aimer un chien de militaire. histoire terminée

Chapitre 1 : ma maison.

Winry se réveilla en sursaut, quelques gouttes de sueur sur son visage et se rendit compte qu’elle était au lit. ‘J’ai du rêvé’ pensa-t-elle. Elle hocha sa tête, essayant de sourire, mais les terribles images de son rêve ne disparaissaient pas : Edward Elric, par terre, saignant par tous les endroits, son automail ne pouvant le protégé.
Elle regarda son réveil dans la faible lumière de la chambre et soupira. Edward et Al ne sera probablement pas là avant au moins deux ou trois heure, pour une courte visite, mais elle marcha vers la chambre où Edward dormait. En s’assoyant sur le lit, elle serra un bout de la vieille couverture de ses doigts d’ingénieur d’automail et sourit, en sachant qu’Edward avait dormi dans cet endroit, il y a moins d’un an, quand lui et Al étaient venu pour lui rendre visite. Elle pouvait presque sentir ce parfum masculin et métallique qui lui appartenait, entendant le clic de son pied en métal sur le plancher.
Elle se rendit compte qu’elle ne l’imaginait pas quand la voix d’Edward la tira de ses pensées.
« Winry ? » Dit-il un peu surpris. « Que fais tu ici ? »
Elle rougit, immédiatement passa à la défensive et se levant rapidement. « C’est ma maison Edward, je peux aller où je veux ! » Laissa t elle échappé. ‘ Grosse excuse de Winry’
« Oh… » Que voyait-elle sur son visage ? Déception ?
« Bonne nuit alors. »
Elle se détendit de nouveau et marcha vers lui quand elle vue le regard défait et triste dans ses yeux. Ce n’était pas l’Edward fier, arrogant qu’elle connaissait. « Je suis contente que tu sois de retour. » Dit-elle quand elle arriva plus prés. Il n’a pas levé les yeux et elle commença à sembler un peu gênée de cette situation.
« C’était trop long. » Dit-il calmement. Elle sentit sa main de chair contre la sienne et regarda vers le bas. C’était vraiment étrange, mais presque….confortable.
« Edward, tu vas bien ? » Dit-elle en le regardant directement dans les yeux. Elle se rendit compte qu’il était de la même taille qu’elle maintenant, et si beau…
« Ça n’a pas été trop long, de m’attendre ? » Dit-il en lui donnant un joli petit sourire.
« T’étais trop longtemps….loin de moi ? » Grinça t elle.
« Vraiment…Winry… » Et il se pencha en avant.
Qu’elle se réveilla, de nouveau, se retournant sur le ventre et grogna dans son oreiller. A chaque fois qu’elle faisait ce rêve, elle se réveillait quand il était sur le point de l’embrasser. Pourquoi ne pouvait-elle pas dormir un tout petit plus longtemps pour arriver à cette partie du rêve ! Pourquoi ! Pourquoi !
Elle regarda le réveil et soupira. Les frères Elric devaient déjà être là et jugeant alors que c’était trop tard pour aller dans sa chambre et le trouver endormi. Elle ria d’elle un peu, en réalisant que c’était extrêmement trognon de le regarder dormir. Elle ne savait pas quand elle avait commençais à ressentir ces différents sentiments….pour Edward, mais elle savait qu’ils étaient là et ils étaient forts. ‘Je suppose qu’ils ont commencés en même temps que ces cauchemars étranges,’ pensa t elle, en se retournant sur le dos et sortit du lit.
Elle mit un jean, son bandeau noir et sa chemise rose au dessus, brossa ses cheveux en vitesse et les monta en une queue de cheval. Elle vérifia l’expression de son visage dans le miroir, chose qu’elle ne faisait jamais d’habitude à cause de sa quantité stupéfiante de confiance en elle. Elle descendit doucement en bas. « Bonjour » Dit mamie Pinako. « Je suppose que tu sais déjà qu’il est ici. » Elle souriait et Winry ria faiblement quand Pinako avait dis ‘il’ au lieu de ‘eux’.
« Vraiment…je dois aller lui dire salut… » Elle partit dehors, rougissant. Comment fait-elle pour toujours tout savoir !
« Winry ! » Appela Al d’où les frères Elric s’entrainer. La mâchoire d’Edward tomba par terre mais cacha vite son visage. ‘ Est-elle devenue encore plus jolie, depuis la dernière fois que nous sommes venus… ?’ Pensa t-il.
Winry avait un peu de mal à se concentrer sur la conversation pendant qu’elle regardait Edward torse nu. ‘Est-il plus grand ?’ Elle se rappela de son rêve de la nuit dernière et hocha sa tête, en enlevant ses yeux du torse d’Edward à l’armure d’Al. « Hé Al ! » Dit-elle en arrivant sur le lieu où ils étaient. Elle serra la grande armure dans ses bras et rougit quand elle remarque qu’Edward la regardait fixement. Elle cligna des yeux dans la confusion. ‘Il me regarde…fixement ?’ Il arrêta de la regarder et afficha un sourire satisfait sur son visage.
« Je n’ai pas le droit aussi à un câlin ? » Dit-il malicieusement. Elle eu subitement un petit sourire satisfit aussi.
« Après le regard que tu m’a lançais…je suis trop grande pour toi de toute façon. » Basculant ses cheveux radicalement en arrière et là, il lui lançant un regard furieux immédiatement.
« Qui est-ce que tu appelle une petite tâche de poussière si petite que pas même une puce pourrait la voir ! » Dit-il, en agitant les mains. Al suait de voir son frère toujours agir de le sorte dés que l’on parlait de sa taille et Winry souriait encore plus. C’était exactement la réaction à laquelle elle s’était attendue de lui.
« Frangin… » Soupira Al.
« Je n’ai pas dit tout ça, tu est un grand bébé. » Dit-elle, en riant un peu, s’arrêtant ensuite et le regarda fixement. « Vraiment… »
Il était fier. « Je ne suis pas si petit que ça, vois ? » Soupira t-il avec découragement quand elle s’approcha et commença à inspecter sa jambe.
« Nous allons devoir faire un extension à ta jambe. » Dit-elle, en tirant un instrument de sa poche, et mesurant la jambe. « Hmm… »
« Hum, Winry… »
« Quoi ? » Elle rougit, en se rendant compte que ses mains s’étaient installées sur ses cuisses quand elle avait regardé fixement sa jambe. « Oh… désolé Edward. » Dit-elle, en retirant très vite ses mains de ses cuisses. Ils rougirent tous les deux et rirent nerveusement. Quand Winry se leva soudainement et marcha vers l’atelier. « Allons faire cette extension, Edward ! »
« Je vais aller…aider mamie Pinako. » Dit Al, en courant vers la maison avant qu’Edward puisse l’arrêter.
« Al, attend ! » Dit-il, soupirant et marchant péniblement en haut de la colline vers l’atelier. Il ne voulait pas être seul avec Winry trop longtemps ou il savait…qu’il allait faire quelque chose et qu’elle le détesterait après.
« Assis-toi. » Dit bientôt Winry, en montrant la chaise au milieu de la pièce d’un signe de la main et allant ensuite à une table et prenant quelques instruments. Elle revint et s’agenouilla devant sa jambe. « Cela ne devrait pas faire trop mal. »
« Je sais, tu l’as seulement fait, je ne sais pas, mille fois ? » Répondit-il quand elle finissait son travail.
« Tu ne t’es pas développé beaucoup, crétin. » Dit-elle, en riant doucement. Il souriait à son rire.
« Winry. » Soupira-t-il. « C’était trop long. »
Elle s’arrêta soudainement. « Qu’as-tu dit au juste ? » Demanda-t-elle.
« C’était… » Elle le regarda fixement vers le haut et il déglutit. « C’était trop long ? »
Il savait que ce n’était pas une bonne idée, mais il ne pouvait pas résister. Il amena sa tête vers lui et l’embrassa. Elle laissa tomber ses instruments sous le choc, mais se retrouvant bientôt à lui rendre son baisé.
‘Elle…elle le veut ?’
Il s’écarta d’elle, en la regardant dans les yeux. Elle avait une sorte de regard brumeux sur son visage. « Suis-je entrain de rêver ? » Dit-elle, en clignant des yeux lentement.
« Winry, je suis désolé. » Dit-il, en rougissant et en regardant loin d’elle.
« Pour quoi ? »
« Je ne veux pas que tu t’encombres avec…avec moi, je suis désolé. »
« Tu crois que tu es un fardeau pour moi ? » Regardant aussi vers le bas, ses émotions se balançant d’un doux rêve au bouleversement. Elle se mordit les lèvres. « Tu ne me crois pas assez fort pour m’occuper de toi….et ….pour être avec toi ? » Elle ramassa vite ses instruments et partit les remettre sur la table.
« Winry, attends, je ne voulais pas dire cela comme ça… »
« J’ai fini avec ta jambe maintenant, je retourne à la maison, » Dit-elle, et sortit immédiatement en direction de la maison en courant. Il se leva aussi et il la rattrapa en un rien de temps.
« Winry, attends ! » Dit-il, en saisissant sa main. Elle se retourna, et le regarda furieusement.
« Après tous ce que tu as traversé….et tout ce qui va se passer, j’ai toujours été à côté de toi ! Ne crois tu pas que pour une fois, tu as besoin de quelqu’un pour prendre soin de toi ! » Dit-elle, les larmes coulant sur son visage.
« Non, c’est mon fardeau…je ne veux pax que tu le portes aussi. » Dit-il catégoriquement.
« Edward Elric ! » Cria-t-elle, en le poussant en arrière par les épaules, le faisant tomber par terre. Elle lui lançant un regard furieux vers lui. « Je t’aime idiot ! Tu es égoïste… à penser toujours à ton lourd fardeau ! C’est plus un fardeau de t’aimer et de ne pas être capable de t’aider ! Tu ne crois pas que nous nous inquiétons quand vous êtes loin ? Et Al ? Tu ne penses donc pas à se qu’il peut ressentir, en sachant que tu souffres pour t’occuper de lui, quand il veut aussi s’occuper de toi ? Comment crois tu qu’il se sent, Edward ? »
Il la regarda fixement, et lui lançant un regard furieux en arrière avec acharnement et se leva. « C’est mon devoir de retrouver le corps d’Al, peu importe le prix à payer » Dit-il calmement, effrayant encore plus Winry que s’il avait crié. « Et je ne veux pas que tu pleures quand je pars. »
« Edward, tu sais que si tu te sacrifies pour Al, quand je mourrais, je viendrais te rechercher en bas et te donnerais des coups de pieds au cul ! » Dit-elle avec colère. Il la regarda fixement, en croyant que son petit discours l’aurait un peu plus effrayée. « Je suis plus forte que tu ne le penses, demi-portion ! » A cela, elle se retourna et courut vers la maison, le laissant sur place. Il n’avait pas le cœur à la suivre. Il ne savait pas comment agir ; il aurait peut être du la suivre et la rattraper et lui dire que c’était vrai ! Il grogna de frustration et partit en frappant quelque chose sur le sol, en envoyant très loin devant lui.

suite du premier chapitre. il était trop long pour que je le poste en entier.


Winry, d’autre part, sentait ses émotions se mélanger à ce moment là. Elle était furieuse après lui et pensa qu’elle était faible, mais elle aurait bien voulu qu’il la retienne et lui dise que c’était vrai. C’était encore plus déconcertant pour Winry qui devint plus furieuse et courut jusqu’à sa chambre, en claquant la porte derrière elle.
« Edward ! » Dirent Pinako et Al à l’unisson.
Winry sortit de sa chambre que pour le diner, qui était un moment très inconfortable. Pinako et Al faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour ignorer les regards méchants que Winry et Edward se lançaient à travers la table.
Pinako était la première à judicieusement se retirer suivi de prés par Al, laissant Winry et Edward tout les deux à table, pour aller s’asseoir dans le salon en silence.
Edward pris un thé comme boisson et quand il reposa la tasse sur la table, elle se brisa dans la main droite où se trouvait son automail.
« Que tu es maladroit ! »Cria-t-elle, en claquant sa fourchette sur son assiette plate en l’ébréchant. Elle vira au rouge et se leva en ramassant l’assiette ébréchée, « Regard un peu ce que tu me fais faire. Grrr ! » Elle grogna et posa l’assiette dans l’évier. Edward la suivit.
« Ce n’est pas de ma faute si tu continues à casser des choses. » Dit-il. Et changea de conversation avant que ça n’empire. « Ma jambe n’est pas tout à fait au point encore et mon bras est toujours trop court. Et tu sais, je dois le faire faire rapidement avant que je ne retourne à Central pour les ordres. »
« D’accord, suis-moi ! » Elle fulminait, en saisissant son bras et le trainant jusqu’au canapé qui venait d’être libéré par Pinako et Al. Elle alla dans une petite pièce et prit une boite à outils. Elle revint à la jambe d’Edward, tout en ronchonnant, ‘ Fichus hommes’. Il croisa ses bras contre sa poitrine et regarda fixement la pièce avec colère. Quand elle eu fini avec sa jambe de nouveau, elle commença à prendre les mesure de son bras gauche de chair. Il ne pouvait pas s’arrêter de sentir des petits frissons le parcourant sur son bras quand elle le toucha, mais garda son calme et ne fit rien. Elle ajouta les extensions à son bras assez rapidement. Il se rendit compte de ses sentiments quand elle faisait ça et voulait les dire.
« C’est fait. » Dit-elle, ne le regardant pas une seule fois, mais repoussant l’automail et admirant son œuvre. Edward lui jeta un coup d’œil ; son visage était si prés du sien.
Winry avait l’impression que quelque chose lui chatouillé, le côté du visage et se rendit compte subitement que c’était les lèvres d’Edward qui l’embrassait doucement sur la joue. Elle était toujours à genou quand il commença à l’embrasser sur le front et l’autre joue. ‘ Je rêve…s’ouvre-t-il finalement à moi ?’ Elle tourna vers lui et tint son visage entre ses mains, le regardant, d’un regard interrogateur.
« Je t’aime aussi, Winry Rockbelle. » Dit-il, en lui souriant et l’embrassant ensuite sur les lèvres. Elle entoura son cou de ses bras et il mordit sa lèvre inférieure, passant ensuite sa langue sur ses lèvres demandant l’accès à sa bouche. Ses mains trouvèrent ses hanches, dont elle s’était débarrassée, de sa chemise rose quelque temps plus tôt pour pouvoir s’attacher les cheveux, autour de la tête avec un bandana. Il dirigea ses mains vers le haut sur le côté de son corps, réalisant subitement et plus que jamais, comment tout était sexy : son très petit haut noir, son jean dévoilant le début de ses fines hanches. Il recula son visage loin du sien. « Tu…veux qu’on aille quelque part d’un peu plus privé ? » Rougissant un peu en pensant à ce qu’il venait de lui dire, ‘quelque part d’un peu plus privé’ avec la fille avec qui il aurait été ami tout la vie.
Winry savait ce qu’il allait se passer s’ils montaient en haut. Elle faisait confiance à Edward, corps et âme, plus qu’à n’importe qui d’autre dans le monde. « Oui » Dit-elle, en respirant et ils montèrent calmement les escaliers de bois grinçants, tout en se tenant la main.
Quand ils rentrèrent dans la chambre, ils commencèrent à s’embrasser de nouveau et Edward ferma la porte derrière eux. Winry se rendit compte à ce moment là qu’il avait vraiment grandi en hauteur quand il la poussa contre la porte, mettant son corps contre la sien. Elle savait aussi que c’était un homme maintenant, il s’était…elle se donna une claque mentalement pour pense r à ceci…également développer dans d’autres endroits.
Elle enleva son débardeur de sa peau couverte de sueur et dirigea ensuite ses mains sur son torse lisse, musclé et le caressa en remontant de ses abdominaux jusqu’à la bouche et les mains. Elle lécha son torse et se mit à genoux à hauteur du nombril, goutant sa peau.
« Winry… » Gémit-il, en retirant à contre cœur de ses abdos.
« Quoi ? » Demanda-t-elle surprise de son geste.
Il se mit à genoux, à la hauteur de ses yeux. « Si ceci va plus loin…tu sais… »
Winry ne le laissant pas finir sa phrase, dit calmement. « Je sais, je suis prête….et toi ? »
« Tu sais que je ne pourrais pas rester ici avec toi, je dois retourner au QG… » Dit-il amèrement.
« Ne t’occupes pas de cela, je t’attendrais…toujours. » Dit-elle, en l’embrassant sur le front.
A ceci, il l’a prit par les cuisses et la porta en l’embrassant. Il s’assit au pied du lit avec elle sur lui, à califourchon. Winry lui chuchota doucement à l’oreille. « J’ai l’habitude de faire ce rêve. »
« Moi aussi » Dit-il, en souriant contre sa bouche et essayant ensuite d’enlever son haut. Il ria un peu, embarrassé et demanda. « Comment tu enlèves cette chose ? »
Elle enleva son bandana de ses cheveux et les secoua et guida ses main vers l’arrière de son dos. « C’est boutonnait, idiot ! » Ria-t-elle, mais changea vite en un gémissement de plaisir, quand sa bouche embrassa sa poitrine. Il prit un mamelon dans sa bouche et elle tint sa tête sur sa poitrine, en soupirant son nom.
Ses mains parcoururent le long de son dos et elle se rendit compte que son automail froid frottait sa peau. Elle fut surprise de constater qu’elle aimé sentir se geste et embrassa son épaule où son automail rencontrer la chair et il gémit dans sa poitrine. Elle dirigea ses lèvres vers le cou, en donnant de temps en temps un petit coup de dent le long de sa peau. Il enleva son pantalon le faisant glisser le long de ses jambes, ainsi que le sien. Les laissant tous les deux en sous vêtements et il parcourut avec ses mains, le long de ses cuisses, une main chaude et douce et l’autre froide et dure. Elle passa ses mains sur sa taille, à la limite de son caleçon et s’arrêta d’un seul coup et lui murmura. « Je suis prête…s’il te plait... » Il l’a regarda dans les yeux et lui sourit avant de l’embrasser sur les lèves et de commencer à enlever lentement sa culotte. Elle lui enleva son caleçon, plus rapidement. Il la retourna pour être au dessus d’elle et lui écarta les cuisses, en se plaçant entre avec ses jambes. Il lui tint les mains quand il commença en entrée en elle, mais s’arrêta quand elle poussa un cri de douleur. « Je t’ai….je te fais mal ? » Demanda-t-il anxieusement.
« Oui…non…vas y continu. » Dit-elle, dans un souffle. Elle lui serra les mains, faisant même mal à celle de chair quand il continua à la pénétrer plus profondément. Il le regarda de nouveau et commença un mouvement de va et vient, et elle haleta en même temps que lui. Ils gémirent de plus en plus fort de plaisir et il se libéra en elle dans un râle puissant. Il l’embrassa et s’effondra sur elle, de fatigue. Quelques minutes après, il roula sur le côté, en mettant les couvertures sur eux et le serrant dans ses bras contre lui.
« Winry, je t’aime, je t’aime. »
« Je sais. » Dit-elle, en riant. Elle se retourna pour lui faire face. « Quand tu reviendras, nous serons une famille et nous serons heureux. » Dit-elle les yeux brillant.
« Qoui… ? Tu es…. » Dit-il les yeux dilater.
« Non crétin, je ne peux pas le savoir maintenant. Mais….nous nous marierons et allons être heureux, tu ne crois pas ? »
« Quand je reviens.. » Dit6il avec une mélancolie au fond de sa voix quand elle commençait à sombrer dans le sommeil. Il se rapprocha, déplaçant une mèche de ses cheveux pour les mettre derrière son oreille et lui chuchota ensuite. « Tu sais que quand tu te réveilleras, je ne serais plus là. »
Elle lança son bras autour de lui, le faisant légèrement sursauter. « Je tiens à toi, et ne part pas cette fois sans me dire au revoir. »
« Ok ! Winry…je le ferai. »
Winry se réveilla en sursaut, se rendant compte qu’elle était dans son lit. « Etais-ce encore un rêve ? » Ce demanda-t-elle, et se rendit compte ensuite qu’elle ne portait pas de vêtements et une autre chose. Il y avait une lettre sur l’oreiller à côté d’elle. Elle le prit et la déplia.

Winry ;
Je ne suis pas très fort pour écrire, donc je vais juste te dire exactement comment je me sens. Et comme il est terrible de partir alors que quelqu’un vous aime. Mais tu sais comme c’est dur de dire au revoir. Je serai plus prudent maintenant que je sais que j’ai des gens qui m’aiment et qui m’attende à la maison. Merci de m’avoir forcé à me rendre compte que j’ai Al, Pinako, tous les gens de Central et toi. Je t’aime tellement. Mais tu dois déjà le savoir en ce moment même.
J’écrirai aussi souvent que je le pourrais, comme je suis sûr que tu t’inquièteras pour moi. Essayes de convaincre la vieille bique que je suis un mec bien, si jamais elle découvre pour la nuit dernière. J’ai hâte de te revoir de nouveau.
Je t’aime. Edward.

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yeah c'super bien c'super mignonnnnnnnnnnnnnnnn!! continue bien previent moi quand y aurai la suite stp....

Merci de suivre cette histoire.
Bonne lecture à tous.

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Chapitre 2 : discussion inconfortable.

Winry ria doucement, tenant la lettre contre son cœur. Elle s’habilla et mit la lettre à l’intérieur d’un de ses poches de son pantalon et s’énerva un peu qu’Edward ne l’avait pas réveillé pour lui dire au revoir, avant qu’il ne parte. Pensant toujours à ce qu’il s’était passé la nuit dernière, elle en avait des frissons lui parcourant le dos. Il ne pouvait pas la quitter comme ça ; il était une partie d’elle maintenant.
Elle ouvra la porte d’un mouvement assez brusque et heurta mamie Pinako…qui était là comme par Hasard ? ‘Comment sait-elle toujours se manifester au mauvais moment.’ Pensa Winry, rougissant un peu.
« Je crois que j’ai vu Edward, sortir de cette même pièce ce matin. » Dit Pinako délibérément. « Pourquoi étiez-vous… »
Winry la coupa d’un coup. « Héhé, parlons en plus tard. J’ai du travail à faire… » Dit-elle en rougissant.
La vieille dame saisit son bras. « Il m’a dit de te dire au revoir, Winry. » Dit Pinako avec gentillesse, en libérant son bras, « Nous pourrons en parler plus tard si tu le souhaite. »
Winry lui fit un signe de la tête, et descendit les escaliers, pour aller rejoindre l’atelier dehors et faire des expériences avec quelques nouvelles parties d’automails. ‘Assurres-toi de trouvez quelque chose d’autre à parler au déjeune, un nouveau automail, les clients…’ pensa-t-elle.
_ _ _
« Qu’est ce qui t’arrive frangin ? » Demanda Al. Edward regardait par la fenêtre du train avec un regard romanesque dans les yeux.
Edward se tourna vers l’armure. « Hein ? »
« J’ai demandé, qu’est-ce qui t’arrive. »
« Tu es trop jeune pour comprendre Al… » Dit Ed.
« Quoi ! J’ai 16 ans !!! »
« Et moi je suis le plus vieux et ce n’est pas tes affaires… disons juste…bien, c’est qu’il y a quelque chose avec Winry. »
« Oh, Winry, » L’armure le poussa avec son coude et Ed savait que son petit frère souriait en grimaçant, si, il avait toujours eu son corps. « Et Winry… ? » Il continuait à pousser Edward du coude.
« Je t’ai dit que ce n’était pas tes affaires… » Dit-il, légèrement embarrassé. Le train arriva finalement en gare à Central e Edward se leva soudainement, en laissant Al derrière lui.
« Frangin, attends ! » Dit Al, en bondissant et se dépêchant à rattraper Edward.
Ils arrivèrent au QG, quelques minutes plus tard.
« Pourquoi est-il si furieux ? » Demanda Mustang à Al, en ayant un petit sourire satisfait quand Edward avait pris d’assaut le bureau.
« Il y a quelque chose avec Winry, » Répondit Al tout doucement, en poussant Mustang du coude comme il avait fait avec son frère plus tôt. L’alchimiste plus vieux sourit en grimaçant et pensa vite à dire quelque chose.
« Fullmetal ! » Dit-il assez fort.
Edward se retourna. « Ouais ? » Demanda-t-il, ennuyé.
« Qu’est-ce qui est arrivé avec Winry ? »
Edward devint immédiatement rouge comme une tomate et agita ses bras, « Rien n’est arrivé, ce n’est pas vos affaires, compris ! »
Al rougit, « Frangin… »
Edward continua, en se rendant compte que Mustang n’avait toujours pas d’idée de ce qui s’était produit.
« Hum… …désolé. »
« Ok, assis-toi. » Dit Mustang, en relevant ses mains. Son expression tourna vite à un froncement de sourcils très sérieux. « Al, tu pourrais sortir. »
« Hé, je ne suis pas un soldat, vous ne pouvez pas me donner des ordres ! » Se plaignit la grande armure en le regardant de ses yeux rouges.
« Ce n’est…hum…pas quelque chose que tu devrais entendre pour ton âge. » Ordonnait Mustang, en cherchant les mots. Bien qu’Alphonse ait techniquement 16 ans, il n’avait pas du tout vieilli après la transmutation. « Je suis sûr qu’Edward serait très embarrassé si tu entendais ça… »
Edward rougit avec colère en s’asseyant et Al quitta vite la pièce.
« Edward, vu comment tu es sur la défensive, quelque chose de très sérieux doit être arrivé…et j’ai une bonne idée de ce que c’est… »
« Comment le sauriez-vous ? »
Mustang eut un petit sourire satisfait, en se levant et marchant vers la fenêtre. « Puisque je suis aussi passé par là. »
« Je ne pouvais pas l’aider. » Laissa échapper Edward, « Winry est si belle et elle ne m’arrêtait pas…colonel… »
Il semblait que le temps avait gelé.
« Je n’en parlerai pas de cela, Dit finalement Mustang, en récupérant son calme, « Mais, si tu l’as fait….tu sais qu’elle pourrait être en danger avec vos ennemis maintenant et si elle…a besoin de toi, maintenant… »
« Je n’avais pas pensé à ça, » Dit Edward subitement inquiet. «Etes-vous sûr que mes ennemis, pourraient la trouver ? »
« Seulement si ça sort de là, ce que je suis sûr que non, te connaissant, » Dit Mustang, en y pensant. « C’est pour cela que je ne rentre pas dans les rapport sérieux avec n’importe qui. »
« Oh, j’ai cru que vous étiez juste un bâtard, » Dit Ed aigrement quand il commença à y penser plus. Winry pourrait y être en danger…
« Et en ce qui concerne ton engagement… »
Edward le coupa. « Ouais, je sais. Pinako, la grand-mère de Winry m’en a déjà fait la conversation. »
« Ah, » Dit Mustang, soulagé. « Aie…je suppose que tu est fatigués alors. Avec la nuit longue que tu as eut. »
Edward vu qu’il avait un sourire satisfait de nouveau et fit la grimaça. « Fallait que vous en rajoutez, n’est pas ! »
_ _ _ _
Le diner était très inconfortable de nouveau, cette fois, avec juste Winry et Pinako à table. « Winry nous devons parler… »
Winry la coupa, mettant plus de nourriture sur son assiette. « Mamie, tu veux un peu plus de nourriture. Et, tu sais ces nouvelles parties d’automail… »
« Winry !! » Dit Pinako, en lançant un regard furieux à sa petite fille. Winry ferma sa bouche et ria nerveusement.
« Winry, tu sais qu’il peut y avoir des répercussions sérieuse pour ce que toi et Edward avaient fait la nuit dernière, » Dit carrément Pinako, avant de continuer, faisant rougir Winry encore plus. « Je sais que cela peut-être très agréable, mais… »
« Mamie, je ne veux pas en entendre d’avantage ! Je sais tout le…j’ai entendu tout cela auparavant et je ne veux pas entendre de vos histoire ‘ agréable’. »
Pinako souriait en grimaçant, mais son l’expression sérieuse revint vite. « Tu pourrais tomber enceinte. Comment vous en occuperiez-vous ? »
Winry regarda vers le bas, mordant ses lèvres. Elle n’avait vraiment pas pensé à quoi sa ressemblerait à élever un enfant sans…si Edward mourrait… « Il m’a promis qu’il reviendrait, qu’il serait…plus prudent. »
« C’est toujours un emploi dangereux qu’il a. je sais qu’il se soucis beaucoup de toi, mais je ne sais pas s’il choisirait un avenir avec toi ou d’abord avec son frère, si l’occasion se présentait. » Dit Pinako calmement.
« C’est une chose terrible que tu dis là. » Winry levait les yeux en colère vers sa grand-mère. « Il m’a promis. »
« Hum ! Et s’il a une chance de redonner le corps de son frère ? »
« Pourquoi tu ne peux pas me permettre de me fier à lui ? Et puis nous ne savons même pas si je suis enceinte, n’est-ce pas ? Et si je le suis, alors, il reviendra pour moi, je me fie totalement à lui. » Dit Winry, en fixant sa grand-mère dans les yeux, avec une lueur de colère au fond des yeux.
« Naturellement tu, » Dit Pinako. « Autrement… »
« Exactement, » Dit Winry en coupant de nouveau sa grand-mère avant qu’elle puisse l’embarrassé encore plus. « Et puis, comment tu l’as su ? »
Pinako ria et Winry se demanda si elle voulait vraiment le savoir. « Au bruit que vous faisiez…. »
« Hum, bien. Je vais au lit et…je me fie à lui mamie. Il m’aime et il reviendra pour moi, même si je ne sais pas quand, il viendra. » Elle prit son assiette et marcha vers les escaliers, en frottant sa main au passage sur le canapé.
« Je t’aime aussi, Winry. »
Elle souriait, peu importe ce que mamie venait de dire. Edward l’aimait et reviendrait toujours pour elle, elle le savait.
Elle saisit en vitesse son pyjama dans sa chambre, et elle se faufila ensuite dans la chambre qu’elle et Edward avaient partagé la nuit précédente. En glissant sous les couvertures et éteignant la lumière. ‘ Tu me manques déjà, je regrette que tu ne sois pas là à côté de moi.’ Pensa-t-elle.
Elle ralluma la lumière et saisit un morceau de papier, en tendant son bras où Edward avait dormis à côté d’elle et la serrant dans ses bras.
« Winry, je t’aime, je t’aime. »

_ _ _ _
« Tu as une lettre de ton amie, Fullmetal. » Dit Havoc, en ayant un petit sourire satisfait. Edward surprit, tendit sa main et prit facilement la lettre. Même si Ed savait qu’Havoc ne savait pas ce qu’il était arrivé entre lui et Winry, il rougissait toujours et n’importe quand, quand on mentionné n’importe quoi sur elle.
« Tu ferais mieux d’aller la lire ailleurs, et t’enfermé, sinon tu pourrais être mis au courant un peu mieux par mon pistolet. » Dit Hawkeye légèrement. Il avait l’impression qu’elle savait… Mustang avait du la mettre au courant…
« Merci, » Marmonna Edward pendant qu’il marcha à côté d’elle et sorti de la pièce.
Quand il arriva dans sa chambre, il s’assit et déchira l’enveloppe pour lire la lettre.

Edward,
Je me repose là dans le lit…ton lit…en ce moment et tu me manques tellement. Je regrette que tu ne sois pas ici à côté de moi en ce moment, en me tenant dans tes bras comme la nuit dernière. Ton odeur est toujours partout dans la chambre et je continue à m’imaginer que je peux t’entendre marcher sur le plancher ; j’avais l’habitude de faire des rêves comme ça, tu sais. Houlà…ça semble extrêmement bête, n’est-ce pas ?
Ainsi dans ce rêve…je me levais quelques heures avant que toi et Al arriviez et marchait vers ta chambre et je m’imaginais que tu étais ici quand subitement tu te manifestais. Pendant que je t’écris, je continu à regarder au dessus de mon épaule, pour te voir passer la porte, sauf que je crois qu’après ce qu’il sait passer la nuit dernière, les choses se termineraient différemment que dans mes vieux rêves. Et cela semblerait faux.
Tu me manques. Rentre à la maison, bientôt.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime.
Winry.

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Fin de ce chapitre.
Salut et à la prochaine

continue bien ....

jadore c troooooooooooooo mimi oula jme répete ^^

Bonne lecture à tous ceux qui la suive et merci.

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Chapitre 3 : Paradis.

Trois semaines plus tard.

Edward ria. « Tu peux être si dramatique quelquefois… » Dit-il, comme si Winry était là dans la pièce avec lui. ‘J’espère que tu vas bien.’ Ajouta-t-il en y repensant. Il était inquiet depuis que Mustang lui avait dit qu’elle pourrait être en danger. Il venait de réaliser combien elle avait de l’importance pour lui. Il ne savait pas ce qu’il ferait après que lui et Al aient trouvé la pierre philosophale. Mais depuis qu’elle avait parlé d’une famille…’Bien, cela n’arrivera pas avant une longue période,’ S’assura-t-il, ‘Vrai ?’
« Frangin ? » Al ouvra la porte aussi calmement qu’il le pouvait. Edward le regarda et pensa à Winry de nouveau. En considérant ce qu’il avait fait à son petit frère, pourrait-il vraiment avoir confiance avec Winry, ou même…un enfant ? « Frangin, qu’est-ce qui ne va pas ? »
« Rien que tu ne doit entendre, Al. » Soupira Edward.
« Je sais que notre dernier indice était un échec, mais quand allons partir d’ici ? »
« Bientôt…mais je crois que je veux retourner à Resembool d’abord. »
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« Ils reviennent ! » Cria Winry, en raccrochant le téléphone et courut vers sa grand-mère qui était à l’atelier entrain de donner des coups de marteaux à un nouvel automail. « Il est de retour… »
« Je t’ai entendu la première fois, Winry, sur que ton cri a du réveiller les morts. » Dit Pinako, en souriant.
« Désolé » Winry était appuyée contre le mur, un peu essouffler avant de reprendre la parole. « Je suis juste excité…vois, je t’avais dit qu’il reviendrait bientôt ! »
« Je suppose que je ne n’aurais pas du douter de lui, il semblait vraiment effrayé quand nous avons eu une petite conversation… » Dit Pinako
« Tu lui as parlé ? » Dit Winry, les yeux larges.
« Oui… » Dit Pinako en lançant un regard furieux d’une façon calme mais terrifiante. « Tu ne pouvais pas t’attendre à ce que je le laisse juste partir, comme ça s’en rien dire… »
« Hum…merci, je devine. » Dit Winry, en ce mordant sa lèvre. « Bien, ils seront ici dans deux ou trois heures, donc je vais aller acheter de la nourriture… » Elle se retourna et marcha hors de la pièce, laissant la vieille dame sourire.
« J’espère qu’il prendra soin de toi quand je partirais… »
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« Tu sais frangin, je comprends. »
« Quoi ? » Dit Edward, en tournant la tête de la fenêtre du train vers Al.
« Je t’ai dit que je comprends…toi et Winry, je veux dire, » Dit Al.
Les yeux d’Edward s’élargirent d’un coup, « Quoi ! »
« J’ai peux avoir l’air de ressembler à un gamin pour toi et les autre, mais mon esprit a grandi, même si je n’ai plus de corps. »
Edward hocha la tête, et souriant. « Je suis vraiment désolé, Al, cela semble juste…et je n’ai pas cru que tu voulais savoir, comme tu ne pouvais pas… »
« C’est bon frangin ! » Dit Al calmement. « Nous allons retrouver mon corps et je rencontrerai quelqu’un que j’aimerai autant que tu aimes Winry. »
Edward souriait, « Je pense aussi. » Il s’arrêta quand le train ralenti. « Nous y sommes. »
Il bondit et frôla Al en passant. « Avance Al, allez ! »
« Je viens… » Dit Al, en se levant lentement.
Winry déposa quelques sacs d’épicerie sur la table et sentit immédiatement une paire de main en métal sur ses yeux. Elle souriait, en sachant déjà à qui s’était exactement.
« Devine qui c’est ? » Dit une jeune voix.
« Hum, une sorte de gars grand et en armure. » Dit Winry, en se retournant et serrant la grande armure. « Hé Al ! Je ne pensais pas que vous arriveriez ici aussitôt…je suis juste allé chercher à manger. »
« Alors, je n’ai pas le droit, aussi, à un câlin ? » Dit Edward qui se trouver à la porte. Il eu un petit sourire satisfait sur ses lèvres.
Elle courut vers lui et se jeta sur lui, en entourant son cou de ses bras et en le surprenant. Il mit ses mains sur ses hanches et se balança un peu en arrière. « Winry…c’est une étreinte, pas une lutte. »
Elle ria sottement et recula de lui, laissant toujours ses mains autour de son cou. « Je t’ai manqué ? »
Tout était silencieux depuis une bonne minute tandis que Winry embrassait Edward. Al était silencieux et très mal à l’aise dans un coin de la pièce, ne sachant pas quoi faire. Elle se détacha et ils se regardèrent l’un à l’autre avec amour. D’un coup Al, rompit le silence, marre d’être là en observateur. Edward et Winry rougirent tous les deux. « Je vais …hum…aller voir si Pinako a besoin d’aider. » Il partit vite, en refermant la porte et laissant Edward et Winry en paix dans la pièce.
« Tu n’avais pas besoin d’acheter tout ça comme nourriture. » Dit Edward, en souriant.
« Ah bon, et pourquoi ? » Demanda Winry, en lui rendant son sourire.
« Puisque je vais t’emmené diner dans un agréable restaurant, ce soir, ok ? E t ensuite nous pourrons passer la nuit dans un hôtel… »
« Je ne sais pas si mamie sera d’accord avec ça. Nous avons seulement 17 ans, Edward. »
« Bon, allait va lui demander, elle est en haut…elle ma fait confiance, pas vrai ? » Dit Edward, tout en regardant winry amoureusement dans les yeux.
« Non ! »
_ _ _ _
« Mais mamie ! »
Les yeux de Pinako se rétrécirent de façon menaçante, « Je ne sais pas si une sortie romantique est la meilleure chose à faire en ce moment…vous n’avez que 17 ans, les jeunes ! »
« Mamie… » Soupira Winry. « Nous avons déjà…tu sais…pourquoi il ne pourrait juste pas m’emmener ? Nous irons chercher des pièces pour les automails et ensuite diner. Il veut me montrer une autre ville, donc nous serons obliger d’y passer la nuit…s’il te plait, mamie ? »
« Est-ce que j’ai vraiment le choix ? »
Winry regardait sa grand-mère fixement, ses grands yeux saturés d’eaux pour supplier. « S’il te plait ? »
Pinako fronça d’un coup les sourcils, et soupirant une bonne fois. « Bien Winry…je suppose que tu grandis et que je ne peux pas t’arrêter, donc…vas-y. »
« Merci ! » Cria Winry, en serrant la petite vieille dans les bras. « Je t’aime, mamie ! » Winry quitta immédiatement l’atelier pour aller rejoindre Edward et lui dire que mamie était d’accord pour qu’elle puisse partir avec lui.
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Tous les yeux étaient tournés vers le couple placé à table, dans le restaurant extrêmement agréable dans une ville à environ une heure de distance touristique de Resembool : un attrayant, homme blond habillé tout de noir et une belle jeune fille blonde dans une magnifique robe rose courte. Ils étaient placés à une table ronde avec une nappe blanche soyeuse et la faible lumière refléter dans les yeux d’or du jeune homme.
« Mmm…ceci est trop bon, » Dit Winry, en prenant un autre morceau de gâteau. « Je savais que je devais sortir avec quelqu’un de riche ! »
Edward ria. « Je suis heureux que tu aimes. Mais ce n’est pas pour ça que tu es avec moi, n’est-ce pas ? »
« Naturellement pas, idiot. » Soupira Winry. « Je t’aime, pour toujours. Ok ? »
« C’est tout ce que je voulais savoir, » Répondit-il. Il soupira ensuite, en regardant une lampe fixement.
« Ok, »Dit-elle, en reposant sa fourchette. « Je suis heureuse et tu ne l’es pas. Qu’est-ce qui ne va pas avec toi ? »
« Rien. Edward haussa les épaules.
« Edward… »
« Bien, c’est Al, » Avoua Edward. « Il a vraiment grandi, tu sais et il ne peut pas…je veux dire, il ne peut pas avoir ce que moi j’ai avec toi. Il ne peut même pas embrasser une fille et savoir qu’elle impression ça a, parce qu’il n’est pas humain. Je juste… » Il marqua une pause, en levant les yeux et en empoignant ses mains.
« Maintenant je sais que tu es sur le point de dire quelque chose de mal, dites le moi avant que ta tête ne rencontre ma clé. » Grogna-t-elle.
« Maintenant, je ne sais pas si je pourrais me faire confiance avec toi ou…ou un gamin, si tu es sérieuse au sujet de la famille….après ce que j’ai fait à Al… »
« Vous étiez des gamins, Ed » Dit Winry, en serrant ses main et en le regardant fixement dans les yeux pour essayer de voir n’importe quel signe. « Et j’ai confiance en toi, c’est-ce qui importe vraiment, n’est-ce pas ? »
« Oui, tu as raison, » Dit-il, en riant faiblement. « Je suis.. »
« Tu es un jeune homme extrêmement dramatique, je sais. » Dit Winry en roulant des yeux.
Edward sourit et son expression se transforma bientôt en un sourire très sexy et suggestif. Il leva un sourcil, « Veux-tu rentrer dormir à l’hôtel ? »
« Bien sûr » Dit-elle, tout en se levant de sa chaise. Il alla payer et prit sa main pour sortir du restaurant.
Winry fut encore une fois choqué de voir l’hôtel qu’avait réservé Edward. Le sol était en marbre, un restaurant sophistiqué et de longs tapis qui parcourraient tout les planchers supérieurs. Elle se serait intéressée aux lustres inestimables et à la cheminée humoristique si elle n’avait pas était seule dans un hôtel très romantique avec l’homme de ses rêves.
« La baignoire est grande…et ils ont mis du savon vraiment agréable…si tu n’étais pas ici, je serais déjà dans le bain. » Dit-elle, en visitant la pièce.
Il s’assit et bâilla. « Vas-y, mais il se peux que quand tu reviennes, je soit déjà endormis. »
Elle se retourna, marcha vers lui et l’enfourcha. Ses yeux s’élargirent de surprise. « Winry, tu ne devrais pas faire ça. »
Elle roula ses yeux. « Tu as crus que tu allais juste m’emmener diner et prendre une chambres dans un hôtel agréable…et tu n’avais pas envisagé que je n’allais pas te séduire ? »
« Tu sais que tu ne devrais pas me séduire… » Dit-il, en souriant malicieusement.
Elle se mit à sourire, mais d’une très mauvaise façon. « Pourquoi c’est toi qui m’embrasse alors ? »
Edward tenait Winry dans ses bras quand le soleil du matin passa à travers les rideaux. Il la regarda dormir paisiblement jusqu’à ce que ses yeux commencent à s’ouvrir tranquillement. Elle bâilla, puis s’étira de tout son long. C’était un des moments les plus heureux de sa vie, d’être entrain de se réveiller dans les bras de celui qu’on aime.
« Bien, tu n’es pas partis cette fois ! » Dit6elle, tout en le taquinant et en bâillant à moitié.
« Je n’allais pas partir cette fois, puis que c’est notre week-end à tout les deux. »
Elle se tourna subitement vers lui, d’un air sérieux. « Promet-moi que tu resteras pour toujours après que vous ayez trouvé la pierre toi et Al ? »
« Tu me connais, non… » Dit-il, en l’embrassant doucement sur le front.
« Edward » Elle le regarda et lui lança un regard furieux. « Promet-moi que tu reviendras. »
« Je ne sais pas si je.. » Elle mit un doigt sur ses lèvres et ferma ses yeux, faisant une expression de malaise.
« Sais-tu pourquoi je fais cette expression ? » Dit-elle, en ouvrant les yeux de nouveau. Il hocha la tête et elle continua. « Parce que je ne veux pas que tu me dises que tu pourrais mourir, » Elle marqua une pause, en continuant de le fixer du regard. « Même s’il y a des chances, tu ne dois pas me le dire, parce que je le sais déjà, et je crois que tu devrais croire que tu ne vas pas mourir, compris ? »
Il fit un signe de tête sérieux. « Winry…promet-moi que tu te mariera avec moi quand j’aurais retrouvé mon bras et ma jambe ? »
« Oui, mais cela aborde une autre chose… je t’aime juste comme tu es. » Et elle tira sur la main droite d’Edward de sous la couverture et embrassa la paume, froide et dure. « J’aime le fait qu’il y a une partie de moi en toi. »
« Je suis tout à toi » Dit-il, simplement, en hochant la tête et en lui faisant un très beau sourire.
Elle n’a pas ri avec lui. « Non, je ne veux pas dire dans le sens physique…je veux dire dans le sens technique. Moi j’aime tes automails. Et ce n’est pas grave si tu ne retrouves pas tes vrais membres de chair. »
Il ria plus fort, tout en contemplant ses yeux. Elle souriait un peu et le frappa légèrement. « Arrête ! Qu’est-ce qui es bizarre, pour que tu ries comme ça ! »
« Je ne peux pas croire que je suis avec toi, ici en ce moment. Dit Edward, en essayant d’arrêter de rire. « Cela semble si surnaturel. »
« Hé, tu es celui qui vient juste de me demander en mariage, et tu trouve ça surnaturel ? Dit Winry, en riant.
« Mais tu ? »
« Je me marierais avec toi Edward Elric. Et je serais madame Winry Elric et je t’aimerai tellement que tu seras l’homme le plus heureux du monde. Et tu ne regretteras jamais de ne pas avoir posé tes yeux sur une autre femme. »
« Je n’ai jamais… »
« Ah, comment chéri, » Winry se redressa dans le lit et s’assit. Elle le regarda de nouveau et se leva pour aller à la salle de bain, en exposant son corps nu. « J’ai un bain à prendre maintenant…alors, tu viens ? »
Edward se leva à toute vitesse et partit rejoindre Winry qui était déjà rentré dans la salle de bain.
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Fin de ce chapitre
Salut et à la prochaine.

ooooooooooooooooooooo c mimi tro booooo!!!

Bonne lecture à tous ceux qui la lisent
Merci pour vos coms.
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Chapitre 4 : Epilogue sans toi.

Winry fronça ses yeux quand elle entendit la tonalité à l’autre bout, pensant à la dernière fois qu’elle avait parlé avec Ed. Cela faisait maintenant plusieurs semaines et depuis elle n’avait eu aucunes nouvelles de lui.
« Nous partons pour Ishbal….je te téléphonerai dés que nous arriverons là bas et que je trouve un téléphone. »
« Soit juste prudent, d’accord ? »
« Je t’aime Winry. »
« Moi aussi je t’aime. »
« QG de Central city, a qui aimeriez vous parler ? »
« Hum,…Edward Elric ? »
« Il est à l’est à l’heure actuel, mademoiselle, voulez-vous que je vous raccorde avec le QG de là haut ?
« Oui, merci. »
Il mit son bras autour de sa taille quand ils marchèrent vers l’hôtel, en appuyant doucement ses doigts sur le côté. « Tu sais que je suis à toi pour toujours maintenant, tu ne devrais pas être aussi possessif. » Winry ria.
« Je veux juste sentir que tu es bien là, à mes côtés. » Répondit-il, en l’embrassant sur la joue.
« Bonjours ? »
« Hum…c’est Winry Rockbelle, pourrais-je parler à… »
« Winry ? C’est Hawkeye. »
« Oh !...pourquoi répondez-vous au téléphone ? C’est le rôle d’une secrétaire… ? »
« Ne me demandez pas pourquoi, » Répondu Hawkeye. « Winry …c’est d’accord ? Vous voulez quoi ? »
« J’ai vraiment besoin de parler à Edward, c’est très important. »
« Il n’est pas ici en ce moment, puis-je transmettre un message ? »
Winry se mordu la lèvre, en ce demandant si elle devait le répété et Pinako lui serra son épaule avec une main, calmement.
« C’est du genre…privé. »
Hawkeye sembla presque maternelle, ce qui était bizarre pour le tireur d’élite qu’elle était. « Je sais, si c’est ce qui vous inquiète. »
Winry respira profondément et lui indiqua cela. « Hum… » Elle se retourna vers Pinako pour se sentir rassurer. La vieille dame fit un signe de la tête. « Dis-le que…tu peux… »
« Winry, dites-moi, ça va bien, » Dit Hawkeye, calmement.
« Pouvez-vous lui dire que je suis enceinte ?
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Hawkeye raccrocha le téléphone et chercha Mustang, puis ensuite Havoc et Fuery. « Pouvez-vous nous laisser tout les deux seul, un moment, s’il vous plait. »
Havoc leva les sourcils mais Hawkeye le fit taire d’un regard méchant. « Ce coup de téléphone était très important et seul les oreilles du colonel doivent être au courant. »
Fuery se leva immédiatement et marcha hors du bureau suivis de près par Havoc, en souriant et grimaçant au colonel Mustang. Mustang ne rendit pas le sourire, mais a attendu que ces deux hommes soient sortis de la pièce, pour ensuite se tourner vers Hawkeye. « Qu’est-ce que c’est, Riza ? »
« C’est personnel, colonel ? »
« C’est au sujet de Fullmétal ? »
« Oui, si on peut dire de la sorte. »
« Bien, qu’est-ce que c’est alors ? »
« Fullmétal est trop imprudent pour avoir…hum…un nouvel engagement qu’il a en route. »
Roy mit sa tête dans ses mains et gémi. « La fille…je savais qu’elle serait un problème. »
« Donc vous saviez que Winry serait enceinte ? »
« Après, les voir toujours ensemble, tout le temps. Si jeune et imprudent…j’étais stupide de le laisser en paix. Il ne serait pas à Lior en ce moment si j’aurais été plus responsable et l’aurais surveillé. »
« Il n’y a rien que vous pouvez faire, monsieur. »Dit Riza calmement. « Espérons juste qu’il revienne sain et sauf de là haut. »
« Espérons…. »
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Winry sourit faiblement à Pinako. « Tu sais mamie. » Soupira-t-elle. « Je pensais que cela se produirait, mais j’imaginais toujours que j’appellerais et lui parlerais, et il me dirait qu’il revenait pour me voir et que tout irait bien. »
« Tout ira bien, Winry, je m’occuperai de toi et je suis sûr qu’il reviendras bientôt. »
« J’ai juste un très mauvais pressentiment. Comme si il ne reviendrait pas. »
« Tu dit ça seulement parce que tu penses trop à ce qui arrivera s’il ne revenait pas. » Râla Pinako. « Ne pense pas à cela, penses plutôt, à quand il va recevoir la nouvelle. Il sera heureux, tu sais. »
Winry le regarda fixement depuis une minute et pleura, laissant les larmes coulaient en bas de ses joues et s’élança dans les bras de Pinako.
« Snif…snif… » Pinako le serra plus fort contre elle et frotta son dos.
« Je veux juste qu’il revienne… » Winry sanglota. « Il doit rentrer à la maison… »
« Il viendra, il viendra…. »
« Je t’attendrais …… Toujours…… »


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Fin de cette histoire.
Merci encore à tous ceux qu’ils l’ont suivis.
Salut.

olala fait kil revienne si tu dit kil meur je li plus ta fic T_T^^