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 souvenirs d'enfance.

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sabine

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MessageSujet: souvenirs d'enfance.   souvenirs d'enfance. Icon_minitimeMer 24 Oct - 17:11

Bonne lecture à tous.

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Chapitre 1 : pendant l’orage.

Dans une chambre d’une petite maison de Rizembool, un petit garçon de huit ans, blond aux yeux couleurs or n’arrivait pas à dormir. Il alla réveiller sa petite sœur de deux sa cadette, qui se trouvait dans la chambre juste à côté de la sienne. Il s’approcha du lit et secoua de sa petite main la petite fille blonde qui s’y trouvait.
- Riza, tu dors.
- Hum…
- Je n’arrive pas à dormir, l’orage me fait peur.
La jeune fille blonde ouvra ses paupières, laissant entrevoir des yeux d’un bleu azur. Elle se redressa sur ses coudes, et regarda son grand frère et leva les yeux au ciel, tout en secouant sa tête.
- Il ne va pas te manger cet orage.
- Oui, je sais. Mais je ne veux pas aller réveiller, papa et maman.
- Mais tu préfères réveiller ta petite sœur !!! cria la fillette dans les oreilles de son frère, qui écarquilla les yeux de surprise.
- Moins fort, tu vas finir par les réveiller.

A l’étage en dessous, dans une pièce, où on pouvait apercevoir l’âtre d’une cheminée où se consumer quelques bûches, un canapé en face d’une télé allumée où se trouvait deux personnes, un homme et une femme l’homme avait dans la trentaine, des cheveux blonds montaient en une queue de cheval, des yeux de couleur or, on pouvait également apercevoir un automail à la place de son bras droit. La femme avait aussi dans la trentaine et possédait également des cheveux longs blonds lâchés et un regard bleu azur. Quand ils entendirent, leur fille hurler, ils se levèrent du canapé où ils se trouvaient tranquillement assis et se dirigèrent vers les escaliers qui monter à l’étage vers les chambres.
- Pourquoi Riza, c’est mise à hurler, comme ça, ma chérie.
- Je ne sais pas Edward. C’est ta fille, tu devrais le savoir, elle passe ces journées entières avec toi, quand tu n’es pas en mission.
- Winry....ne serais-tu pas jalouse ?
- Pas du tout !
En un rien de temps, ils arrivèrent à la chambre de Riza et y entrèrent, faisant sursauter Roy, surprit de voir ses parent débarquer dans la chambre. Winry fit un signe de tête à Edward, qui prit la parole.

- Bon, on pourrait savoir, pourquoi tu hurles comme cela, Riza ?
- Roy m’a réveillé, papa.
- Roy ?
- Ben….j’ai eu peur de l’orage et je ne voulais pas vous réveillé, alors je suis venu voir si elle dormait. Je ne veux pas dormir tout seul, j’ai vraiment trop peur.
- Roy, tu es un garçon, et les garçons n’ont pas peur. Ça va vite passé cet orage, retourne dans ta chambre, pour laisser ta sœur dormir maintenant. Elle est fatiguée.
- Ah, ben maintenant, j’ai plus sommeil.
- Mes petits chéris, vous avez vu l’heure. Allez, essayer de dormir ensemble au moins. Dit Winry, d’une voix plus que douce.
- Non, je n’ai plus sommeil, Roy m’a réveillé.
- Riza !! Tu devrais écoutée, maman. Vous devriez essayer de dormir ensemble. Comme cela, tu aurais moins peur de l’orage, Roy.
- D’accord, on veut bien, mais vous nous raconté une histoire pour nous endormir. Dit riza.
- Ok ! Papa et moi allons vous raconter un peu comment c’est passé, notre enfance. Installez-vous dans le lit correctement.
Riza et Roy se glissèrent sous les draps, regardant leur père Edward prendre la chaise du bureau, pour la plaçait à côté du lit et s’y asseoir. Winry, leur mère, quand à elle, les borda et s’assit sur le bord du lit, tout en regardant Edward, qui lui souriait. Elle lui rendit, son tendre et doux sourire et lui demanda de commencer l’histoire. Il inclina la tête, et regarda les enfants dans le lit qui n’attendaient maintenant, le début de l’histoire que leur père aller commencer à raconter. Edward se racla la gorge, pour se la dégager et commença.
- C’était il y a bien des années dans un petit village, nommé Rizembool…..



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FIN DE CE CHAPITRE.
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MessageSujet: Souvenirs d'enfance   souvenirs d'enfance. Icon_minitimeMer 14 Nov - 23:38

CHAPITRE 2 : Naissances et départ.



Riza et Roy se glissèrent sous les draps, regardant leur père Edward prendre la chaise du bureau, pour la plaçait à côté du lit et s’y asseoir. Winry, leur mère, quand à elle, les borda et s’assit sur le bord du lit, tout en regardant Edward, qui lui souriait. Elle lui rendit, son tendre et doux sourire et lui demanda de commencer l’histoire. Il inclina la tête, et regarda les enfants dans le lit qui n’attendaient maintenant, le début de l’histoire que leur père aller commencer à raconter. Edward se racla la gorge, pour se la dégager et commença.

-C’était il y a bien des années dans un petit village, nommé Rizembool, une belle jeune femme, aux cheveux long châtain foncé, nommé Trisha et un homme aux cheveux long blonds, possédant une barbe, nommé Hohenheim habitaient dans une belle et grande maison sur une colline, à côté d’une grand chêne d’où on pouvait voir une corde à linge partir de cet arbre et rejoindre la maison. Trisha devait avoir dans les 28 ans et avait un joli petit ventre tout rond comme un ballon, montrant qu’elle n’allait pas tarder à mettre au monde, son enfant et étendait le linge qu’elle venait de finir de laver, quand elle ressentit une profonde douleur au niveau de bas ventre, et sentit un liquide chaud, couler le long de ses jambes. Elle rentra dans la maison en appelant son mari qui descendit de son bureau et lui demanda d’allé cherchait mamie Pinako, pour l’aider. Il l’aida à s’installer sur le lit de la chambre à coucher et partit vite rejoindre la grosse maison jaune sur le haut de la colline beaucoup plus loin. Il arriva quelques minutes plus tard, toqua à la porte et attendit qu’une vieille femme vint lui ouvrir et lui indique que Trisha était sur le point d’accoucher et il repartit aussi vite qu’il était arrivé, laissant Pinako fermait sa porte et le suivre jusqu’à chez lui. Quand il arriva, suivit de Pinako, il alla directement dans la chambre à coucher qui se trouvait à l’étage, tandis que Pinako faisait bouillir de l’eau, une fois fait elle la versa dans une bassine et cria à Hohenheim de lui préparer des serviettes, qui délaissa sa femme quelques instants. Pinako arriva au chevet de Trisha et lui passa un linge humide sur le front, et lui parla doucement essayant en sorte de lui faire oublier les douleurs dus aux contractions. Hohenheim arriva avec les serviettes et fut prier d’attendre devant la porte que le travail soit fini. Il sortit en bougonnant et attendit avec impatience. C’était leur premier enfant. Il avait hâte de le tenir entre ses mains. Six heures plus tard il entendit de petit cris et une voix rauque lui annonçant qu’il pouvait entrer, admirer son fils. Il embrassa sa femme qui était épuisée et regarda son fils, il était si petit et si innocent. Elle lui tendit et le prit dans se bras et le berça doucement. Il était venu au monde le 24 novembre 1899 et ils l’avaient appelé Edward. Les cris de ce joyeux bambin, anima la maison durant les jours suivants.


Edward fit une halte dans son récit, regardant ses propres enfants qui le regardaient avec les yeux grands ouvert, et sa femme et leur fit un sourire, avant de continuer.

-Quelques jours plus tard, à la date du 10 décembre 1899, née une belle petite fille, du nom de Winry. Ses parents Sarah et Yüri Rockbell, talentueux médecins, souvent sur les routes pour soigner les plus démunis, étaient fier de leur premier enfant. Ils avaient décidé d’en avoir un, assez rapidement après leur mariage, mais avec le travail qu’ils avaient, ce n’était pas trop compatible. Jusqu’au jour ou Sarah lui annonça qu’elle attendait enfin leur enfant, Yüri en pleura de joie. Et Yüri avait soutenu sa femme durant toute sa grossesse et pendant l’accouchement lui-même. Etant médecin, il l’avait aidé à accoucher, assisté de sa mère Pinako, qui l’aider du mieux qu’elle pouvait en essuyant, tout au long de l’effort, le front dégoulinant de sueur de sa belle fille, vu que son fils voulait tout faire. Une fois l’accouchement finit, il embrassa sa femme qui avait été très courageuse et se mit assis à côté d’elle, qui tenait leur belle petite fille dans les bras. Il regarda sa mère et lui indiqua qu’elle pouvait aller prévenir leur voisin et amis que leur enfant était là et qu’ils pouvaient venir le voir. Elle quitta la chambre et sortit de la grande battisse jaune et se dirigea vers la maison de Trisha et Hohenheim. Elle les prévint que sa petite fille était née et qu’ils pouvaient passés quand ils voulaient. Elle retourna chez elle, où l’attendait du travail, c’est qu’elle avait une boutique à faire tourner malgré son âge. Elle était une des meilleurs prothésistes d’automail.
Les journées passées et ne se ressembler pas. Les deux enfants étaient habitués à être ensembles, lors de leurs ballades en poussette.

Edward s’arrêta de nouveau, espérant que ses enfants se soient endormis, mais ils étaient coucher l’un contre l’autre avait leurs yeux grand ouvert.
-Papa, raconte nous la suite. Et comment tu sais tout ça. Dit Riza.
-C’est votre grand-mère qui nous racontait toutes ces histoires lorsque l’on n’arrivait pas à dormir.
-Tu veux dire à toi et tonton Al. Dit Riza
-Oui, mon petit canard en sucre.
-Je ne suis pas petite j’te signal !!!!
-Oh ! J’ai l’impression de me voir. Bon je continue, et essayer de dormir.


-plus d’une année passa, et les deux familles se réunissaient le plus souvent possible pour manger ensemble et pouvoir discuter de leurs progénitures. Pendant ses moments là, les enfants qui marchaient tout seul depuis peu de temps joués ensemble. Trisha affichait un beau ventre bien rond, signe qu’elle n’allait pas tarder à accoucher. Effectivement six mois après la naissance de leur premier enfant, Trisha avait annoncé à son mari Hohenheim, qu’elle attendait un heureux événement. Elle mit son enfant au monde le 3 mars 1901, avec l’aide cette fois-ci de Sarah. Laissent les deux hommes de la famille attendre sur le pas de la porte de chambre. Le petit garçon qui se tenait à côté de son père était très pressé de voir enfin son petit frère ou sa petite sœur, et faisait les cent pas devant le père, qui disait de se calmer. Quand ils attendirent les cris d’un petit bébé, fraichement sorti du ventre de sa maman. Ils se précipitèrent dans la chambre et ils embrassèrent tous les deux la femme, se trouvant sur le lit et qui avait dans ses bras un petit garçon, qu’ils appelèrent Alphonse.
L’année qui suivit la naissance d’Alphonse passa très rapidement, en compagnie de la famille Rockbell.
Et un jour le père quitta la maison en laissant femme et enfants derrière lui, disant à sa femme, qu’il reviendrait mais pas tout de suite. Et ils n’entendirent plus parler de lui durant des années.

-C’est triste papa. Dit Roy, en se relevant sur son lit.
-Vous ne dormez toujours pas ?
-Non, il nous faut la suite, maintenant. C’est trop beau. Dit Riza.
-Ok, ok, mais je veux vous voir essayer de dormir, compris !!
-Papa ? Dirent Roy et Riza ensemble.
-Quoi !
-On a soif.
Winry leur indiqua qu’elle descendait chercher des verres et de l’eau, et sortit de la chambre laissant son mari avec ses deux enfants, qui se remettaient tranquillement sous les couvertures, attendant la suite de l’histoire.



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Fin de ce chapitre espérant qu’ils vous aient plu.
Salut et à la prochaine.
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MessageSujet: Souvenirs d'enfance   souvenirs d'enfance. Icon_minitimeMer 16 Jan - 13:43

CHAPITRE 3 : GUERRE ET TRANSMUTATION


Winry arriva dans la chambre des enfants, avec un plateau dans les mains, charger d’une cruche d’eau et de plusieurs verres vide. Elle le déposa sur le bureau de Riza et y versa le liquide transparent dans chacun verres. Elle en prit deux et les apportèrent à ces deux enfants qui étaient allongés dans le lit et qui attendaient impatiemment la suite de l’histoire que leur raconter leur père. Les enfants prirent chacun leur verre et y burent le contenu avant de le redonner à leur mère qui attendait qu’ils aient fini. Elle se tourna vers Edward et lui parla.
-Tu veux aussi boire, mon chéri.
-Oui, merci, j’ai la gorge un peu sèche à force de causer.
Winry repartit en direction de bureau, y déposa les deux verres et y remplit un autre verre qui était vide, l’apportant à son cher et tendre mari. Il porta le verre à ses lèvres et le vida d’une traite. Il le redonna à Winry qui alla le remettre à sa place et se rasseoir tranquillement sur la chaise où elle était peu de temps avant se court petit break. Edward se racla la gorge, tout en regardant ses enfants et recommença son récit.

-Plusieurs années passèrent, depuis le départ du père des deux enfants et la vie battait son plein. Ils allaient à l’école en compagnie de la petite fille de leur vieille voisine, Mamie Pinako, comme ils l’appelaient tous.
Un jour en rentrant de l’école, les deux petits garçons demandèrent à leur mère Trisha, s’ils pouvaient aller lire les livres de leur père dans son bureau. Leur mère accepta mais à une condition que tous ce qu’ils allaient prendre soit ranger à leur place. Trisha leur ouvrit donc la porte qui était fermée à clé, et les laissa rentrer. Les deux garçons étaient en admiration devant autant de livre d’alchimie que possédés leur père et décidèrent ce jour là d’apprendre à faire comme leur père, rien qu’en apprenant avec ses livres. Et à partir de ce moment là, les garçons, Edward et Alphonse passèrent la plupart de leurs journées après l’école à apprendre, redonnant un temps soit peu le sourire à leur mère, qu’elle avait perdu juste après le départ de son mari Hohenheim.
Du côté de la famille Rockbell, la petite fille, Winry aidait beaucoup sa grand-mère à la confection d’automail et jouait le plus souvent possible avec ses parents quand ils étaient là. Un jour Edward et Alphonse voulurent lui faire une surprise pour son anniversaire et l’emmenèrent dans sa chambre où ils y dessinèrent un étrange cercle aux yeux de Winry et y déposèrent plusieurs ingrédients bizarre. Ils frappèrent dans leurs mains et les posèrent au sol, juste à la limite du cercle. Uen lumière bleuté apparut et Winry distingua une étrange forme, entrain de se former au milieu de ce cercle, la faisant hurler de peur et s’enfuir de la chambre où ils étaient. Edward et Alphonse arrêtèrent leur transmutation, aux cris de la jeune fille et la regardèrent partir en courant, à l’étage du bas où se trouver toute sa famille et Trisha, la mère des deux garçons. Ils avaient essayé de lui transmuter une jolie poupée de chiffon pour son anniversaire et n’avaient certainement pas prévus sa réaction. Quelques jours plus tard, les parents de Winry avaient été appelés sur le front, pour soigner les blessés de la guerre d’Ishbal. La vie continua pour les trois enfants et un jour alors qu’Edward et Alphonse avaient décidé de montrer leurs jolies sculptures à Winry, ils apprirent en rentrant chez Mamie Pinako que les parents de Winry avaient été tués à la guerre en soignant des blessés. Winry pleurait beaucoup et les garçons ne savaient pas trop comment faire pour la soutenir, ainsi Edward commença à parler de transmutation, pouvant faire revenir quelqu’un à la vie. Edward et Alphonse, ce jour-là sortirent de la maison plus vite qu’ils n’étaient rentrés. Arrivant à leur maison les deux garçons se jetèrent dans les bras de leur mère qui était derrière, entrain de pendre le linge qu’elle venait de finir de laver.
-Oh papa, c’est vraiment touchant cette histoire !
-Non, mais je rêve, vous ne dormez toujours pas !!
-Ben non ! C’est comme ça mon petit papa.
Winry regarda à ce moment là Edward pour voir la réaction qu’il allait avoir à la phrase de sa fille. Mais fut très surprise, de le voir sourire et non pas s’emporter comme il pouvait le faire d’habitude. Elle se mit à sourire les regardant chacun leur tour, en se disant qu’elle avait bien de la chance d’avoir une famille aussi soudée.
-Bon, là il faudrait vraiment penser à dormir les enfants, car si ça continue comme ça c’est moi qui vais finir par dormir.
-Mais tu sais papa, on ne te laissera pas de place pour dormir.
-Ahhh ! Bande d’enfants indigne, vous laisseriez votre père dormir par terre.
-Nous tous ce qu’on veut papa chéri, c’est la suite de l’histoire. Dit Riza, tout en bâillant.
-Ok, mais là vous dormez, car sinon je vais me fâcher.
-Compris papa ! Dirent les deux enfants en même temps.
Laissant Edward bâillait aux corneilles et Winry accoudait à la chaise qui commençait à s’endormir.

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Fin de ce chapitre.
Salut et à la prochaine.
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MessageSujet: Re: souvenirs d'enfance.   souvenirs d'enfance. Icon_minitimeMer 16 Jan - 13:45

CHAPITRE 4 : Accident et opération.



Edward regardait ses enfants avec admiration, et surtout la détermination qu’ils avaient tout à l’heure dans les yeux, pour pouvoir avoir la suite de l’histoire. Ça lui rappelait, lorsqu’il était à la recherche de la pierre philosophale, avec son frère Alphonse, des années de cela. Cette même lueur dans le fond des yeux. C’était bien ses enfants. Et pesa d’un coup qu’il était le plus heureux des pères, même si à ce moment là, il aurait bien voulu les assommer pour pouvoir aller au lit, ses paupières commençant à devenir très lourde. Mais bon, il devait faire son devoir de père et finir cette histoire, espérant vraiment qu’ils s’endormiraient rapidement et pour de bon. Et il reprit l’histoire, là où il s’en était arrêté, bâillant encore un fois.
-plusieurs mois s’étaient écoulés depuis la mort des parents de Winry. Edward et Alphonse, les petits garçons, essayaient de faire de leur mieux pour ne pas voir leur meilleur amie, pleurer. Après l’école, ils allaient toujours un peu se promener dans les bois, les champs ou prés du lac, là où Alphonse adorer y aller, après certaines disputes avec son frère. D’ailleurs dans les bois, ils avaient commencé à construire une cabane, certes, ce n’était pas un palace, mais elle protégeait assez bien des averses de pluies, quand ils se faisaient surprendre par celle-ci. Winry avaient demandé à sa grand-mère qui l’élever à présent, si elle ne pouvait pas prendre des morceaux de bois, qui se trouvaient derrière la maison et qui n’était pas très bon pour la cheminée, pour construire cette fameuse cabane avec les frère Elric. La grand-mère avait tout de suite accepté, la voyant de nouveau, un peu sourire, mais l’avertissant quand même de faire très attention, de ne pas se blesser avec. Et voilà comment ils avaient réussi à avoir la matière première pour la cabane. Pour le reste, c'est-à-dire les clous et les outils, ce n’était pas la peine de demander, Winry, en avait une cargaison, dans l’atelier de réparation de sa grand-mère. Pour son anniversaire, elle avait reçu, une belle boite à outil. Les garçons auraient pu la faire très rapidement grâce à l’alchimie, mais ne l’utilisaient plus devant Winry, depuis qu’elle avait eu si peur, la fois-là. Pourtant, ils s’étaient bien améliorer, en lisant les livres de leur père. Ils s’entraînaient tous les soirs en rentrant à la maison, en attendant que leur mère prépare le bon et délicieux dîner. Mais, ils voulaient tellement lui remonter le moral, qu’ils n’avaient surtout pas même osé en parler. Ils avaient mis un certain temps à la faire, mais, le résultat était assez bien, pour des enfants de cet âge. Et quand ils n’allaient pas dans leur cabane qui se trouvait dans les bois, ils allaient dans les champs de mais, où dans les granges de certains fermiers ou ils étaient sûr qu’ils ne diraient rien, en les voyant jouer dans leurs bottes de paille. Il faut dire que c’était tellement amusant de se jeter du haut d’une pile de bottes de paille pour atterri plus bas sur d’autre. Et c’est comme ça que passer la majeure partie de leur temps libre. Mais une fois à la maison, ils avaient tous leurs passe temps et obligation à faire.

Edward s’arrêta de nouveau dans son récit, pour aller voir ses enfant qui étaient bien cachés par les couvertures, espérant que cette fois, il pourrait aller dormir tranquille dans son propre lit bien moelleux, qui l’attendait dans la chambre un peu plus loin, en compagnie de sa très chère femme Winry, qui elle, dormait sur la chaise dans une position pas très confortable. Il s’avança jusqu’au lit et souleva les couvertures, pour y voir deux petites têtes, les yeux bien grand ouvert, affichant un large sourire. Edward soupira, tout en baissant et secouant la tête. Il se résolut à retourner, sur la chaise, pour continuer son récit, se demandant comment, il avait fait pour avoir des enfants qui ne voulaient pas dormir.

-Bon, continuons, vu que vous ne voulez pas que votre père dorme, cette nuit !!!!
Et pour toute réponse, il entendit des petits rires, atténués dut aux couvertures.

-un samedi après-midi, après le repas, ils se retrouvèrent prés du cimetière. Winry voulant allait ramener une gerbe de fleurs à ses parents, pour ensuite, aller s’amuser avec les deux frères. Den, l’avait accompagné, marchant toujours devant elle, comme pour la, protégé du moindre danger qui pouvait surgir. Arrivée devant la tombe de ses parents, elle y déposa donc son bouquet et sortit, apercevant les deux frangins, qui l’attendaient à la grille. Ils avaient juste décidé de se promener aujourd’hui, et de faire le tour, du village, qui n’était pas très grand soi-disant. Winry marchait devant les deux garçons, qui avaient leurs mains dans les poches. En route, ils croisèrent le fermier du coin, qui rentrer avec son chariot et qui avait bien du mal à le diriger. Pourtant, il était vide. Peut-être à cause de la route qui était très gadoueuse, vu que les derniers jours, il n’avait pas arrêté de pleuvoir. Alors que les enfants passaient juste à côté, elle perdit une roue, faisant basculer le chariot du côté des enfants, et en premier, d’Edward qui se trouvait planter là, comme une momie, ne sachant pas comment réagir, où simplement surpris de ce qui était entrain de se produire. Quand il fut pousser d’un coup, aux niveaux des cuisses, pour se retrouver, un peu plus loin du chariot qui tomber maintenant sur la pauvre bête qui venait de lui sauver la vie, ainsi dire. Winry courut vers son chien, juste après avoir vu le chariot tombé sans rien pouvoir faire. Elle aperçut den, qui était couché par terre dans le chemin un peu boueux, gémissant de douleurs. Il avait eu sa patte gauche d’arraché, par la force du chariot en tombant dessus. Winry pleurait pour son chien, qui perdait énormément de sang. Edward qui s’en voulut, car normalement, il aurait du être à sa place, déchira la manche de son tee-shirt et l’enroula sur la patte restante de Den, après l’avoir ôté de là ou il était avec l’aide du fermier, qui était plus que désoler de cette horrible accident. Les deux garçons le portèrent jusqu’à la maison familiale des Rockbell, pour que mamie Pinako, puisse faire quelque chose avant qu’il ne soit trop tard. Ils arrivèrent à la maison, déposèrent le chien dans la salle servant aux opérations de pose d’automails, que leur avait indiqué mamie Pinako, en les voyant charger avec Den dans les bras. La vieille femme examina la plaie du chien et le soigna, pour éviter qu’il perde encore plus de sang. Elle regarda sa petite fille en pleure, se souvenant de la mort de son fils et de sa belle-fille. Mais, elle était impuissante face à ce genre de chose. La vieille femme remercia Edward et Alphonse et leur demanda de rentrer sinon leur maman aller s’inquiétait pour eux deux. Et les rassura sur le chien, elle disant qu’il ne mourrait pas. Et qu’elle lui fabriquerait un automail à sa taille, et lui poserait dés que la plaie sera presque guéris. Les deux garçons rentrèrent donc chez eux, le cœur lourd, mais soulagé quand même un peu, par les paroles de mamie Pinako. D’un sens c’était surtout pour Winry, qu’ils s’étaient le plus inquiété, elle adorait son chien et le perdre, serait très dur pour elle. Quand ils arrivèrent chez eux, ils racontèrent toute l’histoire à leur mère qui les serra dans les bras, et les embrassant, remerciant mentalement Den, d’avoir sauvé son fils Edward.
Quelques jours plus tard, mamie Pinako et Winry qui avait passé ses journées, à confectionner, elle-même l’automail, qu’ils allaient mettre à Den, étaient dans la salle d’opération entrain de gentiment endormir le chien pour pouvoir poser sa nouvelle patte. L’opération dura assez longtemps, surtout pour les deux frangins qui attendaient patiemment des nouvelles du déroulement, assis dans le canapé du grand salon. Trois heures après Winry et mamie sortirent de la salle, leur annonçant que tout c’était passer et qu’il remarcherait normalement d’ici, six à douze mois. Les deux garçons se levèrent et enlaça Winry, pleurant de joie.
Edward stoppa saon histoire, n’entendant plus de bruit, au niveau des couvertures du lit de ses enfants, espérant vraiment que cette fois, ils soient endormis. Il regarda sa femme, endormi sur la chaise, et décida de la porter jusqu’à leur chambre, pour l’allonger dans leur lit, sinon, demain elle ne serait pas en grande forme, vu la position. Il se leva et se dirigea, vers elle, quand tout d’un coup, Roy, murmura tout doucement.
-Pourquoi, tu t’arrêtes, papa ?
-Ahhh ! Tu m’as fais peur idiot ! Mais vous ne dormez pas ?
-Ben non, c’est trop beau, alors on lutte, pour entendre la fin.
-Non, mais c’est pas vrai !!! Je n’arriverai pas en m’en sortir, avec vous deux et votre mère qui pionce. JE VEUX DORMIR MOI AUSSI !!!!!!!!!!!

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Fin de ce chapître.
Merci et à la prochaine.
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