Le retour

Introduction :

Un an s’est écoulé depuis que Ed avait détruit la porte. Les deux frères ont réussit, durant tout ce temps, à retrouver l’homme qui possédait la fameuse bombe. Celui-ci s’avérait être un « fou dangereux » qui voulait utiliser la puissance de cette arme pour contrôler le monde (pour changer !!!!!!). Mais heureusement, nos deux petit blondinets adorés l’ont, grâce à une intervention musclé (ça non plus ça change pas !!!!!), arrêté à temps. Ensuite, ils ont décidé de se reposer quelque temps avant de repartir sur les routes.

Chapitre 1 : Des regrets ?

- Ed, tu dors ??
Al était assis sur le lit à coté de celui de son frère.
- Edward ??
- Laisse-moi dormir, il est tard !! Dit-il en râlant.
Al se recoucha, mais n’arrivait pas à s’endormir, trop de pensées l’en empêchait. Alors, il se retourna dans son lit pour changer de position, mais comme celle-ci ne convenait toujours pas, il se retourna encore et encore et encore jusqu'à quand Ed en eu assez.
- Al, t’as pas bientôt fini de bouger.
- Heu… oui, pardon.
Voyant la mine dépitée de son frère cadet, Ed du se résoudre à l’écouter.
- Bon d’accord, c’est quoi le problème ??
- C’est sans importance. Dors bien.
- Ah non pas question, maintenant que tu m’as réveillé, tu m’expliques ce qui ne tourne pas rond dans ta petite tête.
Al s’assit sur son lit de façon à être face à son aîné. Après une longue hésitation, il se décida enfin à parler.
- … ça t’arrive jamais de repenser à « notre monde », à toutes les personnes qu’on a laissé derrière nous ??
Ed soupira :
- On n’avait pas le choix, on devait retourner dans ce monde pour détruire la porte, sinon Amnestris aurait été perdu.
- Oui, je sait mais….tu regrettes pas d’avoir quitter toutes les personnes à qui tu tenais ?
- Mais je ne les ai pas toutes quittées puisque tu es là. Dit-il en souriant. Et puis nous retrouver c’était ça notre but, non ???
- Oui….
Le silence tomba sur la pièce, mais ne dura pas très longtemps.
Al baissa la tête et dit :
- Et tu es sure qu’il n’y a pas d’autre moyen pour rentrer chez nous ??
- Si il y a un moyen, c’est de retraverser la porte, mais…
Al releva la tête, les yeux remplis d’espoir.
- Donc, on pourrait peut-être un jour rentrer, il suffit d’ouvrir La porte.
- Alphonse cria Edward, tu sais très bien que pour ouvrir la porte, il faut qu’une personne se sacrifie, et ça c’est hors de question !!
Il repensa à la mort de son père, non il ne voulait plus assister à ça, il ne voulait plus qu’une personne se sacrifie pour lui. Plus JAMAIS. Il était encore plongé dans ses pensées quand son cadet reprit la parole.
- Mais Ed, ….. Tu sais avec cette guerre qui persiste, des centaines de personnes meurent tous les jours.
Edward se leva avec fureur et attrapa son frère par le col de sa chemise : « Si j’ai bien comprit, tu veux utiliser ces pauvres gens qui meurent. »
Alphonse baisa la tête honteux de ce qu’il venait de dire, mais il avait tellement envie de revoir son monde : « Moi aussi ça me dégoûte, mais si c’est la seule solution pour rentrer…, et puis, on ne peut plus rien pour eux. »
Edward lâcha son frère :
- Al, réfléchit un peu même si on arrivait à ouvrir la porte il faudrait toujours quelqu’un pour la refermer.
- Ah oui, j’avais oublié ce détail.(un petit détail, mais qui a son importance !!).
- Laisse tombé, on est coincé dans ce monde jusqu'à la fin de notre vie.
Le silence tomba une nouvelle fois entre les deux frères, un silence lourd en tristesse et nostalgie envers leur monde qu’il ne reverrait plus jamais. A moins que …
- Attend cria Ed mais si il y a peut-être un moyen de retourner chez nous…
Voila le premier chapitre de ma fic, j'espère que ça vous a plu, laissez des com

Chapitre 2 : retour à une vie normale ?

Durant les deux semaines qui suivirent le départ d’Edward et d’Alphonse, Winry resta allongée dans son lit à pleurer et à se remémorer les bons souvenirs qu’elle avait eu avec les deux frères Elric. Un dimanche soir, alors que Winry avait encore passé la journée dans son lit, elle se rappela la promesse qu’elle avait dit à Alphonse : « je ferais tout pour devenir la meilleur mécanicienne au monde ». Après s’être remémorée cette parole, elle se dit que s’apitoyée sur son sort ne lui ressemblait pas du tout, qu’elle avait toujours été plus forte que ça. Alors, elle se leva, s’habilla et se coiffa. Elle avait pris une décision importante : elle allait tenir sa promesse, et pour cela, il n’y avait qu’un seul moyen…

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Après avoir détruit la porte, Roy Mustang alla au QG de central. Là-bas, il fut remercié et félicité par le parlement (hé oui ce n’est plus les militaires qui dirigent le pays, mais le parlement comme vous avez sans doute pu le voir dans le 51ème épisode) d’avoir si bien mené cette « mini guerre ». Pour le récompenser, le parlement lui laissa le choix de rester caporal et de retourner au nord ou bien de redevenir le général de brigade Roy Mustang.
Après quelques jours d’hésitations, il décida de reprendre son poste à Central, mais à une seule condition, retrouver son équipe au complete.
Aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre à Central, la ville a été reconstruite et Roy est retourné à ses activités habituelles. (La sieste et les femmes).

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Winry sortit de la gare et regarda avec émotion le petit village de Rizembull. Elle avait décidé que pour tenir sa promesse, il n’y avait qu’une seule solution, voler de ses propres ailes ce qui voulait dire installer son magasin d’auto mails. Mais avant de partir s’installer à Central, elle devait régler quelques petites choses à Rizembull (comme prévenir sa mamie !!!!!!).
Elle gravit en courant l’allée qui menait à sa maison. Elle avait hâte de revoir sa mamie, c’était la seule famille qui lui restait, la seule qui ne la jamais abandonnée. (Devinez à qui elle pense en disant cela !!!!!!!).

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- Général de brigade, vous êtes en retard !!
Mustang venait de rentrer dans son bureau avec 1h de retard (comme à son habitude). A peine s’était-il assit que le lieutenant Hawkeye déposait sur son bureau une tonne de dossier.
- (soupir) tout ça, j’aurais du rester caporal.
- C’est possible !! mais vous êtes général de brigade. Alors maintenant travaillez, ça vous changera !!!!
- Je vous signal que je suis plus gradé que vous, lieutenant. Vous n’avez aucun droit de me donner des ordres.
- A oui, vous croyez.
Elle prit son arme et la dirigea vers Mustang.
- Alors vous allez travailler ou je vais vraiment finir par m’énerver.
- D’ accord j’ai compris.
Décidément, il fallait mieux avoir Riza Hawkeye avec que contre soi.
Mustang prenait son premier dossier (à contre cœur) quand quelqu’un frappa à la porte :
- oui
- Général de brigade, j’ai un dossier de la plus haute importance à vous remettre.
- Merci
Le soldat lui donna le document et repartit aussitôt. Mustang ouvrit l’enveloppe, on lui confiait une mission : « Enfin de l’action, j’en ai plus que mare de la paperasse ». Mais…
- Lieutenant Hawkeye ??
- Oui ??
- J’espère que vous êtes libre ce soir.
- Heu… pourquoi ???
- Je vous emmène dîner ...

Voici le deuxième chapitre de ma fic, dite moi ce que vous en pensez

- Voila, j’ai fini !!!

Ed venait de terminer de tracer un cercle de transmutation extrême compliqué sur le sol d’un amphithéâtre abandonné.

- Et tu es sur que la porte va disparaître d’elle- même ??

- Mais oui, en faite, c’était tout simple, il fallait juste modifier le cercle.

Alphonse regarda le cercle d’un œil perplexe :

- Simple… ça dépend pour qui, moi je n’aurais jamais eu cette idée.

- Eh, je ne suis pas un petit géni pour rien.

- Petit, ça c’est sur !! murmura Al.

(Durant cette année, Al avait beaucoup grandi par conséquent, maintenant il dépassait Ed d’une demi tête).

Malheureusement pour lui, ce genre de remarque Edward les entendait toujours.

- comment ça PETIT, JE NE SUIS PAS PETIT !!!!!

- D’accord, d’accord mais s’il te plait calme toi, tu va finir par nous faire remarqué.

- …… (Et voila, il râle encore)

- Et maintenant, on fait quoi ??

- Ecoute.

Au loin, on entendait le bruit d’explosions et de maisons qui s’écroulaient.

- Un bombardement. Dit Al d’une voix effrayé.

- Exactement, il approche. Et avec toute l’énergie que produit tous ces gens en mourant, la porte s’ouvrira sans problème.

(Un peu morbide comme phrase, n’est ce pas ??!!)

- Arrête de parler comme ça, ce sont des être humains.

- Moi aussi ça me dégoûte, mais c’est toi qui a insisté pour qu’on le fasse et puis comme tu l’a si bien dit l’autre jour, on ne peux rien faire pour eux.

Une bombe explosa à une centaine de mètres de l’amphithéâtre.

- C’est le moment dit Ed d’une voix rauque.

- Oui mais….

- Alphonse, arrête de poser des questions et concentre-toi.

Les deux frères s’approchèrent du cercle, frappèrent leurs mains l’une contre l’autre (Hé oui, maintenant que Al a retrouvé sa mémoire, il se souvient de la porte donc peut transmuter sans cercle de transmutation), et après avoir regardé ce monde une dernière fois « notre monde », ils déposèrent leurs mains sur le sol. A peine avaient-ils touché le cercle que celui-ci s’illumina d’une lumière bleu.



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Il y avait un an que Winry avait ouvert son magasin d’autos mails, comme ce genre de commerce n’était pas très rependu à Central, on peut dire que les affaires marchaient bien même très bien. Elle vivait dans un petit appartement au-dessus de sa boutique. C’était vraiment tout petit, une pièce centrale qui faisait office de salon, salle à manger et cuisine, une salle de bain et un seule chambre.

Il était 7h du matin, Winry venait de se lever. Après avoir pris une douche et un solide petit-déjeuner, elle descendit ouvrir son magasin.

Comme la matinée avait été encore plus prospère que d’habitude, Winry se dit qu’elle méritait bien un jour de congé. Elle s’apprêtait à partir manger dehors quand un soldat rentra en trombe :

- Mademoiselle Rockbell ?

- Oui, que puis je faire pour vous ?

- Veillez me suivre s’il vous plait, le général de brigade Mustang vous demande de toute urgence.

- Mais… pourquoi veut-il me parler ?dit Winry étonnée

- Il m’a juste dit qu’une personne de son service avait besoin de vos compétences en mécanique.

Winry toujours un peu perplexe prit donc sa « boite à outil » et monta dans la voiture du soldat.

Ils s’arrêtèrent quelques minutes plus tard devant l’hôpital.

- Hein l’hôpital, mais je croyais qu’on allait voir le général de brigade.

- Oui, oui, venez c’est par ici.

L’homme la conduisit dans le hall de l’hôpital

- Veillez restez ici, je vais prévenir le général que vous êtes arrivée.

Elle n’eut pas à attendre longtemps, car deux minutes pus tard Mustang arrivait suivit de son fidèle lieutenant Hawkeye.

- Mademoiselle Winry, j’ai une surprise pour vous, je suis sûr que vous aller l’adorer.

Il sourit :

- Votre surprise se trouve dans la chambre 107. Bon maintenant excusez moi, mais je doit partir.

- Eh, général attendez !!!!

Il lui fit un geste de la main en souriant : « chambre 107 ».

La jeune fille se dirigea vers cette fameuse chambre. Elle frappa et ouvrit doucement la porte :

- Excusez-moi, le général de brigade m’a….

Elle venait d’apercevoir les occupants de la chambre. Elle resta quelques instants à les regarder avec étonnement quand un cri perçant se fit entendre :

- EDDDDDDDD !!! hurla-t-elle en se jetant au cou du jeune blond.

- Bonjour Winry, ça faisait longtemps.

- Mais, mais ….ce n’est pas possible.

Elle lâcha enfin son cou pour aller se jeter à celui d’Alphonse qui se trouvait sur le lit voisin.

- Mais Winry, il ne faut pas pleurer !!

- Je croyais que vous ne reviendrez plus, je croyais que cette fois-ci je vous avais perdu.

- Rêve pas, tu n’allais pas te débarrassée de nous si facilement.

- Oh Ed…

Elle recouru dans les bras de celui-ci tout en pleurant.

- Oh Ed comment tu peux dire une telle chose, TU m’as tellement manqué. (Vous avez remarqué, elle n’a pas dit vous mais tu….).

Gêné par les paroles et la proximité de Winry, le visage d’Edward prit une belle couleur brique, au plus grand amusement d’Alphonse.

- Et mais attend, dit Winry en regardant Edward.

« Oh non je suis foutu !!!! »

- Comment, mais j’y croit pas, une méka- greffe au top du top et toi tu la réduit en bouilli.

- Mais ce n’est pas de ma faute…..Non Winry, pas la clé anglaise !!!



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3ème chapitre fini !!!!!J’espère qu’il vous a plu. Laissez moi des commentaires SVP

Roy et Riza discutaient à propos des derniers évènements :

- Je n’aurais jamais cru revoir les frères Elric de ce monde !!

- Moi non plus. Mais en parlant de ça, comment les a –t-on retrouvés ?

- Ce sont deux enfants qui les ont trouvés évanouis dans le parc de Central. Et comme ils étaient tous les deux légèrement blessés, les parents de ces enfants les ont conduits à l’hôpital. Là-bas, un docteur les a directement reconnus et ils m’ont appelé pour me prévenir.

- Et c’est vous qui avez appelé Winry ?

- Il fallait bien que quelqu’un répare son bras. Bon maintenant parlons d’une chose plus importante.

- Une chose plus importante ???

- Oui, le dîner de ce soir !!

Riza rougit légèrement :

- Ah oui, j’avais oublié (oh la menteuse !!!).

- Je viens vous chercher à 19h, ça vous va ?

- Oui

Il s’éloigna de quelques pas puis se retourna en lui criant :

- Vivement ce soir, j’ai hâte de vous voir en robe, Riza !!!

Il sourit et partit.

« Oh non la robe, j’avait complètement oublié !! »

Elle regarda sa montre :

« 13h, j’ai juste le temps d’aller en acheter une »

Riza se dirigea vers le centre de la vile à la recherche d’une robe. Elle s’arrêta devant un joli petit magasin et y entra. A peine avait-elle fait trois pas qu’une femme d’environ 60ans se précipita vers elle :

- Bonjours, que puis-je faire pour vous ?

- Heu… je cherche une robe.

- Pour quelle occasion ?

- Un dîner.

- Dans un restaurant ?

- Oui.

- Chic ?

- Euh…oui assez

- D’accord, allons voir ce que j’ai.

La vendeuse se retourna et commença à chercher dans les rayons sous le regard ébahi de Riza. Quelques instants plus tard, elle était de retour avec six robes plus magnifique les une que les autre.

- Bon, tenez, allez les essayer.

- Euh… Où sont les cabines d’essayages.

Elle montra du doigt le fon du magasin :

- Là-bas.

Riza rentra dans l’une des cabines et enfila la première robe. C’était une longue robe bleu clair qui laissait les épaules découvertes.

Elle sortit de la cabine et se regarda dans le miroir.

- Non, enlevez moi ça tout de suite, elle ne vous va pas du tout. Dit la vendeuse d’un ton sévère.

Riza mit cette fois-ci une robe « à fanfreluches » rose pale, ça lui allait encore moins bien que la première. Elle se changea une nouvelle fois, puis encore une fois et encore une fois. Riza commençait vraiment à désespérer, sur les cinq robes qu’elle venait d’essayer aucune ne lui allait.

- Une cliente difficile, j’adore ça !! Dit la vieille femme en souriant. Courage mon enfant, on va bien réussir à en trouver une qui aille. Allez essayer la dernière.

Riza retourna dans la cabine pour la cinquième fois. Elle enfila une longue robe noire fendue jusqu'à la cuisse. Il y avait un décolletée plus que plongeant et on pouvait voir, grâce à cette robe, entièrement le dos de Riza. Elle sortit de la cabine un peu gênée, elle n’avait pas l’habitude de porter des vêtements aussi ….sexy.

- Magnifique, cria la vendeuse en apercevant la jeune femme, cette robe est faite pour vous.

- Mais elle est…

- Turlututu…. (quelle expression !!!!) pas un mot, avec le corps que vous avez, vous pouvez très bien vous le permettre.

Riza poussa un soupir puis sourit :

- D’accord je la prends.

« Après tout, c’est pas pour une fois et puis ça me changera de mon uniforme de militaire. En parlant de militaires, je me demande ce que va dire le général en me voyant habillée de cette façon ». Elle sourit intérieurement.

Elle paya sa robe et sortit du magasin.

« Zut, 15h, il faut que je me dépêche si je veux être prête à temps ».

(C’est vrai que quatre heures pour une femme, ce n’est pas beaucoup pour se faire belle !!!).

18h50 : Riza venait de mettre la dernière touche de rouge à lèvre. Elle était magnifique, ses beaux cheveux blonds tombaient sur ses épaules. Elle s’était légèrement maquillée et elle avait mis après plusieurs minutes d’hésitations de magnifique chaussures à aux talons assortis à sa robe.

18h55 : une Riza plus que nerveuse tournait en rond dans son appartement. « Mais qu’est ce qui me prend, ce n’est même pas un vrai rendez-vous, c’est juste une de ces foutues missions ».

(J’espère que vous n’avez pas cru que c’était un vrai rendez-vous quand même !!!!!).

19h : On frappa à la porte.

« Mais c’est qu’il est ponctuel ». (Enfin ça dépend pour quoi !!!).

Elle alla ouvrir la porte :

- Bonsoir lieu….

Il écarquilla les yeux. « C’est pas possible, c’est pas elle, j’ai du me tromper d’appartement ».

- ça ne va pas général ?

- Euh… si, pardon, on y va ?

- Oui, je vais chercher mon manteau et j’arrive.

Un demi heure plus tard, ils arrivèrent près du restaurant. Mustang alla ouvrir la porte à Hawkeye et lui proposa son bras. Elle l’accepta en souriant. Ils allèrent rentrés dans le restaurant quand Havoc surgit devant eux.

- Général, lieu… il venait d’apercevoir Riza.

- Havoc, mais que faites-vous ici ?dit Roy avec colère.

Il détourna enfin les yeux de Riza pour regarder Mustang :

- Ah oui j’avais oublié (C’est fou comme les hommes sont vite distrait devant une jolie femme !!!) … votre mission est annulée.

- Quoi !! crièrent Roy et Riza en même temps.

- Hé oui, les trafiquants que vous deviez surveiller se sont fait arrêter cette après-midi.

- Et vous n’auriez pas pu le dire plus tôt.

- Hé ne hurler pas comme ça, c’est pas de ma faute. Et puis vous avez quand même de la chance car pour se faire pardonner le QG vous permet de dîner dans ce restaurant, à leurs frais évidement. Bon je pense que je vais vous laisser. Passez une bonne soirée.

Il passa près de Mustang et murmura :

- Vraiment très jolie, j’espère que vous allez en profiter.

Et il se sauva en courant de peur que Mustang ne se venge.

- Vous venez dit Mustang à sa compagne.

- Quoi, vous contez vraiment aller dîner ?

- Evidement, on va quand même pas refuser une invitation dans le meilleur restaurant de la ville. Alors vous venez ?

- Pourquoi pas, au moins je ne m’aurais pas habillée pour rien.

Ils rentrèrent dans le restaurant où ils passèrent une excellente soirée à discuter de tout et de rien.

A la fin de la soirée, Riza ne tenait plus sur ses jambes (Elle l’avait pourtant dit à Roy qu’elle ne supportait pas l’alcool, mais évidement lui ne la pas écoutée) résulta elle était tout à fait saoul.

« C’est pas possible, elle n’a bu que trois verres de vin ».

Roy la raccompagna chez elle et du la porter jusqu’à son lit. Pendant que Roy la tenait dans ses bras, la jeune femme fit quelque chose qu’il n’avait pas prévu. Elle l’embrassa !!!

Mustang gêné par ce qu’il venait d’arriver, se dépêcha de la poser dans son lit et retourna chez lui.

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Et un chapitre de plus, laissez moi des commentaires!!

Chapitre5 : Et après ?



Cela faisait deux jours que les frères Elric étaient à l’hôpital. Winry avait pris quelques jours de congé pour rester auprès d’eux, ainsi que pour installer un nouveau bras à Ed.

- Alors, comment te sens tu ?

La jeune fille venait de rentrer dans la chambre.

- ….

- Tu n’as pas fini de râler, on dirait un gosse de trois ans.

- Tu insinues que je suis aussi petit qu’un enfant de trois ans !!!!

- Mais non, tu as plutôt la taille d’un gosse de cinq ans !!

- QUOI !!!!

- C’est bon je rigole. Allez dit moi pourquoi tu râle cette fois-ci ?

- J’en ai marre de la mise en place de mes membres bioniques, ça fait toujours aussi mal.

- TU N’AS PAS QUE LES CASSER TOUT LE TEMPS !!

- IL FAUT BIEN QUE JE ME DEFENDE QUAND MEME !!!

Al rentra dans la chambre :

- Encore en train de vous disputer !! Quand on dit que l’amour commence toujours par une dispute…

- N’IMPORTE QUOI !! crièrent-ils ensemble.

Alphonse sourit intérieurement : « A voir la couleur de leur visage, ça m’étonnerais vraiment que ce soit n’importe quoi !!! ».

- Pourquoi tu souris ?

- Oh pour rien. Ah oui bonne nouvelle, le médecin a dit qu’on pourrait sortir ce soir.

- Et ben ce n’est pas trop tôt, je m’ennuyais à mourir ici.

Winry s’assit sur le lit de Ed et demanda d’une toute petite voix.

- Et vous allez faire quoi maintenant, je veux dire maintenant que Al a récupéré son corps.

- En premier, je vais aller voir mamie Pinako, ça fait plus de trois ans que je ne l’ai plus vue. Et puis, j’irais sur la tombe de notre maître.

- Et après ?

- Je ne sais pas, on avisera.

- Tu vas rester dans l’armée ?

- … J’en sais rien, peut-être. C’est à toi de décider Al, dit-il en se retournant vers son frère. Que veux tu faire maintenant ?

- Ben… il hésitait. On m’a dit qu’une école d’alchimie vient d’être crée.

- Tu veux suivre des cours ? dit Winry d’un air étonné.

- Pourquoi faire ?dit Ed, tu es plus doué que tout ces crétins !!

Al baissa la tête :

- Euh non en faite, je voudrais bien enseigner.

- QUOI !! cria Ed.

- Tu n’es pas trop jeune ? continua Winry d’une voix plus douce.

- Mustang m’a dit que je devrais assister un professeur durant un an et qu’ensuite si tout se passe bien, je pourrais enseigner à mon tour.

- Ce Mustang, je vais le tuer !!

- Ed calme toi ! Ce n’est pas une mauvaise idée, comme tu viens de le dire, Al est très doué pour l’alchimie et je le vois très bien enseigné.

Al releva la tête, sourit à Winry puis se tourna vers son frère :

- Et puis, ça te permettra de continuer l’armée sans qu’on soit séparé.

- Et qui te dit que j’ai envie de continuer l’armée ?!

- Ah oui, et tu fera quoi si tu arrête l’armée ? Je te signal que ton alchimie est une alchimie de combat !!

- Et puis si tu démissionnes, tu vas t’ennuyer à mourir, tu ne sais pas rester trois secondes à la même place. Dit Winry avec un triste sourire.

- Tu dis ça, mais en faite le problème, c’est que si j’arrête l’armée, je ne serais plus bourré de tune et tu ne pourra plus organiser tes petites journées shopping avec MON argent.

(Mais quel goujat !!!)

Elle se leva : « Ed tu n’est qu’un crétin » et le gifla de toute ses force.

- TU CROIS VRAIMENT QUE CA M’AMUSE DE TE VOIR PARTIR RISQUER TA VIE TOUS LES JOURS ? CROIS MOI, JE PREFERAIS QUE TU RESTE AUPRES DE MOI !!!

(Hé mais c’est une mini déclaration !!!!)

Et elle sortit en courant les larmes aux yeux.

- Mais qu’est ce que j’ai fait ? dit Ed perplexe.

- Pour une fois, je suis d’accord avec Winry, tu es vraiment un idiot. Ça fait des années quelle t’attend et s’inquiète pour toi et…

- Pour nous, elle s’inquiète aussi pour toi.

- Possible, mais pas de la même façon, croit moi.

- Ça veut dire quoi ça ? dit Ed qui commençait sérieusement à s’énerver.

- Tu te fous de moi, pourtant ça ce voit qu’elle est folle de toi !!

- Elle, elle ….. non mais ça ne va pas, on est juste ami !!

- C’est ça, bien sûr, ce n’est pas à moi que tu vas faire avaler ça. Et puis à voir la couleur de tes joues, tes sentiments envers elle vont dans le même sens.

- … Alphonse, mêle toi de tes affaires !!



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Le soir même, Mustang et toute son équipe vinrent chercher les deux frères.

- Alors, comment va le petit fullmetal ?

- Bien… dit Ed d’un ton absent.

Toute l’équipe se regarda avec stupéfaction.

- Mais, qu’est ce qu’il a ?

- Oh, ce n’est pas grave, il s’est juste disputé avec Winry.

- Ah, je comprends, une querelle d’amoureux.

- ON NE SORT PAS ENSEMBLE !!!

Tout le monde commença à rire (à part Ed, évidement !!)

- Allez, fini de rigoler, il faut y aller !!Dit Hawkeye d’un ton sévère.

Ils sortirent tous de l’hôpital et de dispersèrent dans deux voitures.

Arrivé au QG, Mustang montra à Ed et Al leur chambre et tous rentrèrent chez eux.

Quelques minutes plus tard, les deux frères étaient dans leur lit :

- Elle n’est même pas venue !!

Al devina tout de suite de qui son frère parlait :

- Tu l’as un peu cherché quand même !!

- Oui mais…

- Tu n’auras qu’à lui présenter des excuses, je suis sure qu’elle te pardonnera.

- Oui, tu as raison !!

Il se leva et commença à s’habiller.

- Mais tu vas où là, demanda Al étonné ?

- Ben, lui présenter mes excuses !

- Edward, il est plus de minuit.

- Mais…

- Et puis, tu ne sais pas où elle habite.

- Merde, j’avais oublié ce détail.

- Allez, recouche-toi, tu ira la voir demain.

- Oui, si tu le dis.

Et il se rallongea dans son lit, en pensant à ce qu’il

pourrait bien dire pour que Winry accepte ses excuses.

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Bon, j’espère qu’il vous a plu !!!

SVP laissez moi des commentaires !!!!!

Chapitre 6 : Les excuses !!



Le lendemain matin, on frappa à la porte de la chambre des frères Elric. Ed alla ouvrir :

- Oui ?

- Fullmetal ?

- Oui, c’est moi.

- Le général de brigade Mustang vous demande, vous et votre frère.

- Quand ?

- Tout de suite !!

- Quoi, mais il est 8h du matin et de plus on est à peine sorti de l’hôpital hier, il peut nous laisser quelques jours de congé quand même !!

- Il m’a dit que c’était urgent !!

- Bon d’accord on ira dans ½ heures.

- Mais, il a dit tout de suite, dit le soldat.

- Oui peut-être, mais je vais pas me promener torse nu, juste pour obéir à un de ses caprices !!

En effet, Edward n’avait pas encore eu le temps de s’habiller.

- euh, bien sur, je suis désolée.

Et elle rougit (j’avais oublié de vous dire que le soldat était une femme !!! et comme notre célèbre n’est plus un gosse, il y a de quoi rougir !!).

Quelques minutes plus tard, Al et Ed frappèrent à la porte du bureau de Mustang.

- Oui ?

- Vous nous avez demandé ? dit Al (évidemment, ce n’est pad Ed qui parle si bien !!).

- Oui, j’ai à vous parler.

Les deux blonds s’assirent devant Roy.

- Bon, commençons par toi Alphonse. Est-ce que tu veux toujours enseigner ? Car si c’est le cas le professeur Haizen est d’accord pour te prendre comme assistant durant un an.

- C’est vrai ??!! Je commence quand ? répondit-il avec enthousiasme.

Mustang sourit :

- Ça veut dire que tu acceptes ?!

- Evidemment

Ed regarde son frère, il en revenait pas, Al professeur !! Décidément il ne s’y faisait pas.

- A ton tour Fullmetal, enfin si je peux toujours t’appeler comme ça ? continues tu l’armée ?

Ed hésita :

- Oui, je pense que oui.

- Très bien alors,…

- Attendez, je n’ai pas fini. Je recommencerai l’armée à une seule condition.

- Aie !! je crains le pire.

- Je ne travaillerais que dans un mois, j’ai quelques trucs à régler avant !!

- C’est tout !!?? Je m’attendais à pire venant de toi. Pas de problème. Donc, rendez-vous ici tous les deux dans un mois.

Ils se levèrent firent leur signe militaire et allèrent partir quand,…

- Fullmetal, attend !

Il lui donna un morceau de papier :

- C’est quoi ?

- L’adresse de ta jolie mécanicienne !!

Edward le regarda stupéfait. Mustang sourit:

- A voir la tête que tu tires, tu n’as sûrement pas réglé tes problèmes de cœur !!!

Ed sortit du bureau furieux :

- Mais de quoi il se mêle celui-là !!

Il regardait le morceau de papier quand Alphonse intervient :

- Alors, qu’est-ce que t’attend pour aller la voir ?

- Oui mais…

- Ce n’est pas possible !!dit-il exaspérer. Hier tu voulais absolument y aller alors qu’il était plus de minuit et maintenant que l’heure est un peu plus convenable, tu hésites !!

- Oh, c’et bon, j’y vais !!



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Ed arriva devant une vitrine où reposaient quelques autos mails.

- Bon, ça ne peut être que là.

Il entra dans la boutique et l’aperçu derrière son comptoir discutant avec un garçon de plus ou moins 19 ans.

« Quoi un garçon !! ».

Le jeune homme était accoudé au comptoir et parlait à la jeune fille sans la quitter des yeux. Winry, elle, riait en écoutant parler le garçon.

« Mais c’est qu’il la drague en plus !! ».

Ed, furieux, s’avança vers eux.

- Winry, dit-il d’un ton brusque. Il faut qu’on parle.

La jeune fille releva la tête étonnée d’entendre la voix de son ami d’enfance.

- Ed ? dit-elle surprise. Puis voyant les traits de son ami tirés par la colère, elle commença à s’énerver. Je n’ai pas le temps, tu vois bien que je suis occupé.

« Alors, comme ça, il vient encore m’anguler !!! ».

- Occupé ?dit-il avec un petit sourire narquois. A quoi ? A part faire les yeux doux à ce mec !!

(Mais c’est qu’il est jaloux notre petit Edward !!).

Winry resta stupéfaite par les paroles qu’il venait de prononcé.

Ed se tourna vers le jeune homme :

- Toi, dégage !!

Il ne se le fit pas répété deux fois et prit ses jambes à son cou.

(C’est qu’il est effrayant quand il est en colère !!).

- Ed, tu n’as pas le droit de parler à mes clients de cette façon.

- A tes clients ou à ton petit copain ?

- Et je ne voit pas en quoi sa t’intéresse. C’est MA vie privée !! D’accord ?!

Ed se calma d’un coup :

- Qu…quoi, ce mec s’était vraiment ton petit ami ?

Winry surprise par le soudain changement de ton d’Edward, se calma.

- Non, je n’ai pas l’habitude de sortir avec un client.

- …

- Alors, que voulais tu me dire ?

- Ben,…

Il inspira profondément et dit d’une traite :

- Je voulais m’excuser pour hier, tu avait raison, j’aurais pas du te dire ça. Je m’excuse.

Elle le regarda dans les yeux avec un petit sourire au coin :

- Ouais, c’est bon.

Edward sourit. Ensuite il changea vite de sujet au cas ou !!

- Elle est beau ton magasin. (c’est tout ce que tu arrive à dire ?!!).

- Oui.

- Et t’habite où ?

Winry avait récupéré sa bonne humeur :

- Vient, je vais te montrer.

Elle le prit par la main et le conduisit en haut.

- Ce n’est pas très grand, mais j’adore cet endroit, il est très beau !!

- Il te ressemble !!! (mais je rêve, un compliment !!).

Ed rougit quand il comprit ce qu’il avait dit.

- Heu … non, c’est pas ce que je voulais dire, bredouilla-t-il. Ce que je voulais dire, c’est qu’on remarque tout de suite que tu habites ici à la façon dont c’est décoré.

La jeune qui avait elle aussi prit une couleur rouge, commençait à rire quand la sonnette du rez-de-chaussée tintinnabula.

- Oh, un client !

- Bon, je vais y aller.

- Oui

Ils descendirent tous deux. Elle se dirigeait déjà vers le client quand Ed l’interpella :

- Euh, Winry ?

- Oui ?

- Al et moi, on part ce soir pour Rizembull, tu viens avec nous ?

Winry sourit :

- A une seule condition !!

- Laquelle ? s’inquiéta Edward.

- Que tu me payes mon voyage !!

Et elle partit vers son client. Ed sortit et repartit vers le QG.

« Décidément, je ne comprendrais jamais rien aux fille, et surtout pas à celle-là ».



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Le soir même à la gare :

- Mais qu’est ce qu’elle fait, si elle continue, elle va rater le train.

- Me voila ! cria une voix derrière eux.

Une jeune blonde arriva en courant.

- Eh bien, ce n’est pas trop tôt !!

- On t’a demandé quelque chose à toi, le nain ?

- QUOI…

Al s’interposa :

- STOP, ce n’est pas le moment. Il faut qu’on monte dans le train maintenant où il partira sans nous.

Une heure plus tard, tout trois était installés dans un compartiment. Al était étendu sur une banquette, tandis qu’Ed et Winry devaient se partager celle d’en face.

- Tu peux me dire pourquoi c’est toi qui à un siège pour toi tout seul ?

- Parce que !!

- C’est pas une réponse ça !!

- …

Encore une heure plus tard, Alphonse s’était endormi, tandis que Edward et Winry se perdaient chacun dans leurs pensées respectives.

Le lendemain matin, quand Al se réveilla, il les aperçu endormis, l’un à coté de l’autre, tête contre tête.

Arrivé à Rizembull, le sifflet du train retentit, ce qui réveilla Ed et Winry.

Quand ils aperçurent de leur proximité, ils s’éloignèrent en vitesse l’un de l’autre, les joues en feu.

- Alors, bien dormi ?dit Al en souriant.

- Tu aurais pu me réveiller avant !! murmura Ed à l’oreille de son frère pour que lui seul puisse l’entendre.

- Et rater la tête que tu as faite en te réveillant ?! Jamais de la vie !!

- Alors, vous venez ? S’impatienta Winry.

- Oui, oui, on arrive.



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Désolé, le titre n’est pas terrible mais je trouvais rien d’autre.

Est-ce que vous avez aimé ? Laissez moi des commentaires, SVP !!

Chapitre 7 : Une chute qui a du bon !!!!!

Une semaine s’était écoulée depuis que Roy avait raccompagné Riza chez elle. Celle-ci s’était réveillée le lendemain avec un terrible mal de tête et évidement, elle ne se souvenait de rien, pas même de son baiser à Roy.

- Bonjour tout le monde !

Hawkeye venait de rentrer dans le bureau de la « team de Mustang ». Mustang rougit à la vue de son lieutenant.

- Ca ne va pas, général ? dit Fuery qui avait remarqué le changement de couleur de Mustang.

- Euh… si si ça va très bien.

Durant la pause de midi, Havoc vient auprès de Roy.

- Alors, votre soirée de la semaine dernière c’est bien passée ?

- Quelle soirée ??

- Ben, celle avec le lieutenant Hawkeye.

- Mmmm…

- Elle était vraiment très jolie ce soir-là, j’ai vraiment eu du mal à la reconnaître.

- Oui, répondit le général d’un air absent.

- Et ?

Mustang sortit de ses pensées (qui n’étaient sûrement pas très catholique !!!) et regarda Havoc incrédule :

- Et quoi ?

- Ben… vous savez…

Il venait enfin de comprendre où Havoc voulait en venir.

- MAIS CE NE VA PAS ?!! Hurla-t-il. Le lieutenant Hawkeye et moi, pff vraiment n’importe quoi.

- Tant mieux, dit Jean avec un grand sourire.

- Comment ça tant mieux ??!!

- Ben oui, s’il n’y a rien entre vous deux, je peux tenter ma chance !

- HORS DE QUESTION QUE TU SORTES AVEC RIZA !!! hurla-t-il en se levant.

- Mais que vous arrive-t-il mon général ? Il me semblait qu’il n’y avait rien entre vous deux et que vous n’aviez aucun sentiments envers elle ? dit Havoc avec un sourire moqueur.

Mustang se rassit :

- De toute façon, vous n’avez aucune chance avec elle.

- C’est ce qu’on verra !!

Et il sortit du bureau le sourire aux lèvres.

Vers 6h, la journée était enfin terminée. Tout le monde s’apprêtait à sortir quand Jean interpella le lieutenant :

- Riza, donc je vous attend devant chez moi dans une heure.

- Oui bien sur, à tout à l’heure.

Mustang et tout le reste de l’équipe se regarda avec des yeux ronds.

Il ne restait plus que Roy et Riza dans le bureau, tous les autres étaient partis.

- Heu… lieutenant, excusez-moi de mon indiscrétion, mais pourquoi devez vous allez chez Havoc ??

- Il m’a invité à diner.

- Quoi, et vous avez acceptée ? s’emporta Mustang.

- Général, ma vie privée ne vous regarde en aucun point !!!

Et elle sortit en claquant la porte.



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Winry parcouru les derniers mètres qui la séparait encore de sa maison en courant. Elle se jeta dans les bras de mamie Pinako qui était en train de fumer comme à son habitude sur le palier.

Elle les aperçut quand Winry la lâcha enfin :

- Non…ce n’est pas possible !!

- Bonjours mamie, ça faisait un baille, dit Ed en arrivant.

Pinako se ressaisit :

- Alors de retour ? Toujours un nain à ce que je vois !!

- C’EST QUI QUE TU TRAITE DE NAIN !!!

- Mais toi, petiot.

Al arriva à son tour.

- Tu vois lui au moins, il a grandit !! dit-elle en pointant Al du doigt. Tu te rends compte que ton PETIT frère est plus grand que toi !!

Ed allait répliquer quand Winry intervient :

- Ah non, fini les disputes, vous venez à peine de vous retrouver. (Elle n’est pas vraiment bien placée pour dire ça, elle qui se dispute tout le temps avec !!).

- C’est elle qui a commencé !! cria Ed à Winry.

- Ed, tu as fini de râler ?! Même un gosse de 3 ans est plus mature que toi !!

- QUOI !!!

Comme le ton commençait de nouveau à monter entre les deux jeunes gens, ce fut au tour de mamie Pinako d’intervenir.

- Et si on allait manger ??

Ed se calma d’un coup :

- Oh oui, très bonne idée, je meurs de faim.

Le reste de la journée se passa dans le calme. Le lendemain, Winry se leva au aurore pour aller travailler. Vers 12h, Edward se leva enfin et descendit au salon, Al lisait un livre allongé dans le fauteuil :

- Elle est où Winry ?demanda Ed à son frère.

- Atelier, murmura-t-il sans lever le nez de son livre.

- Merci

Edward se dirigea donc vers l’atelier :

- Winry ? Il venait d’entrer.

- Oui, qu’est ce qu’il y a ? dit-elle en se retournant.

- Tu veux bien regarder mon bras, j’ai du mal à le bouger.

- QUOI ENCORE, s’emporta-t-elle, c’est pas possible, tu le fais exprès ??!!

- …

- Bon d’accord, montre voir.

Il enleva son t-shirt et vient s’asseoir près d’elle.

- Qu’est ce qu’il y a ? demanda Ed à une Winry toute rouge.

- Euh… rien, rien du tout.

« Waouh !! Il a peut-être pas beaucoup grandit, mais il s’est bien musclé !!!!!!!!! ».

- Alors, qu’est ce qu’il a mon bras ?

Winry sortit de sa rêverie :

- Oh, ce n’est pas grave, c’est juste une vis qui s’est dévissé. Je vais t’arranger ça en trois secondes. Dit-elle en allant chercher un tournevis sur son plan de travail.

Quelques minutes plus tard, elle avait fini de le « réparer ».

- Voila fini, bouge ton bras pour voir.

Ed plia et déplia son bras bionique.

- Parfait, merci Winry.

- De rien.

Edward la regarda un instant : « Elle est encore plus jolie qu’avant !! ».

Il allait sortir quand il entendit un bruit sourd derrière lui. Il se retourna et vit Winry allongée de tout son long.

- Winry ?

Il se précipita vers elle.

- Ca va, tu t’es fait mal ?

La jeune fille sourit en voyant son ami d’enfance s’inquiéter pour elle.

- Non, ça va, j’ai juste trébuché.

Elle essaya de se lever mais sa cheville se déroba sous poids. Elle tomba une nouvelle fois en entraînant dans sa chute l’alchimiste qui avait essayé de la rattraper mais en vain.

Il se retrouva allongé sur elle, son visage à quelques centimètres du sien. Il sentit ses joues s’enflammer, mais il ne bougea pas, une petite voix dans sa tête lui répétait qu’une telle occasion ne se répéterait pas deux fois.

- Winry.

Ils se regardaient dans les yeux.

- « Ses si beaux yeux bleus ».

- « Ses beaux yeux d’or ».

Elle ferma les yeux, il se rapprocha doucement de son visage. Leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres quand…

- Ed, Winry, le dîner est…

Al venait de les apercevoir là, par terre sur le point de s’embrasser.

- Oups désolé !!! Dit-il avec un grand sourire et il sortit de l’atelier les laissant de nouveau seul.

Edward se leva les joues en feu. Winry essaya de se lever mais comme elle n’y arrivait toujours pas, il la prit dans ses bras. Durant le « trajet » pour retourner dans la maison, chacun évita soigneusement le regard de l’autre, trop gêné par ce qu’ils avaient manqué de faire.

Quelques minutes plus tard, il la déposa sur le fauteuil en faisant très attention à ne pas lui faire mal. Mamie Pinako arriva dans le salon.

- Alors, vous venez… mais qu’est ce qui s’est passé ? dit-elle en apercevant le pied de Winry qui avait légèrement gonflé.

- J’ai trébuché,dit Winry.

- Ah c’est malin, Al va me chercher la boite de premiers soins.

- Oui, tout de suite.

Après que la veille femme eut fini de soigner la jeune fille, tous allèrent manger.

Après avoir dîner Pinako prit la parole :

- Bon Edward tu veux bien porter Winry jusqu’à sa chambre, elle n’y arrivera pas toute seule ?!

- Oui

- Et toi Winry, reprit-elle, interdit de quitter ton lit. Il ne faut mieux pas que tu utilises ton pieds pendant deux ou trois jours. Comprit ?

- Oui mamie

Edward se leva, prit Winry dans ses bras et la conduisit dans sa chambre.

Dans la cuisine, Alphonse et sa mamie regardaient les deux blonds monter les escaliers quand celle-ci commença à rire.

- Pourquoi tu ris, demanda Alphonse ?

- Regarde la couleur des joues de nos deux tourtereaux et tu comprendras !!!

Et ils commencèrent à rire tous deux.

Pendant ce temps, Edward venait de déposer Winry sur son lit.

- Merci.

- De rien. Et il sortit de la chambre laissant la jeune fille seule avec ses pensées.

« Pff… c’est pas possible, si Al était arrivé une minute plus tard, il m’aurait enfin embrassé. Je n’ai vraiment pas de chance !! ».

Edward était allongé sur son lit.

« Mais qu’est ce qui m’a prit ? Winry est très belle, c’est sur. Mais c’est mon amie d’enfance, rien d’autre !! La petite voix de tout à l’heure réapparut : Tu veux faire croire ça à qui ? C’est évidant qu’elle est plus qu’une amie !! ».

Il ne s’endormit que beaucoup plus tard. Trop occupé à se bagarrer contre son propre esprit !!



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Je suis désolée pour la qualité de ce chapitre. J’ai eu très dur à l’écrire et ça se voit.

Ps : Laissez-moi des commentaires SVP !!!!

Merci

^^ toujours aussi bien !!
moi j'adoreeeuuuh ta fics même si je ne laisse pas de com.
désolé TT_TT
tu m'en veut pas j'espére ??
Bizouuuu et continue !!!