche- toi Winry ! Lui fit Ed en lui tendant sa main.
- Non.
- Pourquoi non ! Allez, viens ! Lui répéta Ed.
- J’ai peur en voiture.
- Pourquoi ? La question fut poser pas les deux frères
- Car mon fiancé est mort, dans un accident de voiture ! (Elle avait les larmes qui commençait à revenir à repensant à celui qu’elle avait aimé).
- Je sais, c’est dur ! Ce qu’on peut ressentir, quand on perd un être cher, mais là, ont a pas le choix Winry, si on fait rien, Roy et Boule Dog risquent de mourir. Répondit Edward, en la pressant un peu.
A cet instant, Winry prit la main d’Edward et la fit monter à l’arrière de la voiture. Edward était au volant, son frère à côté, lui disant d’aller plus vite. Quelques minutes plus tard, la voiture s’arrêta, dans un crissement de pneus, devant le lieu du combat. Roy et Boule Dog montèrent le plus vite possible, ne leur laissant à peine le temps de fermer les portières, que la voiture démarra en trombe. Les cinq hommes courraient après le véhicule. Mais ils abandonnèrent vite la couse.

Beaucoup plus tard, à deux heures de Berlin, Winry était entrain de fouiller dans une trousse de secours, qui ce trouvait dans le coffre de la voiture de monsieur Schulz, pour soigner leurs petites blessures, qu’ils avaient eu en se bagarrant avec ces gars. Tout à coup, elle tomba sur un bout de papier. Dessus, il y avait écrit : « A monsieur Schulz, mon amour pour toujours ». Winry le donna à Roy. Celui-ci l’ouvrit et lit silencieusement. D’un seul coup, il cria :
- Quel idiot ! Mais quel idiot !
- Que ce passe-t-il ? Demanda Boule Dog
Roy lui passa le mot. Boule Dog regarda son ami et lui demanda :
- Mais qui était cette personne, alors ?
- Je l’ignore

Au même instant, au Paradis fumeNight, Riza et Havoc étaient entrain de discuter ensemble :
- Tu crois qu’ils vont allés à Moscou ?
- Ils courent, ils volent, et tombe droit dans le piège de maître Huskisson ! Répondit Riza
- Quand même Misti, je me demande où ce trouve cette Riza Roscopovich ?
- Et moi, comment ce Roy Schulz c’est fait aussi facilement avoir ? Ha ! Ha ! Ha !
A ce moment là, Misti se leva du fauteuil en cuir où elle était assise et s’empara des lèvres d’Havoc.



Fin du chapitre, j’espère qu’il vous a plus !
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeJeu 11 Oct - 17:25

Voilà un nouveau chapitre
Bonne lecture à tous.

************************************************************************
Chapitre 6 :


La voiture de Roy Schulz était arrêtée à une station service. Cette station ce trouvait dans la ville de Poznan en Pologne. Edward, Alphonse, Winry, Roy Schulz et Boule Dog étaient sorti du véhicule le temps de prendre un bon café et un bon petit déjeuner car il était cinq heures du matin :
- Qu’allez-vous faire maintenant ? Demanda Boule Dog aux frères Elric
- On va aller à Moscou. Répondit Edward
- Car il faut qu’on arrête Huskisson. Continua Alphonse
- Et vous mademoiselle Winry ? Demanda Boule Dog
- Je partirais bien à Moscou ! Si Edward et Alphonse le veulent bien !
- Je n’y vois aucun problème ! Fit Alphonse
- Et vous ? que comptez-vous faire ? Demanda Edward, tout en regardant Roy et Boule Dog.
- Je compte partir à Moscou avec vous, pour allez voir ma cousine. Avoua Roy
- Et moi, je compte vous suivre partout ! Fit Boule Dog
Dès que l’aube fit son apparition, toute l’équipe décida de reprendre la route.


A la fin de journée, Edward, Winry et Boule Dog s’étaient endormit. Seul Roy et Alphonse étaient réveillés. La voiture se trouvait à deux heures de Varsovie. Roy qui commençait à fatiguer, proposa à Alphonse de prendre le volant. Celui-ci le regardait d’un air tout paniqué et lui répondit, qu’il ne savait pas encore conduire. Alors Roy lui expliqua tranquillement tout ce qu’il fallait faire. Alphonse, une fois rassuré et comprit comment faire avec le pédalier et le levier de vitesse de la voiture, prit le volant. La voiture roula quelques kilomètres, jusqu’à qu’une des roue du véhicule dérapas sur une plaque de verglas. La voiture fini sa route dans le fossé. Par chance, tous les occupants du véhicule n’avaient rien. Mais la voiture… c’était une autre histoire car sur le monteur était noyé sur plusieurs mètres de neige. A partir de maintenant, deux choix ce présentait à eux :
* Soit, ils attendaient ici qu’un automobiliste passe par cette route, et dans ce cas, ils gèleraient sur place.
* Soit, ils marchaient les quelques kilomètres qui leur restaient à faire.

Ils votèrent tous pour la deuxième solution. A peine avaient-ils fait deux kilomètres que Winry se plaignit d’avoir mal aux pieds dans ses bottes à haut talons et ne voulait plus marcher, en ce plaignant d’avoir marre. Ce qui fit râler, un peu tout le monde, mais Boule Dog ce proposa gentiment de la porter sur son dos. Pour la convaincre, il enleva sa chemise et montra sa belle musculation sous le regard quelque peu surpris de Winry et les regards ahuris des trois autres, qui ne s’attendaient pas à voir Boule Dog, enlevait sa chemise par un temps pareil. Mais au bout de trois minutes, ils retrouvèrent un Boule Dog devenue un glaçon vivant. Après avoir remit sa chemise, Boule Dog porta Winry. Ils firent encore trois kilomètres jusqu’ à ce que, un camion s’arrêta et leur proposa de les emmener à Varsovie, vu qu’il s’y rendait et que vu le temps qu’il faisait dehors, on les aurait retrouvaient certainement mort de froid. Ils acceptèrent tous et le remercia bien poliment de sa gentillesse.

Ils arrivèrent à Varsovie vers vingt heures. Le chauffeur du camion, les déposa à la gare. Pour le remercier de les avoir pris en stop au bord de la route, Roy lui donna trois billets. Ensuite, ils entrèrent tous, dans la gare. Roy partit tout de suite au guichet pour prendre cinq billets pour Moscou. Par chance, leur train partait à vingt heures trente, quai numéro 4. Ils prirent la direction du quai et montèrent toute suite dans le train qui était à quai et attendait le signal de départ du chef de gare. Dès que le train ce mit en route, ils partirent à la recherche du wagon restaurant pour tous ce rassasier, car mine de rien, ils n’avaient rien mangés depuis un certain temps, ce que l’estomac d’Edward leur rappela, dans un bruit indescriptible.

Après un repas assez modeste, ils prirent la direction d’un autre wagon pour y trouver de la place. Une fois, trouvé, ils s’installèrent tous. Edward et Boule Dog ne mirent pas longtemps à s’endormirent, en même temps. Ils furent bientôt suivit par Winry. Cette dernière ce servait de l’épaule d’Edward comme oreiller. Alphonse lui, essayait de trouver le sommeil, mais, c’était peine perdu car Edward et Boule Dog faisaient un concours de ronflement. Boule Dog gagnait haut la main, car Alphonse ne savait pas qui, d’ entre la locomotive et lui, fessait le plus de bruit. Roy, lui non plus ne dormait pas. Ce n’était pas pour les mêmes raisons qu’Alphonse. Celui-ci semblait être dans ces pensées. Alphonse, le vit une nouvelle fois relire cette lettre. Que contenait-elle ? Qui l’avait écrite ? C’était deux des six questions qu’Alphonse se posait. D’un seul coup, il le vit se lever, sans rien lui dire et sortir du compartiment où ils se trouvaient tous. Alphonse se demanda où pouvait il bien aller, mais n’osa pas lui poser la question de peur d’être vraiment indiscret. Il réapparut une heure plus tard. Encore une fois, il ressortit la lettre de sa poche. Il la lu une énième fois. Il tourna ensuite son visage vers la fenêtre. Où le paysage défilait dans le noir. C’est ainsi qu’il s’endormit. Laissant Alphonse dans ses pensées, vis-à-vis de lui et les ronflements de Boule Dog et de son frère qui n’avaient pas cesser mais empirer, ainsi qu’une Winry dormant, affalait sur l’épaule de son frère. Ce qui le fit rire, en voyant cette scène. Un peu jaloux, en pensant qu’il aurait bien aimé être à leur place, avec la personne qu’il aimait au fond de son coeur.



Le train arriva en gare de Moscou, le lendemain à dix heures du matin, heure locale. Maria la cousine de Roy l’attendait sur le quai. Elle fit de grands signes de mains dés qu’elle vu le haut de la tête de Roy et dès que Boule Dog l’eut aperçu, il se mit à courir et la serra de plus en plus fort dans ses bras muscler, manquant de la tuer par manque d’air. Il la relâcha enfin au bout de six minutes. Une fois remit de ses émotions avec Boule Dog, elle embrassa son cousin pour lui souhaiter la bienvenue et se présenta à Winry, Edward et Alphonse. Elle ressemblait beaucoup au lieutenant Ross. Les deux seules différences sont que la cousine de Roy avait les cheveux longs et portait des lunettes. En voyant leurs tenues, car partis précipitamment, n’avaient pas du tout pensés aux vêtements de rechange et chaud de surcroit. Elle leur proposa donc d’aller acheter des vêtements chauds, beaucoup plus adapter à la vie d’ici et une paire de chaussure plate pour Winry, qui avait ses bottes à hauts talons.


C’est ainsi que Roy et les autres se retrouvèrent dans une grande galerie commerciale souterraine. (Comme au Canada). C’est d’ailleurs dans une boutique de décoration que Roy percuta une jolie jeune femme russe. Cette femme faisait environ un mètre cinquante-cinq. Ses cheveux étaient noirs, long et friser comme ceux d’une poupée en porcelaine. Roy ne put voir ses yeux car ils étaient cachés par des lunettes à verre bleu foncée. Elle avait le teint de peau tellement claire qu’on aurait pu croire qu’elle était malade alors qu’elle était en bonne santé. Elle portait une robe longue ample et blanche en coton. Par-dessus, elle avait mit une longue veste en cuir blanc donc l’encolure et les manches étaient en fourrure de lapins. En là voyant, Roy pensa qu’elle ressemblait beaucoup à Liza, la poupée en porcelaine de sa jeune nièce. En percutant Roy, la jeune femme perdit l’équilibre et tomba à terre. Roy l’aida à se relever :
- Excusez-moi, je ne vous avais pas vu ! Firent-ils en même temps dans leur langue respective
Elle regarda Roy, lui sourit et lui demanda :
- Vous êtes Allemand ?
Sa voix était douce et fine.
- Oui, seulement du côté de mon père. Et vous parlez ma langue ?
- Couramment, en faite, c’est un ami qui ma apprit.
Roy tomba littéralement sous son charme. C’est à lors que sans réfléchir il demanda :
- Acceptez-vous de dîner avec moi un soir pour me faire pardonner de cette bousculade ? Mademoiselle… ?
- Elizabeth !
- Quel joli prénom !
- Merci et oui
- Oui quoi ?
- Pour le dîner ! Ce sera avec grand plaisir !
- Vous connaissez un grand restaurant où on pourrait passés la soirée ?
- Pourquoi pas chez moi ?
Elle lui tendit ensuite un bout de papier où étaient indiqués une adresse et un numéro de téléphone :
- Appelez-moi quand vous aurez le temps !
- Ce sera avec joie Elizabeth !
Ensuite, elle partie continuer son tour dans le magasin. Après son départ, Roy regarda la carte. Il manqua de s’étouffer quand il lu le nom de cette jolie femme. Ensuite, il partie rejoindre sa cousine et les autres, qui étaient encore entrain d’attendre, que winry, veuille bien se décidait, enfin, à choisir sa paire de chaussures, sous les regards exaspérés des trois garçons, qui n’arrivaient pas à comprendre, comment une femme pouvait mettre autant de temps rien que pour une paire de chaussures. Alors qu’est ce que devait être les vêtements ? Après avoir trouvé ce qui leur fallait en vêtement pour ne pas avoir froid, ils partirent en quête d’un hôtel pour la nuit.
***************************************************************
fin de ce chapitre.
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeJeu 11 Oct - 22:32

c'est pas mal !! continue bien...
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeLun 15 Oct - 19:22

Voilà un nouveau chapitre
Bonne lecture à tous.

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Chapitre 6 :


La voiture de Roy Schulz était arrêtée à une station service. Cette station ce trouvait dans la ville de Poznan en Pologne. Edward, Alphonse, Winry, Roy Schulz et Boule Dog étaient sorti du véhicule le temps de prendre un bon café et un bon petit déjeuner car il était cinq heures du matin :
- Qu’allez-vous faire maintenant ? Demanda Boule Dog aux frères Elric
- On va aller à Moscou. Répondit Edward
- Car il faut qu’on arrête Huskisson. Continua Alphonse
- Et vous mademoiselle Winry ? Demanda Boule Dog
- Je partirais bien à Moscou ! Si Edward et Alphonse le veulent bien !
- Je n’y vois aucun problème ! Fit Alphonse
- Et vous ? que comptez-vous faire ? Demanda Edward, tout en regardant Roy et Boule Dog.
- Je compte partir à Moscou avec vous, pour allez voir ma cousine. Avoua Roy
- Et moi, je compte vous suivre partout ! Fit Boule Dog
Dès que l’aube fit son apparition, toute l’équipe décida de reprendre la route.


A la fin de journée, Edward, Winry et Boule Dog s’étaient endormit. Seul Roy et Alphonse étaient réveillés. La voiture se trouvait à deux heures de Varsovie. Roy qui commençait à fatiguer, proposa à Alphonse de prendre le volant. Celui-ci le regardait d’un air tout paniqué et lui répondit, qu’il ne savait pas encore conduire. Alors Roy lui expliqua tranquillement tout ce qu’il fallait faire. Alphonse, une fois rassuré et comprit comment faire avec le pédalier et le levier de vitesse de la voiture, prit le volant. La voiture roula quelques kilomètres, jusqu’à qu’une des roue du véhicule dérapas sur une plaque de verglas. La voiture fini sa route dans le fossé. Par chance, tous les occupants du véhicule n’avaient rien. Mais la voiture… c’était une autre histoire car sur le monteur était noyé sur plusieurs mètres de neige. A partir de maintenant, deux choix ce présentait à eux :
* Soit, ils attendaient ici qu’un automobiliste passe par cette route, et dans ce cas, ils gèleraient sur place.
* Soit, ils marchaient les quelques kilomètres qui leur restaient à faire.

Ils votèrent tous pour la deuxième solution. A peine avaient-ils fait deux kilomètres que Winry se plaignit d’avoir mal aux pieds dans ses bottes à haut talons et ne voulait plus marcher, en ce plaignant d’avoir marre. Ce qui fit râler, un peu tout le monde, mais Boule Dog ce proposa gentiment de la porter sur son dos. Pour la convaincre, il enleva sa chemise et montra sa belle musculation sous le regard quelque peu surpris de Winry et les regards ahuris des trois autres, qui ne s’attendaient pas à voir Boule Dog, enlevait sa chemise par un temps pareil. Mais au bout de trois minutes, ils retrouvèrent un Boule Dog devenue un glaçon vivant. Après avoir remit sa chemise, Boule Dog porta Winry. Ils firent encore trois kilomètres jusqu’ à ce que, un camion s’arrêta et leur proposa de les emmener à Varsovie, vu qu’il s’y rendait et que vu le temps qu’il faisait dehors, on les aurait retrouvaient certainement mort de froid. Ils acceptèrent tous et le remercia bien poliment de sa gentillesse.

Ils arrivèrent à Varsovie vers vingt heures. Le chauffeur du camion, les déposa à la gare. Pour le remercier de les avoir pris en stop au bord de la route, Roy lui donna trois billets. Ensuite, ils entrèrent tous, dans la gare. Roy partit tout de suite au guichet pour prendre cinq billets pour Moscou. Par chance, leur train partait à vingt heures trente, quai numéro 4. Ils prirent la direction du quai et montèrent toute suite dans le train qui était à quai et attendait le signal de départ du chef de gare. Dès que le train ce mit en route, ils partirent à la recherche du wagon restaurant pour tous ce rassasier, car mine de rien, ils n’avaient rien mangés depuis un certain temps, ce que l’estomac d’Edward leur rappela, dans un bruit indescriptible.

Après un repas assez modeste, ils prirent la direction d’un autre wagon pour y trouver de la place. Une fois, trouvé, ils s’installèrent tous. Edward et Boule Dog ne mirent pas longtemps à s’endormirent, en même temps. Ils furent bientôt suivit par Winry. Cette dernière ce servait de l’épaule d’Edward comme oreiller. Alphonse lui, essayait de trouver le sommeil, mais, c’était peine perdu car Edward et Boule Dog faisaient un concours de ronflement. Boule Dog gagnait haut la main, car Alphonse ne savait pas qui, d’ entre la locomotive et lui, fessait le plus de bruit. Roy, lui non plus ne dormait pas. Ce n’était pas pour les mêmes raisons qu’Alphonse. Celui-ci semblait être dans ces pensées. Alphonse, le vit une nouvelle fois relire cette lettre. Que contenait-elle ? Qui l’avait écrite ? C’était deux des six questions qu’Alphonse se posait. D’un seul coup, il le vit se lever, sans rien lui dire et sortir du compartiment où ils se trouvaient tous. Alphonse se demanda où pouvait il bien aller, mais n’osa pas lui poser la question de peur d’être vraiment indiscret. Il réapparut une heure plus tard. Encore une fois, il ressortit la lettre de sa poche. Il la lu une énième fois. Il tourna ensuite son visage vers la fenêtre. Où le paysage défilait dans le noir. C’est ainsi qu’il s’endormit. Laissant Alphonse dans ses pensées, vis-à-vis de lui et les ronflements de Boule Dog et de son frère qui n’avaient pas cesser mais empirer, ainsi qu’une Winry dormant, affalait sur l’épaule de son frère. Ce qui le fit rire, en voyant cette scène. Un peu jaloux, en pensant qu’il aurait bien aimé être à leur place, avec la personne qu’il aimait au fond de son coeur.



Le train arriva en gare de Moscou, le lendemain à dix heures du matin, heure locale. Maria la cousine de Roy l’attendait sur le quai. Elle fit de grands signes de mains dés qu’elle vu le haut de la tête de Roy et dès que Boule Dog l’eut aperçu, il se mit à courir et la serra de plus en plus fort dans ses bras muscler, manquant de la tuer par manque d’air. Il la relâcha enfin au bout de six minutes. Une fois remit de ses émotions avec Boule Dog, elle embrassa son cousin pour lui souhaiter la bienvenue et se présenta à Winry, Edward et Alphonse. Elle ressemblait beaucoup au lieutenant Ross. Les deux seules différences sont que la cousine de Roy avait les cheveux longs et portait des lunettes. En voyant leurs tenues, car partis précipitamment, n’avaient pas du tout pensés aux vêtements de rechange et chaud de surcroit. Elle leur proposa donc d’aller acheter des vêtements chauds, beaucoup plus adapter à la vie d’ici et une paire de chaussure plate pour Winry, qui avait ses bottes à hauts talons.


C’est ainsi que Roy et les autres se retrouvèrent dans une grande galerie commerciale souterraine. (Comme au Canada). C’est d’ailleurs dans une boutique de décoration que Roy percuta une jolie jeune femme russe. Cette femme faisait environ un mètre cinquante-cinq. Ses cheveux étaient noirs, long et friser comme ceux d’une poupée en porcelaine. Roy ne put voir ses yeux car ils étaient cachés par des lunettes à verre bleu foncée. Elle avait le teint de peau tellement claire qu’on aurait pu croire qu’elle était malade alors qu’elle était en bonne santé. Elle portait une robe longue ample et blanche en coton. Par-dessus, elle avait mit une longue veste en cuir blanc donc l’encolure et les manches étaient en fourrure de lapins. En là voyant, Roy pensa qu’elle ressemblait beaucoup à Liza, la poupée en porcelaine de sa jeune nièce. En percutant Roy, la jeune femme perdit l’équilibre et tomba à terre. Roy l’aida à se relever :
- Excusez-moi, je ne vous avais pas vu ! Firent-ils en même temps dans leur langue respective
Elle regarda Roy, lui sourit et lui demanda :
- Vous êtes Allemand ?
Sa voix était douce et fine.
- Oui, seulement du côté de mon père. Et vous parlez ma langue ?
- Couramment, en faite, c’est un ami qui ma apprit.
Roy tomba littéralement sous son charme. C’est à lors que sans réfléchir il demanda :
- Acceptez-vous de dîner avec moi un soir pour me faire pardonner de cette bousculade ? Mademoiselle… ?
- Elizabeth !
- Quel joli prénom !
- Merci et oui
- Oui quoi ?
- Pour le dîner ! Ce sera avec grand plaisir !
- Vous connaissez un grand restaurant où on pourrait passés la soirée ?
- Pourquoi pas chez moi ?
Elle lui tendit ensuite un bout de papier où étaient indiqués une adresse et un numéro de téléphone :
- Appelez-moi quand vous aurez le temps !
- Ce sera avec joie Elizabeth !
Ensuite, elle partie continuer son tour dans le magasin. Après son départ, Roy regarda la carte. Il manqua de s’étouffer quand il lu le nom de cette jolie femme. Ensuite, il partie rejoindre sa cousine et les autres, qui étaient encore entrain d’attendre, que winry, veuille bien se décidait, enfin, à choisir sa paire de chaussures, sous les regards exaspérés des trois garçons, qui n’arrivaient pas à comprendre, comment une femme pouvait mettre autant de temps rien que pour une paire de chaussures. Alors qu’est ce que devait être les vêtements ? Après avoir trouvé ce qui leur fallait en vêtement pour ne pas avoir froid, ils partirent en quête d’un hôtel pour la nuit.




Et fini pour le chapitre ! J’espère qu’il vous a plus
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeMer 24 Oct - 17:09

Bonne lecture à tous.

Chapitre 7 :

Roy, Boule Dog, Al, Edward, Winry et Maria, la cousine de Roy étaient en train de chercher un hôtel pour pouvoir passer la nuit et déposer les affaires qu’ils venaient d’acheter dans les magasins, et ensuite allaient manger un petit morceau, car mine de rien l’après midi était déjà bien entamer et la montre d’Edward indiquait presque quatorze heure. Cela allait être dure, de trouver un hôtel, car avec la conférence qui avait lieu demain soir, pratiquement tous les hôtels affichaient complet. Maria ne proposa même pas de les emmenaient, à celui où elle était descendu, vu que celui-ci était déjà complet depuis deux jours, et c’est ainsi qu’ils firent une bonne vingtaine d’hôtels, avant d’arriver à l’un des dernier et espérant qui leur rester de la place. A le voir de dehors cet hôtel, ne payer vraiment pas de mine, mais l’intérieur ne reflétait vraiment pas l’extérieur. Ils arrivèrent devant le comptoir, et appuyèrent sur le bouton de sonnette, pour indiquer leur présence au maitre d’hôtel, qui arriva peu de temps après.
- Bonjours Messieurs, Dames. Que puis –je pour vous ?
- Bonjour Monsieur, nous aimerions savoir si, il vous reste des chambres ? Demanda Roy
- Vous avez beaucoup de chance, il ne me reste plus que trois chambres de libre, avec cette conférence, tout est complet, ça n’a jamais aussi bien marché que c’est jours ci.
Roy regarda ses amis furtivement et prit la parole.
- Bien sûr, on prend vos trois chambres, qu’il vous reste.
Le maitre d’hôtel leur donna les clés et encaissa l’argent que Roy lui tendit pour les chambres et le petit déjeuner du lendemain matin. Roy se retourna vers ses compagnons et tendit les clés en disant :
- Il va falloir se partager les chambres. Bon ! Moi et Boule Dog dans une, Alphonse et Edward dans une autre et Winry dans la dernière. Ca convient à tout le monde.
- Pas de problème !! Disaient Al, Edward et Winry en cœur.
Roy demanda à Maria d’aller voir dans le petit restaurant, qu’ils avaient vu avant de rentrer dans cet hôtel, de réserver une table pour six personnes et d’attendre qu’ils viennent. Ensuite, ils montèrent tous à l’étage, pour allaient à leur chambre respectives, y déposer leurs vêtements et prendre une bonne douche, car il faut bien dire que, depuis le départ précipité de Berlin, aucuns n’avaient eu le temps de se laver correctement.
Quarante minutes plus tard, tous le monde s’étaient retrouver dans le hall, et prirent la direction de ce petit restaurant où Maria les attendait. Le repas se déroula très vite, vu qu’ils étaient arrivés pratiquement en fin de services, mais avaient quand même mangés très copieusement. Maria décida de leur faire faire un petit tour dans la ville, pour leur montrer les plus beaux monuments. La fin de journée passa à une vitesse folle, et Maria les quitta prés de leur hôtel, pour aller rejoindre le siens qui était presque à l’autre bout de la ville. Boule Dog se proposa de la raccompagner jusqu’à l’entrée de l’hôtel où elle logeait. Quand ils furent partis, Roy, Alphonse, Edward et Winry rentrèrent à l’hôtel et allèrent directement dans leurs chambres. Dans la chambre de Roy, celui-ci c’était jeté dans le lit, s’endormi très rapidement n’attendant même pas Boule Dog, dans la chambre de Winry, celle-ci était partie prendre un bain pour ce délasser, car si elle n’avait plus ces haut talons, ses pieds lui faisaient encore mal et le faite d’avoir marché une bonnes partie de l’après midi n’avait pas arrangé les choses. Et dans la chambres des frangins, Edward se reposait allonger sur le lit, les bras croisés sous sa nuque, regardant le plafond, tout en pensant à son monde et se demandant ce qu’ils pouvaient bien tous faire, là haut en ce moment. Alphonse, lui était dans la salle de bain, et se préparait pour ce mettre au lit, car il faut dire que la fatigue ce faisait cruellement ressentir. Il sortit de là, en disant que la place était libre, mais n’eu aucune réponse, et là il vit son frère, allonger sur le lit, affichant un visage pensif et se demanda à quoi, il pouvait bien pensée. Edward fût sorti de ses pensées par Alphonse qui venait juste de s’asseoir à côté de lui, en lui demandant si ça allait, il décroisa ses bras, se mit sur le côté et prit appuis sur un bras et regarda son frère d’un regard tendre. Edward lui sourit et lui indiqua que ça allait très bien, et qu’ en aucun cas, il fallait qu’il s’inquiète, il pensait juste à leur monde. Il se leva et alla à la salle de bains, laissant son frère toujours assis sur le lit, là où il s’était installé peu de temps avant. Il en sortie un quart d’heure plus tard et sorti de la chambre, en faisant un clin d’œil à son frère, qui venait de se coucher. Pendant sa douche, il s’était mis à penser à la Winry, de ce monde, en ce disant qu’il n’avait pas été très bavard depuis le départ de Berlin, avec elle, et décida que quand il sortira de la douche, il irait la voir pour l’inviter à manger demain soir au restaurant pour pouvoir bavarder un peu tout les deux, à leur sujet. Il se dirigea vers la chambre de Winry et y toqua trois petits coups. Quelques secondes plus tard la porte s’ouvra, sur une Winry qui venait juste de sortir de la salle de bain, les cheveux lâchés, et qui gouttaient sur sa chemise. Surprise, mais contente de le voir. Elle le laissa rentrer en lui demandant, s’il y avait un problème. Il entra tout en lui disant, qu’il n’y avait aucun problème, qu’il voulait juste lui demandait, si elle voulait bien accepter de venir diner avec lui demain soir. Elle accepta, en le regardant dans les yeux, en pensant qu’il était beau avec ses cheveux mouillé, coiffé en une tresse, et sa chemise blanche légèrement entrouverte, laissant deviner le haut de son torse. S’approchant de lui, toujours en se regardant dans les yeux Winry, passa ses bras, autour du cou d’Edward et frôla ses lèvres avec les sienne, ce qui lui provoqua un léger frison parcourant toute la colonne vertébrale du haut en bas. Il ferma ses yeux, entoura sa taille de ses bras et répondit ardemment à ce baisé, qu’il trouvait, plus exquis, que la dernière fois. Il fit glissé une de ses mains sous sa chemise, la faisant remonter, tout le long de sa colonne, la laissant frissonnait au contact de sa main, et se mis à penser à des choses pas très orthodoxe. Il se claqua mentalement, pour se remettre les idées en place et se sépara de Winry, en la regardant dans les yeux, s’excusant et lui disant qu’il était tard. Winry baissa la tête, en rougissant ne comprenant pas pourquoi, il s’excusait. Edward l’embrassa sur le front et retourna dans sa chambre, lui souhaitant de passer une bonne nuit. En retournant dans la chambre, qu’il partageait avec son frère, il croisa Boule Dog qui venait juste de rentrer, d’avoir raccompagné Maria, lui souhaitant à lui aussi, une bonne nuit d’un signe de la main, et entra dans la chambre. Alphonse l’attendait, allongé dans le lit, ne dormant toujours pas, curieux de savoir, où était allé son frère, d’un seul coup en sortant de la salle de bain, sans rien lui dire, qui plus est. Lui qui, d’habitude lui disait toujours tous.
Edward regarda sont frère, lui lança un petit sourire mielleux, tout en ce déshabillant et alla le rejoindre à côté de lui. Il se glissa sous les couvertures, ferma les yeux et raconta à son frère d’où il revenait et se qu’il avait fait. Alphonse rigola un bon coup, ne croyant jamais son frère capable d’une telle chose. Edward grogna un peu à la réaction de son frère et s’endormi rapidement, repensant à ce qu’il avait commencé à faire dans la chambre de Winry.
Le lendemain matin fut très vite arrivé. Roy se leva le premier et alla téléphoner à cette Elizabeth, dont il n’avait pas cessé de pensait à elle, la nuit en se rappelant le nom sur sa carte de visite, qu’elle lui avait laissé hier matin au magasin. Il arriva dans le hall de l’hôtel et demanda où il pouvait trouver un téléphone. Le maître d’hôtel lui indiqua, un petit escalier à sa droite, où il pourrait le trouver. Roy le remercia et se dirigea vers le lieu qu’il lui avait indiqué, en trouvant au bout de cet escalier son bonheur. Il décrocha et composa le numéro sur le cadran, et attendit qu’une personne à l’autre bout décroche. Quand, il entendit enfin sa voix, il se présenta en lui rappelant, l’accrochage dans le magasin hier matin, demandant si elle n’avait pas oublié qu’il l’avait invité à diner un soir, pour ce faire pardonner, lui demandant à tout hasard, si ce soir ne lui conviendrait- il pas. Elizabeth, lui donna une heure, et raccrocha en lui souhaitant en attendant de le revoir ce soir de passer une très bonne journée. Roy raccrocha à son tour, et partie en direction de sa chambre, en pensant que le mieux pour ce rendre chez elle, était encore de prendre un taxi, pour éviter de se perdre dans cette immense ville, qui lui était bien inconnue.
Maria, les rejoignit vers seize heures, pour savoir s’ils venaient tous à la conférence avec elle, mais fût surprise de ne voir qu’Alphonse lui dire qu’il venait avec elle, laissant les autres lui expliquer qu’ils avaient des choses très importante à faire, faisant apparaître un petit sourire en coin sur les lèvres d’Alphonse lorsqu’il posa son regard sur Edward et Winry, qui affichaient une jolie teinte rosée sur leurs joues.
Alphonse et Maria partirent vers dix sept heures pour assister à cette conférence que donner le professeur Huskisson, et qui avait lieu à dix huit heures trente et de l’autre côté de la ville. Laissant derrière eux, Roy et Boule Dog, qui avaient fait appeler, un taxi pour ce rendre chez Elizabeth et qui n’allait pas tarder à arriver. Winry et Edward, quand à eux, étaient déjà partis, vers le centre ville, y faire un petit tour et à la recherche d’un bon restaurant par la même occasion, toujours sous le regard amusé de son frère, qui voyait, Winry tenir le bras d’Edward, comme un tout jeune couple, faisant un peu plus rougir Edward, prit au dépourvu part ce geste, ne sachant plus quel attitude adopter.
Quelque temps après le départ d’Al et de sa cousine Maria, le taxi que Roy avait réservé, arriva devant l’hôtel, klaxonna pour prévenir ses clients de sa présence. Roy et Boule Dog se dirigèrent vers le taxi et y montèrent, indiquant l’adresse de destination, quand celui ci commençait à se mettre en route.

Fin de ce chapitre
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeLun 5 Nov - 19:56

Chapitre 8 :

Edward et Winry trouvèrent un bon petit restaurant, aux alentours de vingt heure, sur un petite place ou pas grand monde se promener. D’apparence, la façade de ce restaurant avait l’air très petit, mais en entrant dedans Winry et Edward furent très surpris de voir qu’en faite, il se composé de deux étages. Là, une serveuse les accueillit, en leur souhaitant la bienvenue dans leur établissement, Edward et Winry la salua d’un signe de la tête et demandèrent une table pour deux personnes. La serveuse leur demanda de bien la suivre et les emmena vers une petite salle, où se trouvait une dizaine de tables pour deux et quatre personnes, passant juste devant une très grande salle, à moitié vide et qui pouvait accueillir au moins une centaines de personnes. Elle les installa sur une petite table pour deux, un peu plus loin ce trouver une énorme cheminée où de grosses bûches de bois étaient entrain de brûler laissant une douce chaleur dans toute la pièce, et de l’autre côté de cette salle se trouver une porte qui indiquait l’endroit des sanitaires. Au plafond, six lustres, pas aussi beau que chez Roy, qui étaient tous allumer et éclairer ainsi toute la salle, sans laisser une parcelle d’ombre dans celle- ci. Une fois installés, elle leur demanda s’ils voulaient un apéritif avant le repas, Edward demanda un whisky et Winry prit la même chose pour l’accompagné. La serveuse les laissa en leur disant qu’elle revenait tout de suite avec leur commande et le livret de menu. Winry regarda plus attentivement dans la salle, pour voir quel était les autres tables de prises, et vit qu’une seule était occupée par un couple de personnes d’un certain âge, qui d’ailleurs finissait leur dessert et n’allait pas tarder à partir. Son regarda croisa celui d’Edward, qui lui fit un beau sourire, amusé de la voir regarder tout autour d’elle, ce qui s’y trouvait, la faisant légèrement rougir. Edward lui demanda si tout aller bien, en la voyant rougir ainsi. Winry baissa la tête, pour éviter de rougir encore plus, face à ce visage qu’elle trouvait magnifiquement beau et lui indiqua que tout aller bien et qu’elle avait passé une agréable après midi en sa compagnie, que cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie aussi bien, à part la dernière fois chez Roy dans le jardin derrière la maison. Elle le remercia encore une fois de l’avoir invitée au restaurant, cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas retrouver en tête à tête avec un homme, aussi charmant dans un restaurant, sauf pour son travail et encore ça n’était vraiment pas pareil. Edward continuait à lui sourire en pensant qu’elle ressemblait de plus en plus à son amie Winry, avec juste un petit détail en moins, elle ne portait pas en permanence sa clé de douze sur elle. Plus, il l’a regardait, plus, il la trouvait très charmante, et rien qu’a pensé, qu’il allait devoir lui dire qu’ils ne devraient pas trop s’attacher l’un à l’autre, pour éviter de ce faire souffrir, lui faisait mal au fond de la poitrine, car, fallait bien qu’il se l’avoue, rester dans ce monde couper du leur, sans les personnes qu’on aime, été dur et l’avoir rencontrer, lui avait un peu fait ressortir ses sentiments, qu’il essayait de cacher. C’est à ce moment là, que la serveuse arriva, déposant les deux verres sur la table, ainsi que les menus, le sortant de sa pensé. Ils la remercièrent bien gentiment. Elle s’en alla vers l’autre table, pour finir de la débarrasser, vu que le couple qui s’y trouver, venait juste de partir, leur disant qu’elle repasserait pour prendre le reste de leur commande. Edward bu une gorgée de son verre et commença à demander à Winry, comment était son fiancé et comment l’avait- elle rencontré si ça ne lui faisait pas trop mal d’en parler. Il faut dire qu’il était curieux de savoir, vu qu’elle lui avait dit la dernière fois qu’il lui ressemblait énormément. Winry lui disait que ça ne la gênait pas le moins du monde.
Elle lui expliqua, qu’ils étaient dans la même école, étant plus jeune et qu’une fois il avait pris sa défense face à deux garçons qui voulaient lui voler son sac pour l’embêter et que depuis ce jour là, ils étaient devenus inséparable. Il avait de la gentillesse à revendre, toujours entrain d’aider les autres, ne pensant pas beaucoup à lui. Edward pensa à lui lorsqu’elle venait de lui dire ça, affichant un léger sourire sur ses lèvres. Winry vida son verre et allait recommencée son récit, quand la serveuse revenu vers eux pour prendre enfin leur commande. Edward commanda une Goulash, qui au vu de la description sur le livre de menu, ressemblait beaucoup au ragout que leur faisait mamie Pinako. Winry demanda la même chose, se fiant au choix qu’avait fait Edward, n’ayant pas regardé le livre de menus. Elle put enfin reprendre son récit, ou elle en était arrêtée. Elle lui parla aussi du jour ou il avait dû partir avec ses parents, rendre visite à son grand-père en France, qui était mourant. C’est en pleine nuit, sur la route du retour, que son père n’ayant pas vu le sanglier qui traversait la route, que l’accident arriva, en voulant essayer de l’éviter, il percuta un arbre de plein fouet, les tuant tout les trois. Edward remarqua à cet instant quelques larmes qui commençaient à perler sur son fin visage. Il prit sa serviette, se releva un peu et lui essuya doucement, la faisant frissonner. Elle lui souriait et allait continuait quand il mit son doigt sur sa bouche, lui disant d’arrêter son histoire, qui ne voulait plus la voir pleurer. Elle le remercia, en lui donnant un baisé sur ce même doigt, qui était encore sur sa bouche. Edward l’enleva aussitôt, en se rasseyant, surpris de ce geste, mais ne lui montra pas, en le cachant par un de ces beaux sourires. Winry le regardait dans les yeux, rougissant pas la même occasion, lui demanda de lui parler un peu de là où il venait, ne se doutant pas du tout que c’était un autre monde.
La serveuse arriva avec les plats fumants et qui avaient l’air bien copieux, ne faisant pas du tout peur à Edward, qui commençait à avoir une fin de loup. Edward commença son récit sur sa vie tout en mangeant, lui expliquant qu’en fait l’Allemagne n’était pas son pays à lui et son frère et qu’ils venaient d’un autre monde, ou se pratiquer l’alchimie. A ce moment là, Winry, plus que surprise par ce que venait de lui dire Edward, affichait des soucoupes à la place des yeux, mais continuait à l’écouter attentivement, comme lui, l’avait fait peu de temps avant. Lui racontant ainsi, la mort de leur mère, la transmutation humaine ratée, les Méka-greffes, l’âme dans l’armure de son frère, l’entrée dans l’armée pour pouvoir rechercher la pierre philosophale, de son amie Winry, qui lui ressemblait énormément, de l’arriver dans ce monde, et de leur rencontre dans cet établissement à Berlin. Winry le regardait maintenant avec compassion, de ce qu’il venait de lui raconter, se sentant attirer par cet homme encore plus qu’avant, sans ressentir, étrangement le moindre amour.
*******************************************************

De l’autre côté de la ville, un taxi roulait, avec à son bord Roy et Boule Dog, qui devaient ce rendre chez Elizabeth.
Le taxi rentra dans la cour d’une belle grande demeure et s’immobilisa devant le porche, laissant ses passagers payer et sortir, avant de reprendre la route. Roy sonna au carillon et attendit quelques instants, avant que la porte ne s’ouvre sur une belle grande jeune femme, aux cheveux long blond relevaient en une queue de cheval, et les yeux vert, portant une belle robe bleu ciel. Elle demanda à Roy, l’honneur de leur visite, et Roy se présenta et lui indiqua qu’il avait rendez-vous avec Elizabeth. Elle les fit entrée dans le hall, en leur demandant d’attendre un instant, qu’elle allait prévenir sa patronne. Boule Dog la regarda partir, vers une pièce ou ce trouver certainement Elizabeth, certain de l’avoir déjà rencontré quelque part mais où ?
Elizabeth arriva par la porte ou la servante était passée quelques minutes plutôt, en leur souhaitant la bienvenue dans sa maison. Elle pria Roy de bien vouloir le suivre, dans la salle à manger qui se trouvait de l’autre côté du hall, laissant Boule Dog suivre la servant dans une autre pièce. La servante lui indiqua d’un signe de la main, un fauteuil où s’asseoir et s’absenta, revenant dix minutes plus tard avec un plateau comportant une théière, deux tasses ainsi qu’une petite assiette de gâteaux, qu’elle posa sur la petite table qui se trouvait juste devant les fauteuils. Boule Dog la remercia pour ce petit geste bien aimable, pensant encore à quel endroit il avait bien pu la rencontrer.
Elle lui servit une tasse de thé et s’assit sur le fauteuil en face de lui quand, il eu prit la tasse délicatement et la posa devant lui, la laissant refroidir un peu pour éviter de se brûler les lèvres. C’est à ce moment là qu’il se rappela, dans quel endroit, il l’avait rencontré. Il l’avait frôlé en allant rejoindre les autres qui se trouvaient dans le magasin de chaussures. Boule Dog lui demanda si ça faisait longtemps, qu’elle travaillait pour Mme Elizabeth et s’il pouvait l’appelé par son prénom. La servante lui indiqua qu’elle s’appelait Katia, et qu’elle était au service de Mme Elizabeth depuis sa plus tendre enfance, sa mère avait servit les parents et elle avait grandi au sein de cette famille et considérait Mme Elizabeth quand une petite sœur et vice versa. Boule Dog lui raconta un peu prés la même chose sur la famille Schulz, ainsi que son maitre Roy qu’il considérait comme un frère, vu toutes ces années sous son service. Et ils passèrent le restant de la soirée, à ce racontaient des anecdotes. Boule Dog tombant sous le charme de Katia, au fur et à mesure que celle-ci lui parlait.
Dans l’autre pièce, un peu plus loin étaient installé Roy et Elizabeth à une table qui pouvait accueillir une vingtaine de personnes. Durant tout le repas, Roy raconta sa vie et surtout qu’il avait aimé une femme quand il avait dix-sept ans et qu’elle était partie du jour au lendemain sans rien lui dire. Elizabeth quant à elle, lui disait qu’elle aussi avait rencontrer un jeune homme dans sa jeunesse, au cour d’un diner d’affaire de son père avec le père de ce jeune homme, mais que le problème à leur amour était son père qui ne voulait pas qu’elle fréquente le fils de son concurrent et qu’en plus elle avait reçu des menaces de la part du père de ce jeune homme, donc elle préféra partir le laissant pour ne pas qu’il est des problème avec sa propre famille. Son père la força à se marier avec un vieil homme riche pour agrandir encore plus, les biens familiaux. Cet homme était tellement vieux qu’on aurait pu le prendre pour son père. Elizabeth s’arrêta là, pour boire un verre de vin blanc, regardant la réaction de Roy à ce récit, mais ne vit pas le moindre dégout dans ses yeux. Il l’écoutait la regardant sans la lâcher, de son regard ténébreux, la trouvant d’agréable compagnie. Elle reprit son histoire là où elle s’était arrêtée. Elizabeth expliqua à Roy que son mari mourut d’une crise cardiaque alors qu’il couchait avec une prostituée, vu qu’elle refusait de coucher avec lui, n’ayant pas d’amour pour cet homme, héritant de toute sa fortune, ainsi que celle de ses parents qui moururent quelques années plus tard. Elle transforma les biens de son père en usines automobiles et dans la fabrication de médicaments.
Elle s’arrêta de conté son histoire sur le fait qu’elle essayait de rechercher son premier amour de jeunesse. Roy sourit à cette remarque, finissant son repas qu’il avait très apprécié d’ailleurs et reprit la parole en lui disant que son père s’était mis en tête de lui faire épousé une femme qu’il ne connaissait absolument pas et qui portait comme par hasard le même nom que le sien. Elle fut un peu surprise, que cette femme porte le même nom, mais après tout, Mustang n’était un nom plutôt répandu dans le monde. D’un coup, elle se mit à en rire tellement, qu’elle commençait à en avoir les larmes aux yeux, laissant Roy la bouche ouverte, surpris de sa réaction, mais la suivit bien vite dans son fou rire.
La soirée se termina à deux heures du matin, toujours sous les rires enjouées de Roy et d’Elizabeth. Elle appela Katia, qui se trouvait toujours en compagnie de Boule Dog dans le petit salon, pour qu’elle prévienne un taxi pour qu’il vienne les chercher et les ramener à leur hôtel, en espérant revoir Roy un de ces jours, car elle venait de passée vraiment une agréable soirée, en sa présence.
*****************************************************
A l’autre bout de la ville vers minuit, dans un restaurant, Edward était entrain de payer le repas, en attendant le taxi qu’il avait demandé qu’on lui commande et rejoignit Winry qui l’attendait prés de la sortie. Elle regardait par la fenêtre, la neige qui s’était mis à retomber. Un klaxon se fit entendre, leur indiqua qu’il était arrivé. Edward et Winry sortirent du restaurant et s’engouffra dans le taxi, qui prit la direction de leur hôtel. Une demie- heure après, Edward et Winry arrivèrent devant la porte de sa chambre. Winry ouvra sa porte, se retourna, et sourit à Edward, qui lui répondit également par un très beau sourire. Elle s’approcha de lui et posa ses lèvres sur les siennes. Edward y répondit comme les autres fois mais se sépara rapidement, en lui disant qu’ils allaient se faire du mal, s’ils continuaient à agir ainsi. Winry le regarda dans les yeux, comprenant se qu’il voulait dire, mais passa outre, et l’attira contre elle, dans la chambre, fermant la porte à clef, derrière eux. Elle voulait sentir son corps chaud contre le sien rien qu’une fois, au moins avant qu’il arrive à repartir dans son monde, même si, entre eux, ils n’y avaient pas d’amour.
Maria et Alphonse, étaient eux, rentrés beaucoup plus tôt que tout ce beau petit monde. Et Alphonse avait hâte de raconté à son frère ce qu’il si était passé.
************************************************************************ fin de ce chapitre.
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MessageSujet: Re: la vie continue.   la vie continue. Icon_minitimeLun 5 Nov - 19:57

Chapitre 9 :




Une demi-heure plus tard la porte de Winry s’ouvrait laissant sortir Edward, qui partait rejoindre sa chambre, en baillant aux corneilles, où son frère dormait maintenant à poing fermé, n’en pouvant plus d’attendre le retour d’Edward, qui était allé au restaurant avec Winry. Dans la chambre de Winry, juste avant qu’il en parte, fût surpris, ne s’attendant pas à cela de sa part, quand elle s’était serrée contre lui, l’attirant dans sa chambre en refermant la porte à clef derrière eux. Sortant de sa stupeur, réalisant dans sa tête ce qu’il allait ce passer, si il ne faisait rien, Edward l’avait repoussait gentiment, pour ne pas lui faire mal, lorsqu’elle lui avait enlevé son manteau et commençant à défaire délicatement les premiers boutons de sa chemise, quand ils se rapprochaient du lit. Winry qui ne comprenait pas ce revirement de situation, et ne s’attendant pas à être repousser par Edward vu qu’il s’était laissé faire jusqu’ici, tomba assise sur le lit, les yeux plein d’incompréhension. Edward lui expliqua, en remettant les boutons déjà défait de sa chemise et ramassant son manteau qui se trouvait sur le sol pour le remettre lui aussi, qu’il ne pouvait pas approfondir leur relation avec elle, que ce n’était pas correct pour elle comme pour lui, n’éprouvant pas d’amour, juste de l’attirance physique l’un envers l’autre, à cause de leur ressemblance avec les personnes aimées. Il lui demanda de comprendre ce qu’il ressentait et qu’il ne voulait absolument pas la blessée, mais qu’il aimait réellement la jeune fille, lui ressemblant, et qui vivait dans son monde à lui. Edward lui indiqua qu’ils devaient juste rester amis, pour leur bien. Elle baissa la tête, n’osant plus le regarder en face, quand il parlait, honteuse, vu son attitude avec lui et approuva en lui disant que cette jeune femme avait bien de la chance d’avoir un homme tel que lui, qui l’aimait ainsi, et qu’elle aimerait un jour trouvée un homme comme lui, releva la tête pour le regarder dans les yeux. Winry se leva du lit où elle était assise, s’approcha de lui, le serra dans ses bras, comme aurait fait une amie de longue date, sourit, lui murmurant dans l’oreille un grand merci pour sa franchise et l’embrassa sur la joue, en lui souhaitant de passer une bonne nuit et qu’ils se verraient au petit déjeuner un peu plus tard tout à l’heure, le laissant ouvrir la porte et sortir de sa chambre, une larmes coulant sur sa joue.


Le matin même, à neuf heures trente, Roy, Edward, Alphonse, Boule-Dog, Winry et Maria qui les avait rejoins, étaient tous assis autour d’une table pour le petit déjeuner, ou était posé une corbeille de croissant et des tasses de café fumante. Edward baillait encore, tout en râlant, qu’il n’avait pas assez dormi, faisant soupirer Alphonse. Winry quand à elle, se retenait de rigoler de l’attitude d’Edward. Roy lui avait encore les yeux remplis de sommeil, du à sa soirée mais arrivait à suivre la conversation et Boule Dog en pleine forme, montrant sa musculature en mettant plein la vue à tout monde. Maria et Alphonse profitèrent que tout le monde soit là pour parler de la conférence qui avait eu lieu hier en fin de soirée et qui s’était terminée vers vingt deux heures. Ce compte rendue dura bien une heure et se termina par :
- Maria a été invitée à déjeuner avec le professeur Hurskisson ! Fit Alphonse
- Tu vas y aller ? Demanda Roy à sa cousine
- Bien sur ! Répondit-elle. Ca te pose un problème ?
- Non, tu fais ce que tu veux, mais prendre garde à toi, on ne sait jamais. répondit Roy avec une voix qui se voulait protecteur.
- Si, vous voulez, j’irais avec elle. Si mademoiselle le veux bien. Fit Boule-Dog
- Ce ne sera pas nécessaire, Boule-Dog. Je suis assez grande pour me débrouiller seule ! Répondit Maria en remontant un peu sa jupe pour laisser apparaître un petit couteau qui était attaché à sa cuisse. Ensuite, elle repartit à son hôtel, s’habillée pour son rendez-vous.
- Excusez-moi ! Je dois passer un coup de fil. Fit Roy à ses amis, avant que lui aussi ne quitter la table, se dirigeant vers le petit escalier menant à la cabine, pour téléphoner à sa belle Elizabeth.
Roy arriva devant le téléphone, et composa le numéro sur le cadran, de sa belle. Il attendit deux minutes, avant qu’une personne décroche à l’autre bout. Il reconnu toute suite la voix de Katia, sa servante. Il demanda à parler à Elizabeth. Mais, Katia lui expliqua qu’Elizabeth était partie très tôt ce matin pour aller à un rendez-vous d’affaire. Il lui demanda vers qu’elle heure, elle serait de retour, de son rendez-vous. Mais Katia n’en avait aucune idée. Donc, elle préféra lui dire de rappeler vers le soir, là elle était sur qu’Elizabeth serait rentrée.

Au même instant, dans un hôtel voisin, dans une chambre au premier étage, autour d’une table, Elizabeth Mustang discutait avec monsieur Lorenz Schulz pour une affaire très importante. D’un seul coup, monsieur Schulz délaissa Elizabeth pour aller se soulager, et prit la direction de la salle de bain. Cinq secondes après le départ de monsieur Schulz, quelqu’un tapa à la porte de la chambre, elle se leva et alla ouvrit, pour voir qui c’était. Elle fut surprise de voir une certaine Misti, qu’elle avait déjà rencontré par avant. Ne voulant lui parlait, Elizabeth allait refermer la porte quand, Misti mit son pied entre la porte et le chambranle de celle -ci, empêchant de la refermer, puis la repoussa fortement avec une violence extrême. Elizabeth manqua de peu, de la prendre en pleine figure, si elle n’avait pas eu le réflexe de reculer, en la voyant revenir sur elle rapidement, laissant rentrée Misti, folle de rage envers Elizabeth. Misti l’attaqua à coups de poing, annonçant le début du combat entre ses deux femmes.
Dix minutes plus tard, à l’hôtel où Roy, Edward, Alphonse, Boule Dog, Maria et Winry étaient descendus, une certaine bande dont le chef de ce groupe était le dirigeant du « Paradis FumeNight ». Avant son arriver, Roy était venu s’asseoir à la table où il était attendu par Boule-Dog, les frères Elric et Winry. Havoc et ça clic partirent voir le réceptionniste de l’hôtel. Havoc lui demanda où pouvait se trouver monsieur Roy Schulz. Le réceptionniste lui indiqua une table, dans la salle à manger. Havoc se dirigea vers cette salle et s’approcha de la table, pausa sa main sur l’épaule de Roy et lui :
- Salut Schulz, on à a discuté. Alors laisse ton cher garde du corps et ses petits morveux.
Edward démarra au quart de tour en entendant cette réplique.
- Qui traites –tu de si petit qu’on ne pourrait même pas le voir sous la table !?!?!?!?!?!?!
- Toi ! Répondis Havoc regardant toujours Roy dans les yeux.
- Calmes-toi niisan, laisse les ! disait Alphonse calmement, tout en le retenant par la taille, pour ne pas qui lui saute dessus, sans réfléchir comme d’habitude, à son acte.
- Si tu as quelque chose à me dire, fait le maintenant. Répondit Roy.
- C’est personnel et privé.
- Dans ce cas ! Fit Roy en ce levant
Boule-Dog allait le suivre quand Roy, lui fit signe de rester assis. Roy et Havoc sortirent de la salle à manger, montèrent les escaliers menant à l’étage et rentrèrent dans la chambre de Roy. A l’instant même où Roy et Havoc rentraient dans la chambre, dans la salle à manger, à table, les amis d’Havoc voulaient se venger des blessures que Boule-Dog leur avait infligées, l’autre jour chez Roy. Un autre combat si fit dans la salle de restauration de l’hôtel.
Dans la chambre de Roy Schulz, lui et Havoc était entrain de parler. D’un seul coup, Havoc voulu cogner Roy en plein visage, pour le surprendre et l’avoir plus facilement, mais Roy qui s’attendait un peu à ça de la part de cet homme peu fréquentable, évita le coup, en se baissant, laissant le poing d’Havoc fendre l’air sans jamais atteindre sa cible. Roy se relevant tout de suite après, répliqua de la même manière réussissant à le toucher en plein visage, faisant tomber Havoc sur le sol de la chambre, et le nez en sang. Havoc se releva en jurant, et repartit à l’assaut, annonçant le début d’un rude combat entre les deux beaux gosses.

Dans l’hôtel voisin, Elizabeth se trouvait être, en très mauvaise posture, car elle s’était laissée surprendre, et Misti par la même occasion en avait profité pour se jeter sur elle. Elle était entrain de se faire étranglé par Misti, qui était à califourchon sur elle, la bloquant de tout mouvement et serrait sa gorge de ses deux mains. C’est à ce moment là, que Lorenz Schulz sortit des toilettes, où il était parti se soulager un quart d’heure avant, laissant Elizabeth seul à table dans le petit salon de sa chambre, sans un bruit comme à son habitude. Et là, il fut surpris de voir Elizabeth entrain de se faire étrangler, par une femme, qu’il ne connaissait pas, le moins du monde. Ni une ni deux, sans trop se poser de question. Il saisit de ses mains, la statuette en forme d’éléphant qui se trouvait posé sur la commode où étaient rangées ses chemises, dans sa chambre. Cet éléphant était en ivoire, donc sûr qu’il ne casserait pas en la cognant avec, espérant ne pas louper son coup, car ça faisait très longtemps qu’il ne s’était pas battu, même des décennies. Il le prit donc dans ses mains, le leva bien haut au dessus de sa tête, l’abaissa d’un coup sur cette femme et l’assomma. Misti s’écroula d’un coup sur Elizabeth qui pouvait, maintenant mieux respirer. Elle la repoussa, le faisant rouler sur le côté et se releva avec l’aide de Mr Schulz et le remercia, de son geste et en lui disant, que heureusement qu’elle ne l’avait pas entendu arriver derrière elle.

Après un combat acharner, Roy réussi enfin à mettre Havoc hors de sa chambre, et refermait celle-ci à clef, dans un énorme soupir de soulagement. Ce dernier râlant de c’être fait avoir par ce Roy, descendait rejoindre ses amis, qui eux se battaient dans la salle. A la différance de leur chef, ils avaient le dessus sur les frères Elric et Boule-Dog. Winry s’était cachée sous une des tables de la salle à manger, pour ne pas les gêner dans leur bagarre et de peur, fallait bien l’avouer, car elle les connaissait et savait de quoi, ils étaient capables, priant pour ses amis, qu’ils s’en sortent indème. Avant de rejoindre leur chef, qui leur faisait signe de laisser tomber et de rappliquaient, les cinq hommes assommèrent Alphonse Elric, qui ne les avait pas vu arriver derrière lui. Ils le prirent comme un sac à patate et sortir de l’établissement en toute hâte, sans que les autres ne purent rien faire, tellement ils étaient blessés qu’ils en avaient du mal à se remettre sur leurs pieds, laissant Edward criait de rage, qu’il les retrouverait ou qu’ils soient.



Et voilà un autre chapitre de terminer.
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